C’est un équilibre instable qui se joue au quotidien. Si notre horloge biologique ne reçoit pas, chaque jour, les signaux adéquats, elle risque de se décaler et notre sommeil s’en trouve perturbé. Parmi ces précieux indicateurs : la lumière, l’activité physique mais aussi l’alimentation. "Avec les rythmes de vie actuels, les gens ont tendance à sauter le petit déjeuner, manger vite et peu le midi, puis se rattraper le soir. C’est gênant, car des dîners tardifs et trop copieux perturbent le sommeil", constate la Dr Laurence Plumey, médecin nutritionniste. Ainsi, l’heure des repas, la répartition des apports sur la journée et le choix des aliments sont autant de facteurs qui influencent le fonctionnement de notre horloge interne. De telles interactions mériteraient d’être mieux connues, car de meilleures habitudes alimentaires peuvent améliorer notre sommeil.

L’idéal serait de dîner deux ou trois heures avant d’aller se coucher. "Manger tard oblige le corps à s’activer à l’heure où il devrait normalement s’endormir. Cela retarde le début de la nuit", explique Laurence Plumey. Ainsi, pour un coucher vers 23 heures, mieux vaut dîner entre 20 et 21 heures. Pas trop tôt non plus, car laisser une trop longue période entre le dernier repas et le réveil pourrait déclencher des fringales nocturnes.

Aussi, le sommeil se prépare tout au long de la journée. Privilégier une alimentation équilibrée et diversifiée, éviter de sauter le petit déjeuner ou de grignoter, manger dès que possible de (...)

(...) Cliquez ici pour voir la suite

Les lingettes désinfectantes sont inefficaces et contiennent des produits toxiques
Voici les premiers symptômes d'un AVC qui ne trompent surtout pas !
Les raisons d'une prise ou d'une perte de poids soudaine doivent alerter
Apnée du sommeil : les meilleures solutions pour y remédier
Sommeil : les meilleures astuces pour limiter les effets du jet-lag