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Christophe Beaugrand : "C’est un engagement d’écrire l’histoire de mon fils"

Dans quelles conditions s’est tournée cette nouvelle édition de Ninja Warrior ?

Christophe Beaugrand : C’était très particulier. Il a fallu respecter un certain nombre de règles mais c’était la condition pour pouvoir tourner. Il nous était impossible, contrairement aux saisons précédentes, de taper dans le dos des concurrents pour les féliciter quand ils arrivaient en haut du mur des héros. D’habitude, nous sommes diffusés en été. J’espère que les gens vont nous suivre en cette saison hivernale. Je pense qu’ils ont besoin de soleil, de divertissement. Les beaux gosses, torses nus, qui tombent dans des piscines, ça devrait leur plaire ! (Rires).

Après des mois de confinement, et donc peut-être de sport à domicile, auriez-vous été en condition physique pour y participer ?

Salle de sport ouverte ou non, je pense que cela ne change pas grand-chose chez moi ! Il y a un niveau de dingue sur cette émission. J’ai l’impression de voir des super-héros en vrai. Moi je n’ai pas un équilibre de fou, je suis souvent dans les bêtisiers parce que je suis tombé.

Vous êtes toujours épaté par ces candidats qui se lancent dans l’aventure ?

Oui. Je suis halluciné par leurs performances. Certains s’entrainent pendant des mois pour participer. D’ailleurs, beaucoup ont été très déçus quand nous avons été obligé d’annuler le tournage au mois de mars à cause du confinement. C’est une émission qui est devenue culte pour les Français, b... Lire la suite sur Télé 7 Jours

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