Camille Gottlieb : Cuissardes et mini robe noire pour célébrer "l'amour de sa vie"
Camille Gottlieb : Cuissardes et mini robe noire pour célébrer "l'amour de sa vie"
Camille Gottlieb : Cuissardes et mini robe noire pour célébrer "l'amour de sa vie"
L'ancien Premier ministre, invité de BFMTV, a affirmé être "évidemment favorable" à la réforme des retraites du gouvernement.
ARCHEOLOGIE - Les anciens Égyptiens avaient accumulé une connaissance énorme pour préserver les corps après la mort
Alors que les médecins réclament au moins une augmentation de cinq euros, les discussions se passeraient mal avec l’Assurance maladie selon les syndicats, qui réitèrent leur appel de fermeture des cabinets le 14 février.
"Au début c'était une blague (...), mais maintenant ce sont des problèmes": en Ouganda, Musa Hasahya Kesera est le père de 102 enfants et peine à subvenir à leurs besoins... ou même à se souvenir de leurs prénoms.A 68 ans, il est à la tête d'une famille de 12 femmes, 102 enfants - le plus jeune âgé de 10 ans, le plus vieux de 50 ans - et 578 petits-enfants.Il est devenu une attraction dans son village de Bugisa, dans l'est de l'Ouganda, mais il s'arrêtera là. "J'ai appris de mon attitude irresponsable d'avoir eu autant d'enfants dont je ne peux pas m'occuper", assure-t-il.Sa vaste famille vit entre une maison délabrée au toit de tôle rouillée et une vingtaine de huttes en terre situées à proximité."Avec ma santé défaillante et moins d'un hectare de terre pour une si grande famille, deux de mes femmes sont parties car je ne pouvais plus subvenir à l'essentiel, comme la nourriture, l'éducation ou l'habillement", souligne ce père de famille, actuellement sans emploi.Pour éviter que la famille ne s'agrandisse encore, ses épouses prennent des moyens de contraception. "Pas moi", lâche-t-il.- Réunions de famille mensuelles -La polygamie est autorisée en Ouganda. Musa Hasahya Kesera s'est marié pour la première fois en 1972 à l'âge de 17 ans lors d'une cérémonie traditionnelle. Son premier enfant est né un an plus tard."Comme on n'était que deux enfants (dans sa famille), mon frère, mes parents et mes amis m'ont conseillé d'épouser plusieurs femmes pour avoir beaucoup d'enfants et agrandir notre patrimoine familial", explique-t-il.Attirés par son statut de vendeur de bétail et de boucher, des villageois lui offrent alors la main de leurs filles, certaines encore mineures - une pratique interdite depuis 1995.Avec les années, il ne peut même plus identifier ses propres enfants."Je ne me rappelle que des noms du premier et du dernier né, je ne me souviens pas de la plupart des autres", avoue-t-il sans détour, en fouillant dans des piles de vieux cahiers à la recherche de détails sur leurs naissances: "Ce sont leurs mères qui m'aident à les identifier".Musa Hasahya Kesera avoue avoir aussi du mal à se souvenir du nom de certaines de ses épouses. Il doit les demander à l'un de ses fils, Shaban Magino, un instituteur de 30 ans qui aide à gérer les affaires de la famille. Il est l'un des rares enfants à être allé à l'école.Pour résoudre les différends, qui ne manquent pas dans la famille, des réunions mensuelles sont organisées. - Un repas par jour -Le village de Bugisa vit en grande partie de l'agriculture, avec de petites exploitations de riz, de manioc, de café, ou de l'élevage de bétail.Dans la famille de Musa Hasahya Kesera, certains essaient de gagner un peu d'argent ou de nourriture en faisant des tâches domestiques pour leurs voisins ou passent leurs journées à la recherche de bois de chauffage et d'eau, parcourant souvent de grandes distances à pied.D'autres restent à la maison, des femmes tissent des nattes ou tressent les cheveux tandis que des hommes jouent aux cartes sous l'abri d'un arbre.Lorsque le repas de midi, souvent composé de manioc bouilli, est prêt, le père de famille sort de sa hutte, où il passe la majeure partie de sa journée et appelle d'une voix forte la famille à faire la queue pour manger."Mais nous avons à peine assez de nourriture. Nous sommes obligés de nourrir les enfants une fois, voire deux fois les bons jours", explique Zabina, la troisième épouse de Musa Hasahya Kesera, qui affirme qu'elle ne l'aurait jamais épousé si elle avait su qu'il avait d'autres femmes."Il a ramené la quatrième, puis la cinquième jusqu'à atteindre 12", soupire-t-elle.Sept vivent encore avec lui à Bugisa. Cinq l'ont quitté, faute de ressources suffisantes ou de place dans la ferme familiale.gm/txw/amu/dyg/ib/emd
