Voiture la plus produite dans l’hexagone en 2017, 2018 et 2021 au sein de l’usine de Valenciennes du constructeur, la troisième génération de la Toyota Yaris se retrouve aujourd'hui dans pléthore d’annonces. Commercialisé jusqu’en 2020, c’est cette génération qui a démocratisé la citadine nippone sur nos routes, et qui a participé à la réputation très élogieuse de Toyota dans la technologie de motorisation hybride.

Un intérieur de la Toyota Yaris peu flatteur

Sans être un non total, dans l'habitacle, la qualité des matériaux pourrait être peaufinée. Les plastiques sont fragiles et sensibles aux rayures. Elle dispose néanmoins de toute la technologie à laquelle l’on pouvait s’attendre à l’époque, à commencer par son écran central. À l’arrière, le constat est aussi assez amer. La faute, à son petit gabarit. L’espace aux jambes ne sera pas assez important pour les plus grands et la place du milieu peut paraître toute petite avec deux personnes de chaque côté. À haute vitesse, l’habitacle manque aussi d’insonorisation. La citadine ne fera pas mieux au niveau du coffre avec ses 299 L, un des plus petits de sa catégorie.

Une hybridation sur le segment avant-gardiste

Si désormais, la technologie hybride est de plus en plus répandue, la Toyota Yaris était à l’époque une des rares citadines à proposer ce type de motorisation. C’était d’ailleurs sa principale carte à jouer sur le marché, et on peut dire que...Lire la suite sur Autoplus