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Choc toxique : le témoignage de Sandrine, 36 ans, relance le débat

Après le syndrome du choc toxique qui a coûté la vie à Maëlle, 17 ans, un nouveau témoignage a pour but d’alerter les femmes. Sandrine, 36 ans, a expliqué au Parisien comment elle a eu un choc toxique après avoir utilisé une coupe menstruelle.

Tampons, serviettes ou cups ? Les femmes s’interrogent sur les protections hygiéniques qu’elles utilisent une fois par mois. Il y a deux semaines, la mère de Maëlle a passé un message bouleversant suite à la disparition de sa fille de 17 ans. Celle-ci est décédée après un choc toxique avec un tampon. C’est dans Le Parisien que Sandrine Graneau, a, elle, décidé de témoigner. La jeune femme de 36 ans raconte comment elle a dû être amputée des pieds et d’une partie de ses doigts après un syndrome du choc toxique (SCT). Elle ne portait pas de tampon mais une coupelle menstruelle. Sans créer la panique, elle veut avant tout témoigner pour alerter. "Quand j’entends que l’infection est liée à un mésusage des cups et tampons par les femmes, cela me met hors de moi, tant les informations que l’on nous donne varient. Prenez les cups, selon le fabriquant, il est écrit sur les notices que l’on peut les garder 4, 6, 8 ou 12 heures ! Comment on s’y retrouve là-dedans ? Pourquoi un temps d’utilisation clair et net n’est-il pas indiqué en gros ?" s’interroge-t-elle dans Le Parisien. C’est en avril 2019 que cette infirmière a utilisé une cup. "C’est d’abord l’histoire d’une maman qui se couche un soir comme tous les autres et se réveille 5 jours plus tard dans un service de réanimation. Ce qu’elle ne pensait au départ qu’une petite douleur dans le ventre s’avérait être en fait le début d’un choc (...)

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