Contrôle des exportations de vaccins : l'UE renonce à inclure l'Irlande du Nord
L’Union européenne renonce à inclure l’Irlande du Nord dans le mécanisme de contrôle des exportations de vaccins.
Comme environ 1,4% de la population mondiale, Gérard Darmon et Khaled sont liés par un point commun qu'ils doivent à leur jour de naissance particulier.
Pour la première fois depuis son départ de la Maison Blanche, Donald Trump a repris la parole publiquement ce dimanche à Orlando, devant un public d'ultra-conservateurs. Avec sa verve habituelle, il s'en est pris à son successeur.
Amel Bent est restée sans voix ! Lors de ce 4e épisode de The Voice, un candidat a choqué les coachs et de nombreux téléspectateurs. En effet, après sa prestation qui n'a pas séduit le jury, l'homme est parti avant que la chanteuse ait pu lui donner son avis sur sa prestation. Un moment très gênant.
Ce vendredi 26 février, Wafa (Mamans et célèbres) a posté plusieurs clichés d’un shooting des plus sexy en soutien-gorge blanc brodé sur son compte Instagram. L'occasion pour la mère de famille de faire une petite mise au point...
Le 26 février, Maeva Ghennam a révélé avoir été victime de sorcellerie. Selon, la jeune star des Marseillais une de ses connaissances aurait engagé une sorcière pour nuire à sa carrière. De quoi alimenter les spéculations chez les internautes !
Hospitalisé depuis le mercredi 17 février, le prince Philip a traversé de lourdes épreuves au cours de sa vie. Le 16 novembre 1937, sa sœur, la princesse Cécile de Grèce, est morte dans un accident d'avion alors qu'elle était enceinte. Retour sur cet épisode tragique qui a fait basculer la vie du duc d'Édimbourg.
En publiant le rapport du renseignement américain sur l'assassinat de Jamal Khashoggi, très compromettant pour le prince héritier saoudien Mohammed ben Salmane, l'administration Biden semble avoir acté son rejet de l'homme fort de Riyad. Retour sur une déchéance annoncée. Le prince héritier saoudien Mohammed ben Salmane (MBS) avait raison de redouter l’entrée à la Maison Blanche du démocrate Joe Biden aux dépens de Donald Trump, alors qu’il avait tout misé sur une réélection du milliardaire américain, dont il était l’un des protégés.Au lendemain de la déclassification par Washington d'un rapport du renseignement américain sur l'assassinat de Jamal Khashoggi, qui l'accuse d’avoir "validé" l'opération visant à "capturer ou tuer" le journaliste saoudien, MBS apparaît comme le grand perdant, sur la scène diplomatique du Moyen-Orient, de l'élection de Joe Biden à la présidence des États-Unis.Le démocrate, qui souhaite "recalibrer" les relations entre Washington et Riyad en rompant avec la diplomatie de l’ère Trump dans la région, n’a jamais caché son hostilité à l’égard du jeune prince, notamment pendant la campagne présidentielle.Un désaveu public au retentissement internationalEt si Washington a décidé de ne pas sanctionner MBS, le désaveu public au retentissement international qu’elle vient de lui infliger ruine les efforts du fils du roi Salmane pour réhabiliter son image et celle de son pays déjà très écornées. Il s'agit d’un coup dur pour celui qui se présentait en Occident comme un prince ouvert et réformateur, déterminé à libéraliser, en douceur, un royaume rigoriste et ultraconservateur.Nommé ministre de la Défense, puis prince héritier en juin 2017 par le roi Salmane, sur le trône saoudien depuis janvier 2015, MBS, décrit comme impulsif et pressé, a connu une ascension fulgurante. Notamment grâce à son projet de transformation de l’économie saoudienne – trop dépendante du pétrole – et son engagement à lutter contre la corruption et le terrorisme.Mais ses initiatives ont été rapidement éclipsées par ses méthodes de gouvernance brutales et une dérive autoritaire à l’intérieur du pays. En quelques mois, il devient le dirigeant de facto du royaume wahhabite en le faisant passer d'une monarchie basée sur un consensus entre les différentes branches de la famille royale à un régime personnalisé dans lequel les pouvoirs sont concentrés entre ses mains.Ses offensives de charme et ses tournées à l’étranger sont très médiatisées et font quelque peu oublier les campagnes expéditives d’arrestations menées dans le royaume à l’endroit de membres de la famille royale, de militants des droits de l’Homme, d'intellectuels et de critiques.Des dérives plusieurs fois dénoncées par Jamal Khashoggi, qui s’était exilé à partir de 2017 aux États-Unis, dans des éditoriaux sans concession publiés dans le Washington Post.Mais c’est surtout la tempête internationale déclenchée par l’assassinat du même Jamal Khashoggi, le 2 octobre 2018, qui va ternir l’image de Mohammed ben Salmane, et remettre sur le devant de la scène médiatique le lourd bilan de la pétromonarchie wahhabite en matière de droits de l’Homme.Restriction des libertés d’expression et d’association, interdiction