Le commissaire européen à l’Économie, Paolo Gentiloni est optimiste pour la situation économique de l’Europe. Selon, lui dans une interview publiée ce samedi, « l’inflation a atteint son pic à la fin de 2022 ».
Michel Drucker : son projet pour Paris 2024... et sa nouvelle formule de Vivement dimanche
Implication - La Russie ne veut pas laisser Anthony Blinken, qui doit rencontrer Benjamin Netanyahu dans la semaine, user seul de son influence
VOICI : Marina Foïs : la mort de son frère Fabio, le plus grand drame de sa vie
En Chine, les chiffres de la consommation continuent d'inquiéter. Les ventes de smartphones ont baissé de 13% en 2022 dans la seconde puissance mondiale et les livraisons de téléphones intelligents sont passées sous la barre des 300 millions pour la première fois depuis 2013. Signe d'un marché qui commence à saturer. Moins 13% en un an, c'est la plus grosse chute observée sur le marché des smartphones en Chine depuis une décennie, selon une étude du cabinet IDC.Une chute qui s'explique par les d
GALA - Michael Schumacher : ce qu'il faut connaître
Novak Djokovic a remporté, dimanche, à Melbourne, son dixième Open d'Australie face à Stefanos Tsitsipas. Avec ce nouveau titre, le tennisman serbe égale le record de 22 Grand Chelem détenu par Rafael Nadal et va redevenir numéro 1 mondial lundi. Une victoire et des records. Novak Djokovic a remporté, dimanche 29 janvier, l'Open d'Australie, à Melbourne. Un dixième sacre qui permet au tennisman serbe d'égaler le record de Rafael Nadal (22 titres du Grand Chelem) et de redevenir numéro 1 mondial
Ce dimanche au Pakistan, deux drames ont touché le pays à quelques heures d'intervalle. D'une part, l'accident d'un bus a fait au moins 41 morts, puis au moins dix enfants ont perdu la vie dans le naufrage d'un bateau. Selon les estimations de l'OMS, plus de 27.000 personnes sont mortes sur les routes du Pakistan en 2018.
Le report de l'âge de départ à la retraite de 62 à 64 ans, contesté par les syndicats et l'essentiel des oppositions, "n'est plus négociable", a affirmé Élisabeth Borne dimanche, à la veille du début de l'examen du projet en commission à l'Assemblée.
Des centaines de manifestants en Iran, Irak et au Liban, ont dénoncé la "profanation" du Coran en Suède et aux Pays-Bas la semaine dernière. Ils appellent également au boycott de toutes les importations suèdoises.
La compagnie aérienne britannique Flybe a annoncé samedi avoir cessé son activité et annulé tous ses vols."Il est toujours triste de voir une compagnie aérienne (être placée sous) administration (judiciaire) et nous savons que la décision de Flybe de mettre fin à son activité sera éprouvante pour tous ses employés et clients", a-t-il déclaré.
La situation des femmes est l'une des grandes inquiètudes de cette réforme. La secrétaire d'État, comme d'autres membres du gouvernement, a pris ses distances avec les propos de Franck Riester qui a affirmé que les femmes seraient "un peu pénalisées" avec la retraite à 64 ans.
