Et si le cancer était guéri pour toujours ?
Aujourd'hui, c'est la journée mondiale du cancer, imaginons un monde sans cancer.
Alors que l'administration Biden s'apprête à publier le rapport du renseignement sur l'assassinat de Jamal Khashoggi, et que le nouveau président américain s'est entretenu avec le père du prince héritier Mohamed Ben Salmane, les relations entre Washington et Riyad semblent se dégrader. Décryptage avec Karim Sader, politologue spécialiste du Golfe. Au sommet de son influence et de son pouvoir sous l’ère Trump, le prince héritier saoudien Mohammed Ben Salmane, dit MBS, n’est pas dans les bonnes grâces de la nouvelle administration américaine qui veut recalibrer ses relations avec Riyad.La Maison Blanche ne s’en cache pas et le président Joe Biden a préféré s'entretenir, jeudi 25 février, pour la première fois, avec le roi Salmane plutôt qu'avec son fils.De plus, Joe Biden, qui avait critiqué à plusieurs reprises pendant sa campagne les atteintes aux droits de l'Homme en Arabie saoudite, va également autoriser la déclassification du rapport du renseignement américain sur l'assassinat du journaliste Jamal Khashoggi en octobre 2018. Un rapport rédigé six semaines après l’assassinat perpétré dans l’ambassade saoudienne à Istanbul, qui est potentiellement très compromettant pour Mohammed Ben Salmane."Il est indéniable que l’on assiste à la rupture avec la diplomatie américaine sous l’ère Trump vis-à-vis de l’Arabie saoudite, explique Karim Sader, politologue et consultant spécialiste du Golfe, interrogé par France 24. Toutefois, il faut être précis, car il s’agit surtout d’un changement d’attitude vis-à-vis d’une personne, à savoir le prince héritier Mohammed Ben Salmane, qui était 'le chouchou' de l’administration Trump"."Autre preuve de l’hostilité affichée vis-à-vis de la personne même de MBS, la décision on ne peut plus explicite consistant à choisir le roi Salmane comme interlocuteur, et non plus son fils qui avait une porte d’entrée presque intime dans le Bureau ovale, à travers le gendre du président Trump, Jared Kushner, réputé pour échanger avec lui quotidiennement".Depuis son arrivée à la Maison Blanche, Joe Biden "a multiplié les décisions défavorables au prince hériter et à ses œuvres, comme la fin du soutien de la guerre au Yémen, ou encore la décision de retirer les Houthis de la liste antiterroriste américaine, qui était le dernier cadeau diplomatique offert par Donald Trump juste avant de quitter le pouvoir", rappelle Karim Sader. Sans oublier, ajoute-t-il, la main tendue par les États-Unis à l’Iran, dans l'optique d’un éventuel retour dans l’accord sur le nucléaire iranien.Autant de dossiers chers à MBS, dirigeant de facto de la pétromonarchie wahhabite, nommé par le roi Salmane prince héritier en juin 2017, qui après avoir connu une ascension fulgurante et une certaine notoriété en Occident a vu son image de réformateur se ternir peu à peu. Notamment en raison de ses méthodes de gouvernance brutale et une dérive autoritaire illustrée par des campagnes d’arrestations menées dans le royaume à l’endroit de militants des droits de l’Homme, des intellectuels et des critiques. Guerre au Yémen, embargo contre le Qatar... MBS a également collectionné les mauvais calculs sur le plan diplomatique, avant que l’assassinat de Jamal Khashoggi ne suscite une vague d'opprobre internationale contre l'Arabie saoudite et son homme fort.Lâcher MBS ? Reste à savoir si l’administration américaine peut arrêter de travailler avec celui qui est destiné à régner sur l’Arabie saoudite, et si les décisions de Joe Biden ne sont pas en train d’enclencher un processus visant à lâcher MBS et à provoquer sa chute.La question peut se poser, selon Karim Sader. "Cette rupture sonne la fin du sentiment d’impunité qui pouvait animer le jeune prince sous le prédécesseur de Joe Biden", estime-t-il. Alors que l’administration Trump avait ardemment défendu le prince hériter, allant jusqu’à le couvrir dans l’affaire Khashoggi et à relativiser sa responsabilité personnelle et directe, "ce blanc-seing ne semble plus d’actualité".MBS n’est pas dupe, il sait que cette ère est révolue, selon le politologue."Le prince héritier ressent la pression de la nouvelle administration, il a d’ailleurs lâché du lest sur un certain nombre de sujets, notamment au sujet de la réconciliation avec le Qatar, et la libération de la militante saoudienne des droits humains Loujain al-Hathloul, développe Karim Sader. MBS est pris en