A l'aube de l'investiture de Joe Biden, les derniers détails croustillants sur la vie privée du couple Trump sont racontés dans la presse américaine. L'occasion d'apprendre que les Biden dormiront dans la même chambre, à l'instar de Donald et Melania qui faisaient chambre à part.
Ce lundi 18 janvier sur Instagram, Alix Desmoineaux, la célèbre candidate des Marseillais, a dévoilé une nouvelle photographie des plus émoustillantes sur laquelle apparaît son opulente poitrine. Succès garanti… !
Les deux amis et collègues de la chaîne M6 Stéphane Plaza et Karine Le Marchand se sont retrouvés en colocation pendant quelques semaines fin 2020. L'animateur a raconté cette cohabitation, mercredi dans "Culture Médias", qui s'est suivie pour lui de galères immobilières.
La réouverture des établissements de restauration interviendrait au mieux le mardi 6 avril. Un nouveau coup dur pour la profession.
Ce 20 janvier à 18 heures, heure française Joe Biden deviendra officiellement le 46e président des Etats-Unis. Le nouveau chef d’Etat n'a cependant pas l'intention d'emménager immédiatement à la Maison Blanche... dont il a demandé une décontamination.
Le ministre de l'Education nationale assure que la proposition du Conseil scientifique de fermer une classe dès le premier cas positif au variant est une possibilité.
Les frères et la sœur de Delphine Jubillar, disparue depuis le 16 décembre, appellent au respect de la vie privée de la mère de famille et assurent ne privilégier aucune hypothèse quant à sa disparition.
Jean-Pierre Bacri est décédé à l'âge de 69 ans ce lundi 18 janvier des suites d'un cancer. L'un de ses médecins a évoqué son combat contre la maladie sur BFMTV. Non Stop People vous en dit plus.
Lola Marois cultive son côté rebelle. Alors qu'elle se trouvait dans un train, la comédienne de Plus belle la vie s'est amusée à retirer son masque. La femme de Jean-Marie Bigard a ensuite publié le résultat dans sa story Instagram.
A l'occasion de la sortie de son dernier album, Twisted, Marina Kaye s'est confiée au magazine Soir Mag sur sa jeunesse parfois douloureuse.
A l’occasion de son 57ème anniversaire, Michelle Obama a posté un selfie d’elle au naturel qui lui a valu une pluie de compliments. Et on comprend : l’ancienne First Lady est tout simplement magnifique !
Le gouvernement l'assure, le retard pris dans la campagne vaccinale sera rattrapé, alors que de plus en plus d'élus déplorent une pénurie de doses, et que beaucoup de centres ne proposent plus de rendez-vous.
Comme des dizaines de milliers de Russes, le président russe s'est plongé brièvement dans l'eau glacée pour célébrer l'Épiphanie et le Baptême du Christ.
Un épidémiologiste anglais alerte sur la présence d’une réaction buccale chez certains patients atteints par le nouveau coronavirus.
Camille Lou, la star de la future série de TF1 Je te promets, profite de vacances bien méritées et ensoleillées avec son nouveau chéri, Romain Laulhe.
Le Qatar a appelé les pays arabes du Golfe à tenir des discussions avec l'Iran, a déclaré le ministre des Affaires étrangères dans une interview diffusée mardi 19 janvier, deux semaines après la réconciliation entre Doha et ses voisins. Cheikh Mohammed Abderrahmane Al-Thani a émis l'espoir de voir un tel « dialogue se produire », dans une interview diffusée mardi par la télévision Bloomberg. « C'est aussi un désir d'autres pays du Conseil de coopération du Golfe », a-t-il ajouté en référence au CCG qui regroupe, outre son pays, l'Arabie saoudite, Bahreïn, les Emirats arabes unis, Oman et le Koweït.Le Qatar, boycotté depuis juin 2017 par quatre pays arabes, dont trois de ses voisins du Golfe en raison notamment de ses liens jugés trop proches de l'Iran, s'est réconcilié avec eux lors d'un sommet du CCG le 5 janvier en Arabie saoudite. Le Qatar et l'Iran se partagent l'un des plus grands gisements offshore de gaz au monde, et Doha entretient des relations cordiales avec Téhéran.Doha, proche allié de WashingtonDoha est un proche allié de Washington et sa prise de position en faveur d'un dialogue régional intervient au moment où le président américain, Donald Trump, artisan de la politique de « pression maximale » sur l'Iran, s'apprête à quitter la Maison Blanche. Ryad, grand rival régional de Téhéran, qui a souvent accusé son voisin d'ingérence, semble peu enclin à engager un dialogue avec l'Iran.Le prince héritier saoudien, Mohammed ben Salmane (MBS), a vu dans le rapprochement entre monarchies du Golfe un atout pour faire face aux « menaces posées par le programme nucléaire et de missiles balistiques du régime iranien ». « Le Qatar facilitera les discussions si les parties prenantes le demandent, et soutiendra qui que ce soit pour le faire », a souligné cheikh Mohammed à la télévision Bloomberg.(avec AFP)
À la fin des années 1990, Randy Spelling a décroché ses premiers rôles à la télévision. Si sa soeur aînée, Tori Spelling a réussi à se faire une place à Hollywood, pourquoi ce dernier a-t-il souhaité quitter Hollywood et changer complètement de vie ?