des rassemblements pacifiques, liberté religieuse hors islam inexistante, procès inéquitables, discrimination envers les femmes et la minorité chiite, exercice de la torture et peines de mort arbitraires… Si la nature répressive de la monarchie saoudienne, régie par une version rigoriste de la charia, la loi islamique, à l’égard de toute contestation interne a toujours été de rigueur, la situation s’est durcie depuis la montée en puissance du prince héritier.Un allié embarrassant pour les États-UnisAu niveau diplomatique, le bilan censé légitimer MBS sur le plan international est tout aussi négatif, alors que sur ce plan aussi, il a tenté la manière forte. "Qu’il s’agisse du bourbier yéménite qui est devenu un Vietnam aux portes du royaume, qu'il s'agisse encore de l’embargo musclé destiné à faire fléchir le Qatar, ou bien encore du coup de force contre le Liban avec l’affaire de la vraie fausse démission du Premier ministre Saad Hariri… Aucune de ses initiatives n’ont permis aux Saoudiens de renforcer leurs positions sur l’échiquier régional face à l’Iran", résumait il y a quelques mois Karim Sader, politologue et consultant spécialiste du Golfe, interrogé par France 24.Au Yémen notamment, où il avait engagé le combat en mars 2015, les rebelles houthis chiites, soutenus par Téhéran, résistent toujours à la coalition internationale, alors que le conflit a provoqué ce que l'ONU qualifie de "pire crise humanitaire du monde".Adoubé en mai 2017 par le président américain Donald Trump, alors en visite en Arabie saoudite, MBS lie sa diplomatie à celle de l'administration Trump, focalisée comme lui sur la menace iranienne. Il se rapproche de Jared Kushner, le gendre du président chargé du dossier moyen-oriental. Des relations privilégiées et un accès direct au bureau Ovale qui lui seront très utiles au moment de l’affaire Khashoggi.Alors qu’il apparaît désormais comme un allié embarrassant pour les États-Unis, le président Donald Trump le défend personnellement, pour assurer la caution saoudienne à son "deal du siècle" au Proche-Orient et à l'ouverture de relations diplomatiques entre certains pays du Golfe et Israël.Mais de leur côté, la presse américaine et le camp démocrate ne ménagent pas le fils du roi saoudien, qui finit par assumer "toute la responsabilité" de l'assassinat du journaliste tout en démentant en être le commanditaire.En octobre 2018, le magazine américain Newsweek dévoile un entretien inédit – et non daté – avec Jamal Khashoggi dans lequel ce dernier estime que MBS n’est autre qu’un "dirigeant tribal rétrograde", jouissant d’un pouvoir "autocratique" et ne recherchant aucunement une ouverture du régime saoudien à la démocratie. Le journaliste assure également dans cet entretien craindre pour sa vie.Jusqu’ici, Riyad n’a jamais révélé où se trouvait le corps du journaliste, qui n’est pas réapparu après un rendez-vous administratif au consulat saoudien d’Istanbul, le 2 octobre 2018.Avec la publication du rapport de la CIA, l'homme fort de la monarchie wahhabite n’est plus intouchable. L'arrivée à la Maison Blanche de Joe Biden, qui a multiplié les décisions défavorables à MBS (main tendue à Téhéran dans l'optique d’un éventuel retour dans l’accord sur le nucléaire iranien, restrictions sur les livraisons d’armes à Riyad), a sans doute fait perdre au prince le sentiment d’impunité dont il jouissait durant l’ère Trump.Reste à savoir quel sera l’avenir de MBS au sein du royaume, et si l’administration américaine n’est pas en train d’enclencher un processus visant à provoquer sa chute.
Ce samedi 27 février sur son compte Instagram, Sylvie Ortega Munos n'a pas du tout été tendre avec ceux qu'elle considère comme ses détracteurs. Elle s'en est même prise à la chanteuse Sheila qui n'a pourtant pas réagi à la dernière polémique mettant en cause son ancienne belle-fille.
Les médecins généralistes ont, depuis jeudi 25 février, l'autorisation d'inoculer des doses du vaccin d'AstraZeneca à leurs patients. Selon les syndicats de pharmaciens, quelque 200 000 doses seraient cependant toujours dans les frigos des officines. Les praticiens semblent en effet bouder le vaccin. À en croire des chiffres de la Direction générale de la santé, 29 000 d'entre eux étaient volontaires pour vacciner il y a une semaine. Ils ne seraient désormais plus que 19 187. Parcours du combattant Le vaccin AstraZeneca fourni aux médecins peut être injecté à des patients âgés de 50 à 64 ans atteints de comorbidité. "Il faut les sélectionner, les contacter, les faire venir, ils viennent surcharger notre patientèle...", énumère le docteur Saïd Ouichou, généraliste à Marseille (Bouches-du-Rhône). Il est en outre nécessaire d'aller récupérer les doses à la pharmacie, puis de déclarer les patients auprès de la Sécurité sociale. Un parcours du combattant qui a donc déjà découragé bon nombre de praticiens.
