Accusée d'avoir une mauvaise influence sur son amie Loana, qui a été hospitalisée à la suite d'une overdose, Sylvie Ortega Munos a répondu à Steevy Boulay, Kenza Braiga et d'autres Lofteurs. Elle a notamment dénoncé leur hypocrisie, eux qui ne prendraient jamais de nouvelles de la star.
À l’occasion du 53e anniversaire de la journaliste Carole Gaessler, ce mardi 23 février, découvrez les circonstances du décès de son premier amour, Laurent Lépinasse.
NARCOTRAFIC - Emma Coronel Aispuro est accusée par la justice américaine d'avoir participé au réseau de trafic de stupéfiants de son mari
Les équipes de vaccination ont mélangé des restes de flacons pour constituer une "septième" dose, en plus des six autorisées par flacon, selon nos confrères de France Bleu Normandie.
L'ancien couple a finalisé sa procédure de divorce, plus d'un an et demi après sa rupture.
Ce mardi 23 février, Michel Cymes a été publiquement accusé de plagiat par son confrère Marc Gozlan. Face à la polémique, le médecin a tenu à faire son mea culpa.
Le duo français a annoncé sa séparation. Retour sur les voitures qui ont marqué leur carrière, dont une Ferrari 412 vendue après la catastrophe de Fukushima, en 2011.
Ce 23 février 2021, Eryl Prayer, l'un des meilleurs amis de Loana, a donné de ses nouvelles dans "Touche pas à mon poste". Le sosie d'Elvis Presley a lancé un message à Sylvie Ortega, l'agent de l'ancienne lofteuse, accusée d'être une mauvaise fréquentation.
Au Cameroun, le comité Idaho France, une ONG qui organise des actions contre l'homophobie, rapporte mardi l'assassinat de trois homosexuels en l'espace de deux semaines. Deux personnes transsexuelles, soutenues par cette association et défendues par l'avocate Alice Nkom, ont également été arrêtées et incarcérées la semaine dernière. "C’est le troisième meurtre en quinze jours." Alexandre Marcel, le président du Comité Idaho France, tire la sonnette d’alarme. Cette ONG qui organise des actions contre l’homophobie fait état de trois récents assassinats à l’encontre d’homosexuels au Cameroun.Selon elle, un couple a été assassiné il y a une quinzaine de jours à Yaoundé et un autre homme a été tué, lundi 22 février, à Douala, en raison de leur orientation sexuelle. "Il n’y a aucune information qui circule. Aucun média local n’en parle. Nous savons ce qu’il se passe car nous sommes alertés par des réseaux associatifs et des militants LGBT qui nous font remonter ces affaires", explique le président du Comité Idaho France.En 2013 et 2014, le pays avait déjà fait face à une série d’assassinats retentissants. Éric Lembembe, un militant homosexuel camerounais, et Roger Jean-Claude Mbédé, condamné en avril 2011 à trois ans de prison pour homosexualité, avaient été retrouvés morts à leur domicile. "À l’heure actuelle, il y a un regain d’homophobie en Afrique et particulièrement au Cameroun", constate Alexandre Marcel. Pour le président du Comité Idaho France, la crise sanitaire actuelle n’a d’ailleurs fait qu’exacerber les tensions : "À cause de la pandémie de Covid-19, les homosexuels sont obligés d’être dans leur famille et ne peuvent plus avoir de vie privée. Les choses se savent plus facilement.""C’est de pire en pire"L’avocate Alice Nkom, présidente de l’Association pour la défense des droits des homosexuels (Adefho) au Cameroun, ne confirme pas ces récents assassinats, même si elle en a aussi été informée et que cela lui semble "plausible". Depuis plus de 20 ans, cette militante se bat pour les droits des homosexuels dans un pays où avoir un rapport sexuel avec une personne du même sexe est un délit, puni de six mois à cinq ans d’emprisonnement. Elle observe également que leur condition est loin de s’améliorer : "Il suffit de lire les commentaires sur les réseaux sociaux. C’est de pire en pire."Depuis plusieurs semaines, l’avocate travaille sur le dossier de Shakiro et Patricia, deux femmes transsexuelles qui sont en détention provisoire à la prison de New Bell. Arrêtées le 8 février alors qu’elles se trouvaient dans un