Au vu de la situation sanitaire toujours préocupante en France, les remontées mécaniques des stations de ski risquent de ne pas rouvrir de sitôt.
Manon Fiorot affronte l’Américaine Victoria Leonardo, le 20 janvier 2021 à Abou Dhabi, à l’Ultimate Fighting Championship (UFC), la plus prestigieuse ligue d’arts martiaux mixtes (MMA) au monde. La combattante âgée de 30 ans est seulement la deuxième Française à l’UFC. Focus. « C’est un rêve. Depuis que j’ai commencé le MMA, c’était mon but. » Ce 20 janvier 2021, Manon Fiorot s’apprête à devenir la deuxième Française de l’histoire après Zarah Fairn Dos Santos à évoluer au sein de l’Ultimate Fighting Championship (UFC), la plus prestigieuse ligue d’arts martiaux mixtes (MMA) au monde.La suite logique pour une combattante à la progression aussi linéaire que rapide. « J’avais déjà trois titres mondiaux, donc c’était le moment d’aller à l’UFC, expose-t-elle. D’autant que j’ai commencé le MMA tard et que j’ai déjà 30 ans. C’était maintenant ou jamais. C’était le bon timing ».Ex-championne de snowboardPourtant, Manon Fiorot aurait pu prendre une voie totalement différente puisqu’elle a été championne chez les jeunes, en snowboard, un sport de glisse. « La vie a fait que je me suis retrouvée dans un sports-études à la montagne, relativise-t-elle. Là-bas, il y avait du snowboard et je me suis essayée à cette discipline. J’ai tout de suite accroché ».Mais la jeune femme est par la suite revenue à sa première passion. « J’ai commencé le karaté à l’âge de 7 ans, raconte-t-elle. Il y avait un club à côté de la maison. Et mon père pratiquait la lutte. On baignait déjà un peu dans les sports de combats. J’aimais le karaté, je regardais les films de karaté. Et mes copains pratiquaient le karaté ».Après plusieurs années sur les tatamis, l’intéressée est montée sur les rings pour des combats de K-1 et de boxe thaïlandaise, deux sports dans lesquels elle a également excellé rapidement.Des débuts délicats en MMA« En parallèle, j’ai débuté le MMA. » Une incursion dans le monde des arts martiaux mixtes délicate, au départ. « J’ai peut-être voulu aller un peu trop vite, souligne-t-elle. Je suis directement allée aux Championnats du monde amateurs [en 2016, Ndlr], alors que je pratiquais le MMA depuis même pas un an. Les débuts ont été un peu compliqués. Il y a eu des défaites ».Mais, finaliste lors des Championnats d’Europe amateurs 2017, Manon Fiorot retente sa chance à l’échelon mondial, quelques mois plus tard. Avec la médaille d’or au bout, cette fois.Confortée par ce succès aux Mondiaux 2017, elle se lance ensuite dans le milieu professionnel. Elle perd certes son premier combat pro, en juin 2018 en Belgique, au sein du Cage Warriors, une organisation britannique. Mais ce revers n’est qu’une simple parenthèse.Émission de télé-réalité sud-africaineEn 2019, changement de destination et de décor. Manon Fiorot s’envole pour Johannesburg afin de participer à une émission de télé-réalité organisée par l’Extreme Fighting Championship (EFC), ligue numéro une de MMA en Afrique. « C’est mon manager qui a trouvé cette opportunité, notamment grâce à mon titre de championne du monde amateure, explique celle qui s’entraîne au Boxing squad de Nice (Sud de la France). Mais, pour être honnête, je n’avais pas du tout envie de participer à ce genre d’émission. En plus, je ne parlais pas anglais. J’étais super stressée. Je savais que j’allais passer deux mois en Afrique du Sud. Ça a été une expérience assez compliquée à vivre mais, au final, j’ai réussi ».Gagnante du jeu, Manon Fiorot décroche alors un contrat à l’EFC où elle ne tarde pas à devenir reine. En décembre 2019, elle domine en effet nettement la Sud-Africaine Amanda Lino, icône du