Bélarus : prison ferme pour deux jeunes journalistes
Âgées de 23 et 27 ans, elles ont été condamnées à deux ans de prison pour avoir "porté gravement atteinte à l'ordre public".
Accusée d'avoir une mauvaise influence sur son amie Loana, qui a été hospitalisée à la suite d'une overdose, Sylvie Ortega Munos a répondu à Steevy Boulay, Kenza Braiga et d'autres Lofteurs. Elle a notamment dénoncé leur hypocrisie, eux qui ne prendraient jamais de nouvelles de la star.
À l’occasion du 53e anniversaire de la journaliste Carole Gaessler, ce mardi 23 février, découvrez les circonstances du décès de son premier amour, Laurent Lépinasse.
Janot, le père de Christophe Dominici, ne s'est toujours pas remis de la mort de ce dernier. Lui, qui ne dort presque plus, s'est confié pour la première fois dans les colonnes de Paris Match. Il a ainsi évoqué son ultime conversation avec son fils, deux jours avant son décès.
Ce jeudi 25 février, Régis Laspalès fête ses 64 ans. L'occasion de revenir sur le duo qu'il a formé pendant trente ans avec Philippe Chevallier et sur les raisons de leur séparation en 2016.
Le Premier ministre prendra la parole ce jeudi, pour faire le point sur la lutte contre l'épidémie de Covid-19, dont l'évolution est jugée "préoccupante" dans certaines régions.
Hélène Darroze est l'une des amies les plus proches de Laeticia Hallyday. La cheffe, qui fête ses 54 ans ce 23 février, s'est toujours montrée d'un soutien à toutes épreuves.
Nuit difficile pour Alizée et Maxime, l'un des binômes mythiques de Pékin Express. Dans la nuit du 23 au 24 février ils ont conduit en urgence leur bébé Thi-Waï à l'hôpital. Une épreuve vécue difficilement par le jeune papa resté à l'extérieur en raison de la crise sanitaire...
Opéré d'urgence aux jambes après un terrible accident de la route, mardi, dans la banlieue de Los Angeles, Tiger Woods est toujours hospitalisé mais ses jours ne sont pas en danger.
Le 29 juillet 1981, le prince Charles passait la bague au doigt de Lady Diana devant près d’un milliard de téléspectateurs à travers la planète. La veille, le prince Charles lui avait brisé le cœur en lui avouant l'inavouable.
La saison des Marseillais à Dubaï a débuté sur W9. Les Sudistes ont fait leur retour sur le petit écran. Les premiers épisodes promettent déjà de grands moments dans l’émission. De quoi faire s’interroger les téléspectateurs sur l’authenticité du programme.
Hier, face à la presse, le mouvement Rohy est monté au créneau en incriminant le régime et sa manière d'« instrumentaliser les forces de l’ordre ». Avec notre correspondante à Antananarivo, Sarah Tétaud Madagascar, le 18 février dernier, alors qu’il participait à une manifestation estudiantine pour réclamer le versement des bourses d’études, suspendu depuis quatre mois, un étudiant de Tamatave décède des suites d’une blessure par balle. Deux jours après, le gouvernement publie un communiqué dans lequel il explique que la mort du jeune homme est imputable à « un tir de sommation ». La goutte d’eau de trop pour la société civile malgache qui s’est dite « atterrée » par de telles explications.Faraniaina Ramarosaona, coordinatrice nationale du mouvement Rohy, a fait part de sa grande inquiétude face au climat de peur ambiant, soigneusement entretenu par le pouvoir actuel. « Un maintien de l’ordre plus répressif que préventif », une utilisation des forces de l’ordre dévoyée de sa fonction première. « Nous avons l’impression nette que les forces de l’ordre, à l’heure actuelle sont là pour protéger politiquement le pouvoir au lieu d’assumer leur vrai rôle dans le maintien de l’ordre. A savoir de faire en sorte que les manifestations pacifiques se passent bien. Le pouvoir actuel ne supporte aucun doute, aucune critique, il a une très faible volonté de concertation ou d’écoute alors qu’on est quand même en 2021 et non plus dans les années 80-90. Il considère comme ennemis de la nation tous ceux qui sont détracteurs - dont l’opposition -, et tous ceux qui veulent manifester pacifiquement et ils imputent un complot politique derrière toute manifestation publique. C’est un jeu dangereux parce que manifester, je le rappelle, est un droit, dans un pays qui se dit démocratique. »Quant à l’attitude actuelle de l’opposition, décrite comme « jusqu’au-boutiste et peu constructive » par la société civile, cette dernière rappelle que « pendant les élections présidentielles, il y a eu 52% de taux d’abstention. C'est-à-dire que plus de la moitié de la population a décidé de ne voter ni pour M. Rajoelina ni pour M. Ravalomanana. Ce qui signifie également que les deux protagonistes et leurs partisans n’ont pas le droit de penser que le pays leur est acquis. » En cas de nouvelle crise politico-sociale, prévient enfin la société civile, les deux parties seront tenues pour pleinement responsables de l’avènement de cette situation.