restaurant, elles sont aujourd'hui accusées d’homosexualité, d’outrage privé à la pudeur et de défaut de carte nationale d’identité. Pour leur avocate, il s’agit d’une violation des droits de l’Homme : "L’homosexualité est un acte. Vous ne pouvez pas dire que vous les avez prises en flagrant délit alors qu’elles étaient en train de manger du poisson !"Alice Nkom dénonce surtout la loi pénalisant l’homosexualité, qui n’a selon elle pas lieu d’être : "Elle est caduque. Elle ne devrait pas être appliquée car elle viole des lois qui lui sont supérieures." L’avocate met en avant la Constitution et la primauté donnée aux lois internationales qui luttent contre les discriminations. Le Cameroun n’est cependant pas un cas isolé. Si le Gabon a voté le 23 juin dernier une loi au Parlement dépénalisant les rapports entre personnes de même sexe, l'homosexualité reste encore punie dans de nombreux pays du continent africain. Dans certains, comme la Mauritanie, le Nigeria, la Somalie ou encore le Soudan, elle est même passible de la peine de mort.Les défenseurs des gays menacésEn 2015, la FIDH avait également mis en lumière dans un rapport les persécutions et les menaces contre les défenseurs des gays au Cameroun. Locaux incendiés, cambriolages, arrestations arbitraires ou encore "mort violente" : plusieurs membres d’associations de défense des droits des homosexuels et des droits de l’Homme, cités par la FIDH, se disaient en danger et assuraient ne pas pouvoir compter sur la police. En première ligne, Alice Nkom, que certains prennent plaisir à critiquer en la surnommant "la maman des pédés", en fait régulièrement les frais. "J’ai tout eu. On m’a jeté des cailloux, envoyé des menaces. Ils sont même passés à l’acte quelques fois. Mais qu’ils économisent leurs cailloux. On ne tire pas sur une ambulance", s’amuse-t-elle avec bravade.Pour Alexandre Marcel, il faut d’abord changer les mentalités. Dans les discours populaires et politiques, l'homosexualité reste souvent considérée comme un phénomène importé d’Occident, étranger à la "culture locale". "Il y a tellement de légendes urbaines sur les homosexuels qui sont exacerbées par les religions. Certains osent dire aussi que chez eux en Afrique, il n’y a jamais eu d’homosexualité", résume-t-il.Alice Nkom déplore également un manque d’éducation, mais selon elle, c’est avant tout le système qu’il faut changer. "Cela n’évoluera pas tant qu’il n’y aura pas un minimum de démocratie et de respect des valeurs des droits de l’Homme", affirme-t-elle. "Quand le pouvoir est entre les mains d’une seule personne et que la séparation des pouvoir est un leurre, il faut bien détourner l’attention des populations sur quelque chose. Les homosexuels sont une cible toute trouvée."Shakiro et Patricia doivent passer en jugement le 10 mars prochain. D'ici là, Me Alice Nkom espère leur obtenir la liberté provisoire. À 76 ans, l'avocate entend continuer le combat : "Cela me donne envie de redoubler d’efforts et de chercher de nouvelles stratégies. Les gens doivent accepter la diversité et respecter les homos."
Les amis et les proches de Tonton David lui ont rendu un ultime hommage lors de ses obsèques. Sur Twitter, la chanteuse Princess Erika a dévoilé un aperçu de ses funérailles en toute intimité.
Le Premier ministre prendra la parole ce jeudi, pour faire le point sur la lutte contre l'épidémie de Covid-19, dont l'évolution est jugée "préoccupante" dans certaines régions.
Ce mercredi 24 février, la légende Alain Prost souffle ses 66 bougies. S'il n'a plus rien à prouver sur les circuits, le pilote peut également être fier de ses trois enfants, Nicolas, Sacha et Victoria.
FAKE OFF - Contrairement à ce que suggère une publication Facebook largement partagée, les masques chirurgicaux ne sont pas empoisonnés
La vocation du chercheur israélien Clinton Bailey, un spécialiste des bédouins ayant accumulé des centaines d'heures d'enregistrements sonores sur cette société nomade, est née lorsqu'il faisait son jogging dans le désert du Néguev, en Israël.
