Charles de Courson: "Le recours au 49.3 signe l'échec de ce gouvernement"
Charles de Courson, député de la Marne (LIOT) est l'invité du Live Toussaint ce vendredi pour évoquer la motion de censure contre le gouvernement après l'utilisation du 49.3.
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Ce lundi 27 mars 2023, Apolline de Malherbe était de retour avec un inédit de "Face à face". La présentatrice de 42...
Les groupes d’opposition ne croient pas à la « nouvelle méthode » que compte mettre en place Elisabeth Borne, qui va les recevoir. « Ils ne savent pas où ils vont », selon Bruno Retailleau (LR), qui ira malgré tout « volontiers » à Matignon. « Elle est dans une impasse », selon Patrick Kanner (PS), qui « pense que quelque chose est cassé ».
Insaf Rezagui, doctorante en droit international public à l'université Paris Cité et Mohammed Qawasma, doctorant en droit international à l'université Paris-Saclay reviennent sur le mandat arrêt émis contre Vladimir Poutine par la Cour pénale internationale (CPI).
Des milliers de personnes ont manifesté à Tel-Aviv dans la nuit de dimanche à lundi après le limogeage par le Premier ministre Benjamin Netanyahu de son ministre de la Défense, partisan d'une pause dans la réforme judiciaire controversée voulue par le gouvernement.Après l'annonce du limogeage dimanche par M. Netanyahu, des milliers de manifestants ont convergé, selon la police, vers la rue Kaplan dans le centre de Tel-Aviv, épicentre des protestations depuis la présentation en janvier du projet de réforme qui divise le pays.Les Etats-Unis se sont déclarés "profondément préoccupés", et ont souligné "la nécessité urgente d'un compromis"."Les valeurs démocratiques ont toujours été, et doivent rester, une caractéristique des relations entre les Etats-Unis et Israël", a averti la porte-parole du Conseil de sécurité nationale de la Maison Blanche Adrienne Watson."Les changements fondamentaux pour un système démocratique devraient être menés avec la base de soutien populaire la plus large possible", a-t-elle souligné.Avec cette réforme, le gouvernement, l'un des plus à droite de l'histoire d'Israël, vise à accroître le pouvoir des élus sur celui des magistrats. Mais selon ses détracteurs, le projet met en péril le caractère démocratique de l'Etat d'Israël.M. Netanyahu et ses alliés d'extrême droite et ultra-orthodoxes l'estiment nécessaire pour rétablir un rapport de force équilibré entre les élus et la Cour suprême, qu'ils jugent politisée.Samedi, Yoav Gallant, pourtant du même parti de droite que M. Netanyahu, le Likoud, avait dit craindre qu'une poursuite des divisions au sein de la population sur ce dossier engendre une "vraie menace pour la sécurité d'Israël", et réclamé une pause d'un mois dans le processus.L'annonce de son renvoi a entraîné la démission du consul général d'Israël à New York, Asaf Zamir. Le diplomate a qualifié sur Twitter le limogeage du ministre de "dangereuse décision" qui l'a "convaincu qu'(il) ne pouvait plus continuer de représenter ce gouvernement".A Tel-Aviv, des manifestants ont incendié des pneus dimanche soir, a indiqué la police dans un communiqué. Une journaliste de l'AFP a vu que des manifestants ont brûlé un canapé et du bois et ont bloqué une autoroute.Munis de drapeaux bleu et blanc, des manifestants ont scandé des slogans comme "Bibi dégage!", reprenant le surnom de Benjamin Netanyahu.D'autres rassemblements spontanés ont eu lieu devant la résidence du Premier ministre à Jérusalem ainsi que dans d'autres villes du pays comme à Haïfa (nord) et à Beer Sheva (sud), selon les médias locaux.- "Menace pour la sécurité" -"La sécurité d'Israël a toujours été et restera toujours la mission de ma vie", a réagi Yoav Gallant sur Twitter.La veille, il avait appelé à "l'arrêt du processus législatif" pendant un mois, avant une semaine cruciale qui devrait être marquée par d'autres dispositions législatives et par de nouvelles manifestations de masse, à l'appel des organisateurs du mouvement de protestation qui ont appelé à "paralyser" le pays."Je suis attaché aux valeurs du Likoud (...) mais les changements majeurs au niveau national doivent se faire par le biais de la concertation et du dialogue", avait déclaré le ministre samedi, appelant dans le même temps à l'arrêt des manifestations."Netanyahu peut renvoyer Gallant, mais il ne peut pas renvoyer la réalité et ne peut pas renvoyer le peuple d'Israël qui s'oppose à la folie de la coalition", a tweeté le chef de l'opposition, le centriste Yaïr Lapid. "Le Premier ministre d'Israël est une menace pour la sécurité d'Israël", a-t-il ajouté. Il avait salué samedi soir les propos de M. Gallant, les qualifiant de "pas courageux (...) pour la sécurité d'Israël".Deux députés du Likoud ont par ailleurs exprimé sur Twitter leur soutien à M. Gallant samedi, soulevant ainsi la question de savoir si le gouvernement pourrait compter sur la majorité s'il procédait à un vote.- "Outrage" -Les députés israéliens devraient se prononcer dans les prochains jours sur l'un des éléments centraux de la réforme, au cœur des inquiétudes de ses détracteurs, prévoyant le changement dans le processus de nomination des juges.Dans un discours retransmis à la télévision jeudi soir, M. Netanyahu, qui était jusque-là resté en retrait sur ce dossier, s'est engagé à "mettre fin à la division au sein du peuple", tout en soulignant sa détermination à faire avancer la réforme.Le lendemain, il a été rappelé à l'ordre par la justice qui a jugé "illégale" son intervention publique, compte tenu de ses procès en cours pour corruption.Et dimanche la Cour suprême a donné au Premier ministre une semaine pour répondre à la pétition d'une ONG demandant à ce qu'il soit sanctionné pour "outrage au tribunal" après ce discours.Selon la pétition du Mouvement pour un gouvernement de qualité en Israël, consultée par l'AFP, M. Netanyahu, inculpé dans une série d'affaires pour corruption, a violé un accord conclu avec la justice selon lequel un Premier ministre inculpé n'a pas le droit d'agir dans un domaine qui pourrait le placer en situation de conflit d'intérêts, conformément à un arrêt de la Cour suprême de 2020.alv/elm/roc/juf
Le Premier ministre israélien a annoncé le report de l’examen du texte à la mi-avril.