SAINT-DOMINGUE (Reuters) - La République dominicaine va entamer cette année la construction d'une clôture le long de ses 376 kilomètres de frontière avec Haïti afin de freiner l'immigration illégale et le commerce illicite avec ce pays, a déclaré samedi le président dominicain, Luis Abinader. "D'ici deux ans, nous voulons mettre fin aux graves problèmes que sont l'immigration illégale, le trafic de drogue et la circulation de véhicules volés", a déclaré Luis Abinader devant le Congrès.
Les archéologues du site de Pompéi ont fait la découverte d'un char de cérémonie orné de décorations, une trouvaille extraordinaire pour la connaissance du monde antique.
Jeanne Cherhal était l'invitée de Laurent Ruquier dans On est en direct ce samedi 27 février et, suite à une blague de Philippe Caverivière, a fait part de son mécontentement sur le plateau.
La vie de Céline Dion, dans toute sa grandeur, est racontée par la biographe Elisabeth Reynaud dans un livre sorti aux éditions Larousse. A cette occasion, celle-ci a accepté de répondre à nos questions et de faire des révélations étonnantes sur la chanteuse.
Il y a quelques semaines, Joe Biden est devenu le quarante-sixième président des États-Unis après avoir remporté l’élection présidentielle face à Donald Trump. Un résultat que n’espérait sans doute pas Kanye West, lequel avait également décidé de partir en campagne. La somme qu’il a dépensé à cette occasion vient d’être dévoilée dans un rapport de la Commission électorale fédérale.
Tuléar est secouée depuis jeudi 25 février par des manifestations étudiantes. Samedi matin, alors que les forces de l'ordre essuyaient des jets de pierres et dispersaient avec des gaz lacrymogène les étudiants qui s'étaient rassemblés dans le centre-ville pour réclamer, entre autres, le paiement de leurs bourses, des pilleurs ont profité de la confusion pour dérober les marchandises de commerçants. Dans la soirée, le ministre de la Jeunesse et des Sports et celui de l'Enseignement Technique se sont rendus sur place pour discuter avec les étudiants. Avec notre correspondante à Antananarivo, Laetitia BezainSur le campus de l'université, entouré de centaines d'étudiants, le ministre de la Jeunesse et des Sports, Roberto Tinoka, originaire de Tuléar, a promis de satisfaire toutes leurs revendications : paiement des bourses à partir de mardi, construction de toilettes, ou encore reprise de la réhabilitation d'un bâtiment de logements universitaires.Ce dernier a aussi indiqué qu'il parlera aux responsables du ministère de l'Enseignement Supérieur pour régler le problème de validation des diplômes de master. Des réponses qui semblent avoir apaisé les étudiants. Contactés, certains indiquent qu'ils attendent de voir des actes à partir de la semaine prochaine, sans quoi, leur mouvement de protestation continuera.Un mouvement qui a dégénéré en émeutes samedi matin. Vendeurs de vêtements, de sandales ou encore de meubles du quartier d'Andolombazaha ont vu leurs étals et petits magasins mis à sac par des pilleurs. « Alors que les forces de l'ordre repoussaient les étudiants vers le campus, des groupes en ont profité pour voler les commerçants. Au bout d'un moment, c'est tout le monde qui se trouvait là, de simples gens, qui ont participé au pillage », raconte un témoin. « Ils ont aussi essayé de rentrer dans un magasin de stockage de riz. Mais les gendarmes et les policiers sont arrivés. Il y a beaucoup de chômeurs ici en ce moment. Les gens ont faim », poursuit-il.Si les forces de l'ordre, qui ont dispersé la foule et répliqué aux jets de pierres avec des gaz lacrymogènes, ne font état d'aucun blessé, trois témoins affirment avoir vu un voleur blessé au dos par une balle venant des forces de sécurité. 45 personnes ont été arrêtées, a indiqué la gendarmerie. Samedi, en fin d'après-midi, après une réunion d'urgence avec l'organe mixte de conception, le préfet de Tuléar a appelé la population au calme et a indiqué que tout rassemblement est interdit dans la ville.
Emmanuel Macron s'accroche à son refus de confiner le pays. En attendant une embellie au printemps, il mise sur la vaccination des plus fragiles et sur des mesures locales.
Ce samedi 27 février, Maeva Martinez a posté un long texte sur Instagram sensibilisant sa communauté de fans sur le post-partum et les complexes que peuvent avoir les jeunes mamans.
À l'occasion de la participation de Carla Bruni et de Marine Delterme à l'émission Duos Mystères, ce vendredi 26 février sur TF1, Closer vous propose d'en savoir plus sur la solide amitié qui lie les deux anciens mannequins.
Toujour aucun dénouement pour la disparition de Delphine Jubillar. Selon La Dépêche ce vendredi 26 février, son mari Cédric fait tout pour reprendre une vie normale.
Stéphane Sirkis, ancien membre du groupe de musique Indochine, est mort le 27 février 1999. Vingt-deux ans après la disparition du chanteur, quelle vie mène sa fille Lou ? Coup de projecteur sur cette jeune femme de 30 ans qui marche dans les pas de son père.