étau entre, d’un côté ce nouveau président américain qui va exiger de lui plus d’ouverture et de réformes, et de l’autre, la frange conservatrice du royaume qui reste hostile au changement et aux projets de modernisation du jeune prince".Si MBS ne peut plus compter sur le soutien de Washington, il se retrouvera dans une position très inconfortable politiquement. "S’il perd son allié américain, Mohammed Ben Salmane perdra beaucoup de crédit en interne, juge le politologue. Et ce, sachant qu’il a beaucoup d’ennemis qui l’attendent au tournant, à commencer par la frange conservatrice et par tous les princes qu’il avait publiquement humilié"."L’Arabie saoudite demeure un allié de premier plan des Américains"Toujours-est-il qu’en tournant publiquement le dos à l’homme fort du royaume saoudien, le président américain a jeté un froid sur l’avenir de la relation entre Washington et Riyad, et de l’alliance historique entre la première puissance mondiale et le premier exportateur de pétrole."L’Arabie saoudite demeure un allié de premier plan des Américains, et aucun des deux pays n’a intérêt à mettre un terme à cette alliance, assure Karim Sader. Toutefois, depuis plusieurs années déjà, l’Arabie saoudite n’a plus la même importance stratégique du point de vue des États-Unis".Notamment d’un point de vue énergétique. "Les États-Unis qui se sont lancés dans le développement des énergies non-conventionnelles, dont le gaz de schiste, sont arrivés à un stade de production qui leur permet de sortir de leur dépendance vis-à-vis du pétrole saoudien, précise-t-il. Une dépendance qui était le socle de leur alliance".Et de conclure : "Joe Biden souhaite rééquilibrer la diplomatie américaine dans la région et entre les différentes monarchies du Golfe, comme avait cherché à le faire Barack Obama avant lui. Qui dit rééquilibrage, ne dit pas rupture avec les Saoudiens, donc il s’agit plutôt de ne plus reconnaître à l’Arabie saoudite son rôle de puissance dominatrice dans le Golfe. D'autant plus que les États-Unis peuvent s’appuyer davantage sur les Émirats arabes unis, sachant que ce pays, comme d’autres dans la région, ont franchi le pas du rapprochement avec Israël".
La Nasa a publié mercredi 24 février 2021 une spectaculaire photo panoramique de Mars prise par Perseverance sur la zone où le rover a atterri la semaine dernière.
Carla Bruni a publié une vidéo ce mercredi 24 février dans laquelle elle dévoilé le visage de sa fille Giulia.
Invité sur le plateau de Touche pas à mon poste ce jeudi 25 février, Jean Dominici s'est confié sur la mort de Christophe Dominici, en faisant part de sa colère contre la psy et la femme de son fils.
Le 29 juillet 1981, le prince Charles passait la bague au doigt de Lady Diana devant près d’un milliard de téléspectateurs à travers la planète. La veille, le prince Charles lui avait brisé le cœur en lui avouant l'inavouable.
Opéré d'urgence aux jambes après un terrible accident de la route, mardi, dans la banlieue de Los Angeles, Tiger Woods est toujours hospitalisé mais ses jours ne sont pas en danger.
Mardi, un homme a pénétré dans le commissariat de Carpentras avec un couteau à la main. Son but : se faire arrêter pour passer la nuit en garde à vue, loin de chez lui et de sa femme qu'il ne supporte plus.
Près de 83 centres hospitaliers ont déjà reçu des doses de ce traitement qui pourront être administrées “avec prudence” sur un public jugé particulièrement vulnérable.
WASHINGTON (Reuters) - Le groupe français AXA, Baker Hughes et seize autres sociétés ont progressivement réduit leur participation au projet de construction de l'oléoduc Nord Stream 2 et ne seront pas sanctionnés par Washington, selon un document que l'administration du président américain Joe Biden a transmis la semaine dernière au Congrès et que Reuters a pu consulter. Gazprom, le géant gazier détenu par l'Etat russe et principal promoteur de Nord Stream 2, s'évertue avec ses partenaires occidentaux à finaliser au plus vite l'oléoduc, qui doit acheminer du gaz naturel de la Russie vers l'Allemagne.
Ce mercredi 24 février 2021, les internautes n'ont pas caché leur mécontentement envers le comportement de Matthias de Top Chef. Selon eux, le candidat de la brigade de Philippe Etchebest n'a pas manqué de sexisme et de machisme envers sa co-équipière Charline.
Le 25 février, le rappeur Crim's a été victime d'une tentative d'homicide. Deux hommes cagoulés lui ont tiré dessus avec des armes à feu. Son pronostic vital est engagé.