Le ministre israélien de la Défense Yoav Gallant a été limogé par Benjamin Netanyahu dimanche, au lendemain de son appel à une pause d'un mois dans le processus de réforme judiciaire controversée voulue par le gouvernement. Cette décision a provoqué une nouvelle fronde de la rue. Le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu a limogé, dimanche 26 mars, son ministre de la Défense Yoav Gallant, vingt-quatre heures après que celui-ci a appelé à suspendre d'un mois le processus de réforme judicia
En grande difficulté politique, la Première ministre lance trois semaines de consultations pour tenter de convaincre tous azimuts. Elle va s'atteler à montrer à la majorité qu'elle n'est pas démonétisée politiquement, tout en tendant la main aux LR et aux syndicats.
Alors qu’Israël est largement divisé sur le projet de réforme judiciaire, Isaac Herzog, le président du pays, veut arrêter le travail législatif.
Deux des trois incinérateurs de Paris sont toujours bloqués. Près de 7300 tonnes de déchets jonchent les trottoirs de la capitale.
Les manifestations pro-démocratie se succèdent chaque semaine depuis la présentation en janvier d’un projet de réforme controversé et porté par le gouvernement de Benjamin Netanyahu.
La plus grosse centrale syndicale israélienne a annoncé lundi "une grève générale" immédiate, exigeant l'arrêt du projet de réforme de la justice en cours d'examen au Parlement et qui divise profondément le pays."J'appelle à une grève générale", a déclaré Arnon Bar David, chef de la Histadrout. "Dès la fin de cette conférence de presse, l'Etat d'Israël s'arrête [...] Nous avons pour mission d'arrêter le processus de législation et nous allons le faire", a-t-il dit.Cette annonce a été suivie d'une autre, de l'Association médicale israélienne décrétant elle aussi une grève générale devant affecter les hôpitaux et services médicaux publics.Plus tôt dans la matinée, le président Isaac Herzog avait appelé le gouvernement à "stopper immédiatement" le travail législatif sur le projet de réforme judiciaire, après une nuit marquée par des heurts entre manifestants et policiers à Tel-Aviv.Selon les médias israéliens, le Premier ministre Benjamin Netanyahu devrait s'exprimer publiquement dans la journée, et pourrait accepter une pause dans la réforme, conformément à cet appel."Nous avons été témoins la nuit dernière de scènes très difficiles", a déclaré sur Twitter M. Herzog pour qui la "nation entière est en proie à une profonde inquiétude"."Notre sécurité, notre économie et notre société sont toutes menacées", ajoute le président, qui en appelle solennellement "au Premier ministre, aux membres du gouvernement et à ceux de la majorité" à "stopper immédiatement" l'examen du projet au Parlement "au nom de l'unité du peuple d'Israël".M. Herzog joue un rôle essentiellement protocolaire et ses appels répétés à trouver une solution de compromis sur la réforme ont été jusqu'ici sans effet et n'ont pas empêché le pays de glisser peu à peu dans la crise. Il s'était inquiété récemment d'un risque de "guerre civile".- "Compromis" -Dimanche soir, des milliers de personnes sont descendues dans la rue à Tel-Aviv après le limogeage par M. Netanyahu de son ministre de la Défense, Yoav Gallant, qui avait plaidé publiquement la veille pour une pause dans la réforme, en exprimant des craintes pour la sécurité d'Israël.Le projet de réforme proposée par le gouvernement de M. Netanyahu, l'un des plus à droite de l'histoire d'Israël, vise à accroître le pouvoir des élus sur celui des juges.Contesté dans la rue depuis bientôt trois mois, il est à l'origine d'un des plus grands mouvements de mobilisation populaire de l'histoire d'Israël. Les détracteurs de la réforme estiment qu'elle risque de mettre en péril le caractère démocratique de l'Etat d'Israël. Mais, signe que le processus législatif n'a pas encore été enrayé, la Commission parlementaire des lois a voté lundi matin en faveur d'un des éléments centraux de la réforme, au cœur des inquiétudes de ses détracteurs : le projet de loi modifiant le processus de nomination des juges.Alliés de poids d'Israël, les Etats-Unis se sont déclarés "profondément préoccupés", et ont souligné "la nécessité urgente d'un compromis"."Les valeurs démocratiques ont toujours été, et doivent rester, une caractéristique des relations entre les Etats-Unis et Israël", a averti dimanche la porte-parole du Conseil de sécurité nationale de la Maison Blanche Adrienne Watson."Les changements fondamentaux pour un système démocratique devraient être menés avec la base de soutien populaire la plus large possible", a-t-elle souligné.