MMA dans son pays. « C’était la star d’Afrique du Sud. Tout le monde criait ‘Amanda’ lors de ce combat ! À ce moment-là, il y avait encore du public dans les tribunes. C’est un très bon souvenir. »Aux Émirats arabes unis, en terrain connuManon Fiorot devient alors championne du monde de l’EFC. Suite à ce sacre, elle se lance toutefois à l’assaut d’une autre organisation pro, l’UAE Warriors, basée aux Émirats arabes unis. Son bilan dans cette ligue ? Trois victoires par KO technique en 2020, autant de démonstrations, et un maximum de confiance engrangée avant de s’attaquer à l’UFC.D’autant que ses débuts dans le saint des saints du MMA se feront aux Émirats arabes unis, ce 20 janvier 2021. « C’est la quatrième fois de suite que je combats, ici. Je me sens super à l’aise, lance-t-elle. Je ne subis pas les effets d’un décalage horaire, contrairement à mon adversaire ».Lors de l’UFC Fight Island 8, elle va ainsi affronter l’Américaine Victoria Leonardo. Une adversaire dont les qualités ne semblent pas l’impressionner. Pas plus que son statut de deuxième Française à l’UFC. « Je suis concentrée sur mon combat. Je ne pense pas vraiment à tout ça, balaie Manon Fiorot. Maintenant que j’y suis, mon objectif va être de gagner mes prochains combats et d’intégrer le plus rapidement possible le top 10 ». Une élite, chez les poids mouche, où elle estime avoir « [sa] place, largement ».
Le président américain sortant a annoncé, lundi soir, que les voyageurs venant d'Europe et du Brésil seraient à nouveau admis aux États-Unis à partir du 26 janvier. Mais quelques minutes après, l'équipe de Joe Biden, qui sera investi président le 20 janvier, a indiqué que les frontières américaines resteraient fermées. Le président américain Donald Trump a annoncé, lundi 18 janvier, la prochaine réouverture des frontières américaines aux ressortissants européens de l’espace Schengen, aux Britanniques, Irlandais ainsi qu’aux Brésiliens à compter du 26 janvier. Cette décision est liée à l’instauration, à la même date, d’une obligation de présenter un test négatif de dépistage du coronavirus à l’entrée sur le territoire américain, a indiqué le chef de l’État dans un communiqué.Quelques minutes plus tard, l'équipe de Joe Biden, qui prendra ses fonctions comme président des États-Unis le 20 janvier, a fait savoir que les frontières américaines resteraient bien fermées aux Européens et aux Brésiliens. "Ce n’est pas le moment de lever les restrictions sur les déplacements internationaux", a déclaré, sur son compte Twitter, Jen Psaki, qui doit officiellement prendre mercredi ses fonctions de porte-parole du nouveau président."Sur les conseils de notre équipe médicale, le (futur) gouvernement n'entend pas lever ces restrictions le 26 janvier", a écrit Jen Psaki sur Twitter. "D'ailleurs", a-t-elle ajouté, "nous prévoyons de renforcer les mesures de santé publique appliquées aux voyages internationaux pour lutter encore davantage contre la diffusion du Covid-19."Transition chaotiquePour ralentir la progression de la pandémie, Donald Trump avait fermé les frontières des États-Unis aux 26 pays de l'espace Schengen le 11 mars 2020, puis au Royaume-Uni et à l'Irlande le 14, avant d'en faire autant pour le Brésil le 24 mai.C'est un nouvel épisode d'une transition sans précédent dans l'histoire moderne des États-Unis, le président sortant Donald Trump entendant limiter au minimum les contacts avec l'équipe de Joe Biden. Donald Trump prévoit d'ailleurs de quitter Washington avant même la cérémonie d'inauguration de son successeur, mercredi.Les États-Unis font actuellement face à la pire phase de la pandémie que le pays ait connue à ce jour, avec plus de 20 000 décès sur les six derniers jours.Avec AFP