Avec ses "prothèses à paillettes", Estelle Lehouck ose désormais s'afficher. Amputée des deux jambes jusqu'aux genoux, elle joue comme d'un "accessoire de mode" de ses appareils, customisés par Simon Colin, un orthoprothésiste de Roubaix qui s'est lancé dans le design pour "casser les codes"."Au départ, je voulais une prothèse qui imitait une jambe, comme pour remplacer ce que j'avais perdu", déclare celle qui a subi une double amputation tibiale en 2018. "Ces paillettes, pour lesquelles j'ai longtemps hésité, me permettent d'avoir moins honte et d'oser les montrer.""Je suis une femme coquette, j'ose davantage mettre des robes. Mes appareils sont devenus un accessoire de mode", dit fièrement cette gestionnaire en assurances de 31 ans.C'est son orthoprothésiste qui lui a soumis cette idée pour accompagner son travail de reconstruction. Celui-ci "durera toute une vie", affirme Estelle. "Mais mon regard a changé. Mon entourage a remarqué la différence."Lors d'un rendez-vous de réglage, elle discute d'un prochain modèle, pour alterner, avec Marion Fourmaux, 33 ans, dans son cabinet de Méteren (Nord). Il devrait être gris clair et toujours pailleté."Quand on se souvient de l'état d'Estelle à son arrivée chez nous et maintenant, le chemin parcouru est énorme", se réjouit la prothésiste.Pour elle, "ce petit plus" offert par des appareillages personnalisés est un "vrai soutien" pour les personnes amputées.- "C'est ma signature" -Samih Benabdelhadi, aide-soignant de 25 ans, porte lui un appareillage orthopédique gris métallisé, avec un "petit côté Terminator" ou "Robocop", comme s'en amusent les enfants."Ca casse ce mythe de l'handicapé qui doit se cacher", affirme-t-il, en flânant dans le même parc de Harnes (Pas-de-Calais) où il a perdu sa jambe droite à vélo onze ans plus tôt."Je me sens bien avec ma propre image. C'est ma signature et je l'assume", lance ce vice-champion de France de boardercross handisport (course d'obstacles en snowboard) en enfourchant son VTT."Grâce aux motifs, on n'hésite pas à me poser des questions. C'est en expliquant notre quotidien, en faisant ce travail +d'éducation+ (il n'aime pas ce terme) que les moeurs vont évoluer", affirme-t-il.Le personnalisation de sa prothèse a été imaginée par Simon Colin, 37 ans, orthoprothésiste de formation, qui a créé son atelier U-Exist en 2014 à Roubaix pour "casser les codes" du handicap."J'ai vite compris qu'il fallait faire quelque-chose pour remplacer ces prothèses faites par mimétisme du corps humain ou du membre perdu", développe le designer, barbe, chignon et tatouages.- "Plus fun" -Son catalogue propose 300 motifs pour tous types d'appareils orthopédiques: un avant-bras avec des motifs de papillon, un corset rose à licornes, un tibia graffé... Mais il peut aussi créer des motifs à la demande ou imprimer une photo personnelle."Avec ce type d'appareils, on a la force de revendiquer qui on est. Le handicap peut devenir une surface d'expression, un exutoire", estime-t-il.Il travaille avec quelque 150 prothésistes à travers la France, qui appliquent eux-mêmes ses créations, en papier transfert ou lycra, sur l'appareillage lors de sa fabrication."La prothèse est remboursée par la sécurité sociale. On fait en sorte que la personnalisation", qui coûte 5 à 40 euros pour les motifs du catalogue, "soit prise en charge par l'orthoprothésiste", détaille-t-il.Amputé de la jambe gauche depuis 34 ans, Denis Fournier, 51 ans, a lui choisi des bas personnalisés colorés et à motifs, une autre proposition de Simon Colin, à enfiler par-dessus sa prothèse pour alterner en fonction de son "style vestimentaire"."Pendant longtemps, on se contentait des bas de contention de mamie, roses et vieillots", mais "le handicap n'est pas has been", affirme ce cadre télécom près de Lille, qui trouve désormais ses prothèses "plus fun". tmn/cab/zap/gvy
CONTRADICTIONS. Une pénurie de billets de banque… Un comble pour la première économie d’Afrique, qui n’est pas à un paradoxe près, à trois semaines des élections.