Lucie et Victoire vont-elles se rabibocher ? Samuel est furieux contre son père et souhaite porter plainte pour avoir drogué Lydie. De son côté, Morgane confie une petite mission surprise à Sandrine...
Diffusé ce soir sur France 3, le film Aurore met en lumière une Agnès Jaoui solaire. Moins de deux mois après la mort de son éternel complice Jean-Pierre Bacri, focus sur les deux enfants que l'actrice et réalisatrice a adoptés au Brésil.
Dans "Sans Rendez-vous", la sexologue et psychanalyste Catherine Blanc répond à Françoise, dont le mari l'a trompé pendant deux ans. Si elle a mis autant de temps à s'en rendre compte, c'est que ce dernier avait toujours du désir pour elle. Mais cela n'est pas si étonnant selon la spécialiste.
Nuit difficile pour Alizée et Maxime, l'un des binômes mythiques de Pékin Express. Dans la nuit du 23 au 24 février ils ont conduit en urgence leur bébé Thi-Waï à l'hôpital. Une épreuve vécue difficilement par le jeune papa resté à l'extérieur en raison de la crise sanitaire...
En exclusivité, Non Stop People vous dévoile un extrait du passage de Christophe Barbier dans l'émission "Face aux médias", diffusée ce mercredi 24 février à 18h15 sur la chaîne. Dans cette séquence, l'éditorialiste analyse ce qui, selon lui, fait le succès d'Eric Zemmour dans "Face à l'info", le programme présenté par Christine Kelly sur CNews.
Ce jeudi 25 février, Régis Laspalès fête ses 64 ans. L'occasion de revenir sur le duo qu'il a formé pendant trente ans avec Philippe Chevallier et sur les raisons de leur séparation en 2016.
La France a autorisé et commandé un premier traitement par anticorps de synthèse, qui doit soigner les malades du Covid-19. Le professeur Hervé Watier voit dans ce remède une "prouesse" et une "lueur d'espoir".
La mairie de Paris va proposer au gouvernement un confinement de 3 semaines dans la capitale afin "d'avoir la perspective de tout rouvrir" à son issue, y compris bars, restaurants et lieux culturels. La mairie de Paris va soumettre au gouvernement un plan préconisant un confinement de la capitale pendant trois semaines avec l'objectif de rouvrir restaurants, bars et salles de spectacle à l'issue de cette période, a déclaré, jeudi 25 février, le premier adjoint Emmanuel Grégoire sur France Info.Plutôt qu'un confinement le week-end, une mesure "très contraignante sur le plan de l'impact sociétal et assez peu efficace sur le plan sanitaire", le premier adjoint préfère "un confinement tout court" à Paris de façon à "vraiment redonner de l'oxygène et avoir la perspective dans trois semaines de tout rouvrir", tout en conservant des mesures de protection sanitaire."On ne peut pas s'imposer de vivre dans une semi-prison pendant des mois. Il faut maintenant prendre des décisions courageuses", a déclaré l'adjoint de la maire PS Anne Hidalgo après l'annonce par le Premier ministre Jean Castex de la mise sous "surveillance renforcée" de Paris, comme 19 autres départements, face à la remontée épidémique.Ces territoires pourront faire l'objet de mesures de confinements locaux à partir du week-end du 6 mars si la situation continuait à se dégrader, après "concertations avec les élus", a ajouté le chef du gouvernement."Des demi-mesures avec des mauvais résultats"Si la méthode du gouvernement d'engager le dialogue entre préfets et élus locaux "est la bonne", Emmanuel Grégoire estime que "la situation actuelle, qui nous semble un tout petit peu attentiste, est la pire parce que ce sont des demi-mesures avec des mauvais résultats".La mairie, également favorable à "un retour au télétravail de façon obligatoire" et à des mesures "ciblées, avec discernement et à durée limitée" vis-à-vis des commerçants, entend faire remonter ses propositions au gouvernement en début de semaine prochaine, après dialogue avec l'Agence régionale de santé (ARS) et la préfecture de police au cours du week-end.Interrogé jeudi soir sur les déclarations d'Emmanuel Grégoire, l'entourage du Premier ministre a décliné tout commentaire, renvoyant simplement à "la concertation préfet/élus". L'adjointe à la Santé Anne Souyris (EELV) a dit craindre une "explosion des chiffres" du Covid-19 dans la capitale avec la rentrée scolaire lundi et la progression du variant britannique, alors que le taux d'incidence y est déjà supérieur au seuil d'alerte maximale.Avec AFP
Si les membres de la famille royale sont régulièrement de passage au palais de Buckingham, chacun occupe sa propre résidence, parfois à plusieurs centaines de kilomètres. Voici les lieux de résidence des principaux représentants de la Couronne britannique.