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Clinton attaquée sur sa santé, Trump confus sur l'immigration... une semaine d'élection américaine

Hillary Clinton en meeting le 6 juillet à Atlantic City, dans le New Jersey, devant les lettres effacées de l'ancien Trump Plaza désaffecté.

En novembre, les électeurs américains devront choisir entre les deux principaux candidats pour la présidentielle américaine : Hillary Clinton côté démocrate, Donald Trump chez les républicains. Toutes les semaines, Libé fait le point sur la campagne.

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Le billet d’Amérique

Lavolte-face de Trump sur l’immigration

Le Trump nouveau est arrivé. Ou peut-être pas. Sur le dossier de l’immigration, pilier de sa campagne, le candidat républicain n’a cessé cette semaine de souffler le chaud et le froid. Assouplissement par-ci, durcissement par-là, sa «politique» migratoire demeure énigmatique. Une certitude : Donald Trump continue de promettre la construction d’un mur géant à la frontière entre les Etats-Unis et le Mexique. «Je pense qu’il pourrait faire entre 10 et 14 mètres de haut. C’est une bonne hauteur. Dans ces eaux-là. Mais il pourrait être plus haut», a-t-il dit mercredi sur Fox News, avec sa clarté habituelle. Peu importe que les experts jugent ce projet infaisable, inutile et estiment son coût à plusieurs dizaines de milliards de dollars, peu importe que 61% des Américains y soient opposés - selon un sondage du Pew Center publié jeudi -, Donald Trump veut son mur. «The Great Wall of Trump», comme il l’avait baptisé l’an dernier.

Pour le reste, le milliardaire a surpris tout le monde en se disant prêt à «assouplir» sa position sur les 11 millions de clandestins vivant aux Etats-Unis. Depuis son entrée en campagne, en juin 2015, il promettait de tous les expulser. Quitte à créer une force spéciale pour y parvenir. Quitte, aussi, à séparer des centaines de milliers de familles en expulsant les parents sans papiers d’enfants américains. «Soit on a un pays, soit on n’en a pas», martelait-il à tout va, apôtre d’un strict contrôle des frontières et d’une application implacable des lois. Après avoir cogné sur les clandestins mexicains «violeurs» et «criminels», le nouveau gourou des suprématistes blancs serait-il soudain pris d’un relent (...) Lire la suite sur Liberation.fr

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