Le Bazar de la Charité (TF1) Josiane Balasko : "Madame Huchon n’est pas si machiavélique"

Quel sentiment vous anime après votre participation à cette saga plébiscitée par le public : 7,1 millions de téléspectateurs étaient, en moyenne, devant leur écran, lundi 18 novembre, pour le premier épisode ?

Josiane Balasko : Je suis tout d’abord contente d’avoir participé à une série de haute tenue, un très emballant roman-feuilleton truffé de rebondissements. J’étais aussi très heureuse de retrouver Julie de Bona, que j’avais fait travailler, plus jeune, au théâtre. Et quel bonheur d’avoir été dirigée par Alexandre Laurent, un réalisateur formidable (Le Secret d’Élise, La Mante), dont je ne connaissais pas le travail. Ce garçon est un personnage très rigolo, très rock’n’roll, qui déconne en permanence, tout en restant très sérieux dans son métier. Avec lui, on travaille tout le temps, on progresse, mais toujours dans une ambiance bon enfant.

Que pensez-vous du comportement ambigu de votre personnage, madame Huchon ?

C’est ce que j’ai trouvé intéressant en elle. Elle se transforme au fur et à mesure, elle est moins machiavélique qu’on pouvait l’imaginer. Quand j’y repense, elle passe vraiment pour une horrible femme, au début. Elle alterne le chaud et le froid avec Rose (Julie de Bona), qu’elle a séquestrée pour jouer les mères de substitution, après avoir perdu sa fille dans l’incendie du Bazar de la Charité.

Cette femme est prête à tout pour son petit-fils. Cela a-t-il résonné en vous, devenue grand-mère depuis peu… </... Lire la suite sur Télé 7 Jours

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