Complément d'enquête : Marc Ladreit de Lacharrière, le milliardaire satisfait d'un changement de mentalité

Ce jeudi 23 février, a été diffusé sur France 2 en deuxième partie de soirée le Complément d'enquête
Ce jeudi 23 février, a été diffusé sur France 2 en deuxième partie de soirée le Complément d'enquête "Milliardaires : les bonnes oeuvres ça rapporte !". Exclusif - Marc Ladreit de Lacharrière - L'homme d'affaires Marc Ladreit de Lacharrière a confié au musée du Quai Branly-Jacques Chirac le meilleur de sa collection composée de 36 oeuvres remarquables de l'ancienne Afrique équatoriale française et d'Océanie. © Dominique Jacovides / Bestimage - BestImage, DOMINIQUE JACOVIDES / BESTIMAGE

Ce jeudi 23 février, le Complément d'enquête "Milliardaires : "les bonnes oeuvres ça rapporte !" a été diffusé sur France 2. L'occasion d'y retrouver Marc Ladreit de Lacharrière, le président de Fimalac, qui se félicite d'une forte croissance.

Ce jeudi 23 février, a été diffusé sur France 2 en deuxième partie de soirée le Complément d'enquête "Milliardaires : les bonnes oeuvres ça rapporte !". Depuis quelques années, il est devenu fréquent de voir les plus riches de la planète céder une partie de leur fortune aux bonnes oeuvres, le magazine s'est donc intéressé de connaître les raisons de ces nouveaux philanthropes. Et au programme, on a pu notamment découvrir Marc Ladreit de Lacharrière, le président de Fimalac – qui a souhaité céder ses parts - il est actionnaire à hauteur de 40% au sein du groupe Barrière - a pu être interrogé par Tristan Waleckx au sein du musée du Quai Branly, auquel il a légué en 2018 une collection d'oeuvres africaines et océaniennes.

En termes de philanthropie, la France est placée 30ème à l'échelle mondiale alors que nous sommes la 7ème puissance économique au monde. Le milliardaire Marc Ladreit Lacharrière mentionne que la générosité n'est pas suffisamment présente dans l'ADN des français. "La philanthropie n'est pas dans la culture française, on a la culture de Colbert, on a la culture de Napoléon, c'est l'État qui doit tout donner", fait-il savoir. Alors que la France connaît un profond endettement, les entreprises ont un rôle complémentaire de l'État et doivent s'engager. Le président de Fimalac reconnaît que "la culture est quelque chose d'important, c'est quelque part le ciment de la société, c'est là où il y a toutes les valeurs de l'entreprise et...

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