Un protocole d'accord est soumis de 14H à 16H au vote des délégués du Congrès socialiste à Marseille, entérinant la victoire d'Olivier Faure comme premier secrétaire du PS, à l'issue de plusieurs jours de contestations internes.Selon la direction, le texte détermine que son rival Nicolas Mayer-Rossignol, sceptique vis-à-vis de l'alliance de gauche Nupes et qui contestait jusqu'à présent sa victoire, deviendra premier secrétaire délégué au côté de la maire de Nantes pro-Faure Johanna Rolland.Hélène Geoffroy, chef de file des anti-Nupes, prendra la présidence du conseil national, le parlement du parti. Des ajustements à la marge étaient encore en discussion à midi, au deuxième jour du Congrès, au Palais du Pharo."Nous sommes prêts à un accord", à l'issue d'un "échange transparent et démocratique", a expliqué Nicolas Mayer-Rossignol à la presse, après l'avoir présenté à ses partisans.Le maire de Rouen, critique sur l'alliance de gauche Nupes dont Olivier Faure est un artisan, a contesté pendant plusieurs jours la victoire du premier secrétaire sortant (avec officiellement 51,09%).M. Mayer-Rossignol dit incarner une ligne centrale, moins pro-Nupes que ne l'est celle d'Olivier Faure. Il ne cache pas ses réticences vis-à-vis de LFI et d'un accord qui a déçu beaucoup de socialistes.Interrogé par l'AFP pour savoir s'il reconnaissait que M. Faure était désormais sans conteste le premier secrétaire, il a défendu, sans précision, qu'il s'agissait d'une "gouvernance globale".Le terme "direction collégiale", qu'il souhaitait, n'a pas été retenu dans le texte, a précisé la direction.Les deux camps ont passé la nuit à négocier.- organigramme -Les discussions concernaient notamment la proposition d'Olivier Faure d'intégrer ses rivaux dans l'équipe de direction, mais en reconnaissance de sa victoire. "Il y a une architecture à construire dans le respect de ce que les militants ont exprimé", expliquait le chef des députés Boris Vallaud, c'est-à-dire un "équilibre des rapports de force" qui se traduit en "secrétaires nationaux thématiques" et dans "l’ordre dans l’organigramme".A l'issue d'un premier vote sur le texte d'orientation, Olivier Faure avait obtenu 49% des voix et le maire de Rouen autour de 30%, devant une troisième candidate, la maire de Vaulx-en-Velin Hélène Geoffroy (autour de 20%). Les négociations se sont notamment débloquées lorsque cette dernière, qui n'avait pas pu se maintenir et avait décidé de soutenir Nicolas Mayer-Rossignol, a indiqué qu'elle ne souhaitait pas intégrer la direction, mais rester dans l'opposition."Ils assument d'être la minorité, mais ne sont plus avec Nicolas Mayer-Rossignol, ce qui change la donne" et le rapport de force, explique une proche d'Olivier Faure."Notre but, c'est de rassembler les gens et de ne pas les écraser", a expliqué cette même source, alors que la guerre intestine que se livrent les deux camps a fracturé le parti et dégradé l'image du PS, déjà fragilisé par l'échec historique de sa candidate à la présidentielle, Anne Hidalgo (1,7%). Mais la proche du patron sortant du PS a souligné que chez les militants d'Olivier Faure, réunis vendredi soir, la tension avait été "forte", car ils étaient "remontés" après les accusations de fraudes dans le vote formulées par Nicolas Mayer-Rossignol.caz-bap/bpa/rhl
Voici - Le comédien et metteur en scène Gérard Caillaud est mort à l’âge de 76 ans
France-Suède : ce qu'il faut savoir sur la demi-finale de handball de l'Euro 2022
GALA VIDEO -“Pathétique”, “pitoyable”… Mémoires du prince Harry : Stéphane Bern ne mâche pas ses mots !