- "Menaces sur tous les fronts" -"J'appelle le Premier ministre à annuler le limogeage de Yoav Gallant. L'Etat d'Israël ne peut pas en ce moment, face aux menaces sur tous les fronts, s'autoriser un changement de ministre de la Défense", a déclaré de son côté lundi le chef de l'opposition israélienne Yaïr Lapid, dans une conférence de presse.Il avait salué samedi soir les propos de M. Gallant, les qualifiant de "pas courageux (...) pour la sécurité d'Israël".Deux députés du Likoud, le parti de M. Netanyahu dont est membre M. Gallant, ont par ailleurs exprimé sur Twitter leur soutien au ministre de la Défense déchu, soulevant ainsi la question de savoir si le gouvernement pourrait compter sur la majorité s'il procédait à un vote.Dans un discours retransmis à la télévision jeudi soir, M. Netanyahu, qui était jusque-là resté en retrait sur ce dossier, s'était engagé à "mettre fin à la division au sein du peuple", tout en soulignant sa détermination à faire avancer la réforme.Le lendemain, il a été rappelé à l'ordre par la justice qui a jugé "illégale" son intervention publique, compte tenu de ses procès en cours pour corruption.Et dimanche la Cour suprême lui a donné une semaine pour répondre à la pétition d'une ONG demandant à ce qu'il soit sanctionné pour "outrage au tribunal" après ce discours.mib/mj/vl
Volodymyr Zelensky a affirmé lundi au chef de l'AIEA, Rafael Grossi, qu'il ne pouvait pas y avoir de "sécurité nucléaire" en Ukraine sans retrait de l'armée russe de la centrale nucléaire de Zaporijjia, occupée par les troupes de Moscou depuis plus d'un an. Suivez heure par heure les derniers développements de la guerre en Ukraine. 1 h 03 : Amnesty dénonce "un deux poids, deux mesures" de l'Occident L'invasion de l'Ukraine par la Russie en 2022 a "dévoilé au grand jour l'hypocrisie des États occ
Face à l’explosion du coût du permis de conduire comme des délais pour le passer, et à inégalités territoriales criantes, les députés travaillent à des solutions.
Élisabeth Borne, la Première ministre, a annoncé qu’elle ne souhaitait plus avoir recours au 49.3, « en dehors des textes financiers ». Interrogés par Public Sénat, des représentants de la majorité sénatoriale de droite et du centre estiment que la cheffe du gouvernement commet une erreur tactique en se privant d’un outil constitutionnel. Une partie de la gauche, en revanche, appelle à la suppression pure et simple du 49.3.
Des milliers de personnes sont descendues dans les rues de Tel-Aviv ce dimanche soir après l'annonce du renvoi par Benjamin Netanyahu du ministre israélien de la Défense.
électricité - Huit parcs éoliens en mer ont à ce jour été confiés à des opérateurs, largement dominés par EDF
L'Assemblée nationale étudie, ce lundi, une proposition de loi Renaissance visant à faciliter le passage du permis de conduire.
pas en avant - Les 215 installations les plus polluantes d’Australie, telles que les mines de charbon et les centrales à gaz, devront réduire leurs émissions nettes de près de 5 % par an jusqu’en 2030
Emmanuel Macron recevra lundi midi Elisabeth Borne et les principaux cadres de sa majorité pour une réunion à la veille de la dixième journée de mobilisation contre la réforme des retraites, a annoncé dimanche l'Elysée confirmant une information de BFMTV. Le président s'entretiendra à midi avec sa Première ministre, avant d'être rejoints à 13h15 par les patrons de groupes parlementaires, chefs de partis et quelques membres du gouvernement.Le chef de l'Etat avait annoncé avoir confié cette missio
La présidente de la Chambre des Représentants américaine Nancy Pelosi se dit "fière" de son déplacement qui avait pour objectif "de féliciter Taïwan", pas de "discuter de la Chine", lors d'une conférence de presse à Washington.