Opéré d'urgence aux jambes après un terrible accident de la route, mardi, dans la banlieue de Los Angeles, Tiger Woods est toujours hospitalisé mais ses jours ne sont pas en danger.
Le Sénat américain a confirmé, mardi, à son poste celle que Joe Biden a nommé ambassadrice des États-Unis à l'ONU, la diplomate chevronnée et fine connaisseuse de l'Afrique Linda Thomas-Greenfield. C'est un succès pour le président démocrate dont d'autres nominations font néanmoins face à de plus fortes oppositions. Le Sénat américain a confirmé, mardi 23 février, à une très large majorité, Linda Thomas-Greenfield au poste d'ambassadrice des États-Unis à l'ONU.Diplomate chevronnée qui fut secrétaire d'État adjointe pour l'Afrique sous l'administration de Barack Obama, Linda Thomas-Greenfield, 68 ans, a été confirmée par 78 voix contre 20 à la chambre haute, qui a le pouvoir d'approuver ou de rejeter les nominations présidentielles.À l'ONU, à New York, les attentes sont grandes au sujet de la nouvelle ambassadrice, qui aura un rang de ministre contrairement à sa prédécesseure sans expérience internationale."Difficilement pire"Ces dernières années, "les États-Unis ont été plutôt absents des débats aux Nations unies, de ses activités (...), des processus de décisions", relève un ambassadeur sous couvert d'anonymat. "J'espère une meilleure dynamique", ajoute un de ses collègues membre du Conseil de sécurité."Ça peut difficilement être pire qu'avec l'administration sortante qui était unilatéraliste à l'excès, qui est sortie de traités, agissait avec la menace. On avait touché le fond et cela ne peut qu'être plus positif", renchérit un troisième ambassadeur en évoquant une ex-administration "dysfonctionnelle".Ce qui est le plus attendu, c'est "un changement d'attitude à l'égard des alliés européens", maltraités par l'administration Trump, indique un diplomate, également sous anonymat. Sous Donald Trump, Washington a bloqué des textes des Européens, proposé des contre-projets et même brandi son droit de veto."Preuves d'amour"À l'ONU, les États-Unis seront aussi attendus sur le règlement de leurs arriérés, estimées à environ 1,3 milliard de dollars, dont 700 millions pour l'année en cours. "Les discours, les promesses c'est bien, mais les preuves d'amour sonnantes et trébuchantes c'est mieux que l'amour", résume un diplomate.Le Sénat a également confirmé à une écrasante majorité Tom Vilsack, 70 ans, comme ministre de l'Agriculture, un poste qu'il avait occupé tout au long de la présidence Obama (2009-2017) : 92 voix en faveur et sept contre.D'autres membres choisis par Joe Biden pour son cabinet font face à de plus fortes résistances, dont son candidat pour diriger le ministère de la Santé, Xavier Becerra, qui passait, mardi, sur le gril des sénateurs en commission."J'ai du mal à voir comment un candidat aussi radical et sous-qualifié pourrait occuper un poste aussi crucial à un moment aussi critique" de la pandémie de Covid-19, a déclaré le chef des sénateurs républicains Mitch McConnell.Les démocrates disposent d'une infime majorité au Sénat : avec 50 sièges contre 50 républicains, ils peuvent compter sur la voix de la vice-présidente Kamala Harris, qui a le pouvoir de départager les votes à égalité. S'il garde le soutien de tous les démocrates, Xavier Becerra, 63 ans, pourra donc être confirmé et devenir le premier Hispanique à la tête de ce ministère.Le Sénat a jusqu'ici confirmé moins de la moitié des 23 membres du cabinet de Joe Biden, arrivé au pouvoir le 20 janvier.Avec AFP
Le maire RN de Perpignan réagissait sur BFMTV-RMC à la mort de deux adolescents en Essonne dans le cadre de rixes.
Pour souffler et profiter des siens, Claude Dartois a décidé de quitter Paris quelques jours, direction Dives-Sur-Mer. Un séjour dont il a fait profiter ses nombreux abonnés sur Instagram.
Le conseil régional de Galice a approuvé une loi permettant d'infliger des amendes aux personnes refusant de se faire vacciner contre le Covid-19. Les sanctions peuvent atteindre les 600 000 euros.
ANIMAUX - C’est la première opération du genre organisée depuis un an