La police de Memphis a démantelé samedi l'unité des cinq policiers accusés d'avoir causé la mort d'un Afro-Américain de 29 ans après un long passage à tabac dont la vidéo a suscité une nouvelle fois horreur et incompréhension. Les appels se multipliaient pour mettre fin à l’unité spéciale Scorpion, un groupe créé tout récemment pour lutter contre la criminalité à Memphis. Samedi, la police de Memphis a déclaré dans un communiqué qu' « il est dans l'intérêt de tous de démanteler définitivement l'
Plusieurs architectes se mobilisent au côté d'habitants de la cité populaire du Mirail, à Toulouse, pour éviter la destruction de 1.400 logements des années 1960, plaidant leur réhabilitation et dénonçant un projet désastreux sur le plan écologique et économique.Le "Grand d'Indy", barre massive de onze étages, se détache au dessus des arbres, non loin du lac de la Reynerie. L'immeuble, érigé en Y, abrite 243 logements sociaux et doit être détruit en 2023.Six autres bâtiments du quartier sont condamnés à disparaître pour laisser place à de plus petits, allant du pavillon individuel à l'immeuble collectif, suivant un plan soutenu par l'agence nationale de renouvellement urbain."Alors même qu'on manque de logements à Toulouse, c'est une aberration !", s'emporte Michel Retbi, architecte du collectif opposé au projet.Toulouse, quatrième ville de l'hexagone avec plus de 493.000 habitants, figure en zone immobilière tendue en raison d'une offre insuffisante.La démolition des ensembles bâtis par les architectes Candilis, Josic et Woods, inspirés de Le Corbusier, n'est plus défendable dans le contexte actuel de flambée des prix des matières premières et de crise climatique, selon le collectif."Démolir et reconstruire coûte trois fois plus cher que réhabiliter" et "le bilan carbone d'une démolition est le triple de ce que représente une réhabilitation", assure M. Retbi.La rénovation du quartier, à quinze minutes en métro du centre-ville, pourrait se mener sans démolition, martèlent-ils, plaidant pour un moratoire sur les destructions et un concours d'architecture pour imaginer le Mirail du futur.- Logements spacieux -Baptisés des noms de compositeurs et de peintres (Le Tintoret, Messager, etc.), ces grands ensembles "font partie des rares bâtiments qui n'ont pas bougé après AZF", précise Gilbert Pedra, autre membre du collectif.L'explosion de l'usine d'engrais AZF en 2001 a fait 30 morts et détruit ou endommagé près de 30.000 édifices.Ceux du Mirail ont conservé "une structure saine", assure l'architecte, poursuivant dans un éclat de rire: "les logements de luxe en plein centre-ville de Toulouse sont moins bons que ça, et en espace et en qualité, et c'est un architecte qui vous le dit !"Les appartements, presque tous logements sociaux, vont du T2 au T6 et sont "super", sourit Jacques Rovaris, 79 ans, qui occupe depuis plus de 40 ans un T2 au cinquième étage du Grand d'Indy.Avec 66 m2, un séjour lumineux et un large balcon d'où il voit les Pyrénées par beau temps, le retraité se dit "heureux". Un relogement dans "un appartement bien, mais plus petit" lui a été proposé, mais il "ne demande pas à partir, juste à faire quelques petites améliorations"."On peut imaginer toutes sortes de réhabilitations", assure Michel Retbi. Un argument appuyé par la présidente du conseil national de l'ordre des architectes, Christine Leconte, et les architectes Anne Lacaton et Jean-Philippe Vassal, lauréats du prix Pritzker 2021.- Mauvaise image - Ces bâtiments sont vus comme "des cages à lapin" et pâtissent d'une "mauvaise image", regrette Claire Martin, membre du collectif, regrettant l'"association faite entre la paupérisation du quartier et le bâti".Leur destruction s'inscrit dans la volonté politique de transformer le Mirail, miné par le trafic de drogue. Les autorités souhaitent créer de la mixité sociale en diminuant la part de logements sociaux au dessous de 50%.Si l'opération est onéreuse - le coût de la seule destruction est estimé à plus de 87 millions d'euros - Gaëtan Cognard, maire du quartier, assume ce choix: "les architectes pensent aux bâtiments, moi aux habitants"."Il s'agit de démolir maintenant pour nos générations futures", argue-t-il, estimant que les émissions de carbone d'une reconstruction aux normes actuelles seront compensées sur le long terme.Quant au manque de logements, "on ne va pas arrêter tous les chantiers de démolition, surtout quand" ils visent à "renouveler et améliorer le cadre de vie des habitants", estime-t-il.Un objectif auquel peine à croire Brigitte Touillet, 69 ans, habitante opposée au projet. Elle cite un autre secteur du Mirail où "ils ont construit des petits cubes partout"."On nous dit que cela a fait plus de mixité sociale, mais rien n'a changé. Quand on sort du métro, on peut toujours acheter toutes les herbes qu'on veut", raconte-t-elle, en allusion au trafic de drogue.cha/fpp/gvy
GALA VIDÉO - “Personne ne souhaite le bordel !” Fabien Roussel répond aux accusations de Gérald Darmanin
Pas question pour Maeva Ghennam de se retenir quand elle a envie de faire pipi. Soucieuse de sa santé et certainement...