Les cinq plus grands mythes sexuels masculins

La première croyance tenace concerne l'érection. Pour nombre d'hommes et de femmes, l’absence même occasionnelle d’érection est systématiquement interprétée comme un signe négatif. Soit associée à un manque de désir, soit à un problème mécanique ou psychologique. Or, il existe plusieurs facteurs “sans gravité” et tout à fait communs qui favorisent la dysfonction érectile, à commencer par le stress, la fatigue, l'anxiété… Et qui ne la rendent absolument pas anormale ou alarmante. Une récupération suffisante et une alimentation saine peuvent changer la donne, mais surtout, une communication claire avec le partenaire contribuent souvent à améliorer la situation. Qui dit absence d’érection ne dit pas forcément manque de désir sexuel, contrairement à la croyance populaire. A l’inverse, des érections peuvent se produire sans stimulation érogène ou érotique, par exemple la nuit, on parle alors d’érection réflexe. Dans une situation sexuelle, il s’agira d’une érection “psychogène”.

Autre mythe : les hommes n’ont pas de point G ? Et bien si, d’après Volker Wittkamp, médecin urologue, “la prostate est la contrepartie masculine du point G féminin”. D’après une étude réalisée en mai 2021 par Arcwave, une marque de sextoys, plus d’un tiers des participants interrogés ignorent que la prostate est une zone érogène. 33% des répondants connaissaient cette zone mais n’ont jamais tenté de la stimuler. La prostate peut être stimulée en interne par l’anus ou en externe par le périnée.

Les hommes risqueraient (...)

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