Mardi 31 janvier 2023, Olivier Véran était invité sur le plateau de Face à Baba, sur C8. Attaqué et insulté par Stéphane Turillon, un restaurateur en détresse, le porte-parole du gouvernement a perdu son calme.
Dans la bataille en cours sur les retraites, la contestation est monopolisée par la gauche, et ce bien que le Rassemblement national soit aussi opposé à cette réforme, constate “Le Temps”. Une discrétion du parti de Marine Le Pen qui s’explique par plusieurs facteurs, détaille le média suisse.
CLASSEMENT - Pour la quatrième année de suite, les utilisateurs de la plateforme Booking.com ont donné leurs meilleures notes à l’Alsace. Pourquoi tant d’amour ?
La Première ministre, invitée ce jeudi soir de France 2, a estimé qu'"on peut aller plus loin" concernant l'index d'emploi des seniors.
FIL DES STARS - Toute l’actualité people est dans « 20 Minutes »
Un recueil de lettres inédites que l’écrivain autrichien avait adressées à sa secrétaire, qui deviendra sa femme, vient de paraître. Retour sur une histoire méconnue.
Invité mardi 31 janvier 2023 sur le plateau de Face à Baba, Olivier Véran a défendu la réforme des retraites voulue par l'exécutif. L'occasion pour le porte-parole du gouvernement d'évoquer sa carrière passée de jeune médecin avant de se lancer en politique.
Les Bourses européennes ont été rassurées jeudi par la Banque centrale européenne (BCE), interprétant son message à l'issue de sa réunion comme un début d'inflexion dans le sens d'une politique monétaire plus souple.La Bourse de Francfort a gagné 2,16%, Paris 1,26%, Londres 0,76% après avoir tenu une position attentiste en début de semaine.
Au terme d’un débat tendu, le Sénat a finalement adopté l’amendement de compromis du sénateur LR, Philippe Bas à la proposition de loi visant à inscrire le droit à l’avortement dans la Constitution. Un vote plutôt inattendu tant la majorité sénatoriale de droite était opposée à ce texte.
Peu de temps après avoir débuté son emploi saisonnier dans un restaurant de Méribel, un jeune homme du nom de Maël Briand a disparu le 20 janvier. Cela fait près de deux semaines qu'il n'a plus donné de signe de vie.
Une enquête interne a été ouverte à BFMTV, en raison de soupçons visant leur présentateur Rachid M'Barki dont...
Depuis 2009, Gérard Hernandez régale les téléspectateurs de M6 à travers son rôle de Raymond dans Scènes de ménages....
Alors que son compagnon Jean Teulé est décédé en octobre dernier, Miou-Miou fait progressivement son retour sur le...
Jean-Michel Cohen était l'invité de Chez Jordan ce jeudi 2 février. Durant cet entretien, il a évoqué Anne-Elisabeth Lemoine et a dévoilé une rumeur peu flatteuse la concernant.