Yahoo Actualités “Champimania”, une série à retrouver sur notre site
Avec leur chapeau, leurs lamelles ou leurs spores, en forme de chenille, microscopiques ou quasi invisibles, les champignons sont partout. Que l’on soit cueilleur amateur, chercheur, cuisinier, et même maroquinier ou simplement en quête d’une expérience hors du commun, ces organismes appartenant au règne des mycètes nous intriguent, nous émerveillent et bien souvent nous sont utiles. Bref, nous assistons à une véritable “champimania” !
Et avec un peu d’attention et d’entraînement, à l’instar des promeneurs du dimanche, on se rend vite compte que les champignons poussent aussi dans les pages des journaux. De tous les journaux. Partout dans le monde. Le nombre d’articles qui leur sont consacrés est impressionnant. Cet été, nous en avons sélectionné cinq. Nous ne cherchions pas l’(impossible) exhaustivité sur le sujet, mais bien à vous faire voyager et réfléchir grâce à ces drôles d’êtres vivants.
Le koji, la moisissure superstar à l’origine du saké et de la sauce soja
Le champignon Aspergillus oryzae, appelé “koji” au Japon, est essentiel à la première étape de production de la sauce soja et du saké à partir de fèves de soja et de riz. Knowable Magazine revient sur l’histoire de sa domestication, qui remonte au néolithique.
Le champignon le plus cher du monde pousse sur le plateau tibétain et il soigne presque tout
Le yartsa gunbu a des vertus médicinales reconnues en médecine traditionnelle. Aussi considéré comme le “Viagra de l’Himalaya”, il est menacé par la surexploitation et le réchauffement climatique.
Comment les amateurs de cueillette de champignons font avancer la connaissance
Aux États-Unis, mycologues professionnels mais aussi amateurs, de plus en plus nombreux, utilisent les outils de séquençage de l’ADN pour identifier les champignons qu’ils rencontrent en sous-bois. L’objectif : enrichir les bases de données et repérer des espèces qui n’ont encore jamais été décrites, explique The New York Times.
Comment les champignons hallucinogènes m’ont redonné la joie de vivre à la ménopause
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