China Moses : "J'aurais aimé réaliser des bandes-annonces pour les films"

La chanteuse, fille de Dee Dee Bridgewater, anime une émission sur TSF jazz le jeudi et le samedi à 19 heures.

Paris Match. Dernière bonne nouvelle ?
China Moses. Apprendre que mon frère n’avait pas le Covid-19.

D’où vient votre prénom ?
Mon père dit qu’à ma naissance il a ressenti l’énergie d’un milliard de personnes, d’où China !

Premier chagrin d’amour ?
J’avais 10 ans, ma meilleure amie n’a plus voulu me parler. Déchirant !

Métier que vous auriez aimé faire enfant ?
Réalisatrice de bandes-annonces pour les films.

Dernière fête trop arrosée ?
Il y a quelques jours lors du vernissage d’une amie.

Un toc ?
Chaque fois qu’il y a de l’eau qui coule dans les toilettes, je dois réparer ! On m’appelle “clef de 12”.

Insulte favorite ?
Je n’insulte jamais personne, mais fuck…

Film le plus vu ?
“Dirty Dancing”, c’est générationnel !

Prochaine destination de vacances ?
La Lituanie.

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Une addiction ?
Les “wine gums”, une confiserie anglaise très chimique.

Trois invités pour un dîner idéal ?
Grace Jones, Dinah Washington, Frida Kahlo.

Plus grosse honte ?
Avoir menti à la production de France Télévisions pour retourner à Londres un jour plus tard.

Une erreur de jeunesse ?
Etre entrée dans la vie active à 16 ans, sans apprendre ni au lycée ni en classe de musique.

Vous faites quoi le dimanche soir ?
J’enregistre pour une semaine toutes mes émissions de jazz diffusées en radio.


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