BILLET. « Je n’ai rien compris au film Megalopolis de Francis Ford Coppola et pourtant je n’ai pas détesté »

On vous voit venir avec le débat philosophique : une œuvre cinématographique est-elle faite pour être comprise ? Un peu quand même, non ? Parce que googleliser le scénario d’un film que je viens de voir, c’est pas dans mon habitude et je trouve quand même pas ça très bon signe. Déjà, je vous rappelle le pitch (celui que j’ai lu avant et après le film du coup). Megalopolis est une épopée romaine dans une Amérique moderne imaginaire en pleine décadence. La ville de New Rome doit absolument changer, ce qui crée un conflit majeur entre César Catilina, artiste de génie ayant le pouvoir d’arrêter le temps, et le maire archi-conservateur Franklyn Cicero. New Rome, version futuriste de New York, devient le théâtre d'une lutte entre utopie et dystopie, entre rêve et cauchemar. Alors oui, il y a une proposition cinématographique et visuelle inédite… Mais on ressort sans avoir compris ce qu’on a vu. Et a priori, je n’étais pas la seule. Jamais je n’ai vu autant de personnes quitter la salle tout au long d’une séance. Quelques-uns pendant la première demi-heure, puis au fil de l’eau et même 20 min avant la fin (si près du but !). Il faut dire qu’on a assisté à une succession de séquences parfois sans transition… Et pas toujours très bien jouées. Sans parler du côté un brin sexiste et des personnages (notamment féminins) ultra stéréotypés. « On pourrait remonter toutes les séquences dans un autre ordre, ça ne changerait rien (...)

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