Elle se casse la cheville et meurt sur la table d’opération, les médecins manquent cinq occasions de la sauver
Laura Griffiths, mère de famille de 35 ans, est morte d’un infarctus pulmonaire, le 31 décembre 2019 à l’hôpital de Pinderfields. La veille de sa mort, l’ancienne enseignante avait été opérée pour une cheville cassée. Un mal résultant d’une chute lors d’une sortie nocturne, le 14 décembre de la même année. Lors d’une audience, le tribunal a entendu que l’infarctus pulmonaire survient suite à la mort d’un tissu pulmonaire à cause d’un apport sanguin bloqué. Le mardi 16 juillet dernier, l’enquête sur la mort de cette mère de famille a repris au tribunal des coroners de Bradford. Devant le tribunal, Sarah Edwards, l’avocate de la famille, a évoqué 2 doses oubliées de Tinzaparine. Il s’agit du médicament pour le traitement de la thrombose veineuse profonde après l’opération. Selon l’avocate, Laura Griffiths n’avait pas pris le médicament le 22 et 23 décembre, car elle avait terminé sa réserve.
Des retards et un mauvais dosage médicamenteux
Sarah Edwards a également parlé d’un retard de 90 minutes quant à la prise du Tinzaparin, le 30 décembre. La famille avait aussi soulevé la question d’un possible "sous-dosage" du médicament après l’opération. La raison étant que le poids de Laura Griffiths avait été mal enregistré. Ce qui aurait contribué à sa thrombose veineuse profonde. En outre, l’avocate de la famille n’a pas manqué de souligner que la victime avait des douleurs et un gonflement au genou (...)
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