Cinéma : voici les films qui commencent par la fin
Au cinéma, la prolepse est un type de narration qui consiste à informer le spectateur d’un événement qui se déroule plus tard dans le film. L’équivalent anglais de la prolepse est le "flashforward", à ne pas confondre avec le flashback. Le flashforward est un anachronisme, ce qui signifie que l’action n’a pas encore eu lieu. Il peut notamment aider à comprendre l’histoire secrète d’un scénario. Le flashback montre des événements qui se sont déjà produits. La prolepse est principalement utilisée dans les films de science-fiction, mais elle trouve aussi sa place dans d’autres genres cinématographiques comme le thriller et le drame.
Le film Fight Club de David Fincher commence presque par la scène finale. Le narrateur (Edward Norton) se retrouve pris au piège avec Tyler Durden (Brad Pitt) dans un bâtiment bourré d’explosifs. À la fin de l’histoire (attention spoilers à suivre !), le spectateur découvre que Tyler Durden n’a jamais existé, et le bâtiment finit par exploser. Au début du film Usual Suspects de Bryan Singer, le personnage Verbal Kint interprété par Kevin Spacey subit un interrogatoire. Son témoignage est illustré par des flashbacks conduisant à un mystérieux tueur en série, Keyser Söze. Le spectateur découvre à la fin que le coupable était sous ses yeux depuis le début.
Sorti en 1941, Citizen Kane est souvent considéré comme l’un des premiers films utilisant des flashbacks au XXe siècle. Dès les premières minutes, le spectateur découvre la mort de Charles Foster Kane (...)
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