Ce mercredi 24 février, la légende Alain Prost souffle ses 66 bougies. S'il n'a plus rien à prouver sur les circuits, le pilote peut également être fier de ses trois enfants, Nicolas, Sacha et Victoria.
Pour souffler et profiter des siens, Claude Dartois a décidé de quitter Paris quelques jours, direction Dives-Sur-Mer. Un séjour dont il a fait profiter ses nombreux abonnés sur Instagram.
Le tribunal de Meaux a condamné à plus de 24 mois de prison ferme les cinq hommes.
Le maire RN de Perpignan réagissait sur BFMTV-RMC à la mort de deux adolescents en Essonne dans le cadre de rixes.
Les amis et les proches de Tonton David lui ont rendu un ultime hommage lors de ses obsèques. Sur Twitter, la chanteuse Princess Erika a dévoilé un aperçu de ses funérailles en toute intimité.
Ces images de surveillance montrent le moment angoissant où une femme du Tennessee a sauté dans une piscine gelée pour sauver son chien de la noyade.
Plus d'un an après avoir abattu, officiellement « par erreur », un avion d'Ukraine International Airlines au-dessus de Téhéran, les explications fournies par l'Iran ne convainquent pas les experts des Nations unies. Ils dénoncent une tentative pour dissimuler la vérité et s'interrogent sur le caractère accidentel des tirs de missiles à l'origine du crash. De notre correspondant à GenèveTrois jours après le drame, l'Iran avait expliqué avoir pris le Boeing pour un missile américain, en pleine tension militaire avec les Etats-Unis après l'assassinat en Irak du puissant général iranien Qassem Soleimani. Sauf que des zones d'ombre demeurent. Et que Téhéran ne fait rien pour les dissiper. Pire : les explications des autorités iraniennes « ajoutent à la confusion » selon la rapporteure spéciale de l'ONU sur les exécutions extrajudiciaires, Agnès Callamard, et le rapporteur sur la situation des droits de l'homme en Iran, Javaid Rehman, les deux experts indépendants chargés d'enquêter sur le drame.Dans une lettre de 45 pages adressée en décembre au gouvernement iranien et tout juste rendue publique, ils démontent point par point la ligne de défense des autorités. L'unité des Gardiens de la révolution à l'origine des tirs a par exemple affirmé qu'elle n'avait eu que « 10 secondes » pour prendre sa décision. Faux répondent les enquêteurs, qui estiment que les militaires ont eu 45 secondes, sinon plus, pour réaliser qu'il s'agissait d'un avion civil. Un mauvais alignement des missiles serait également en cause. Mais l'Iran « n'a pas expliqué la raison de ce mauvais calibrage de radar, et pourquoi il a conduit à viser [le Boeing] ».Pour Agnès Callamard, « les explications de l'Iran ne tiennent pas la route : elles sont pleines de contradictions et sont contredites par les faits et par les analyses techniques. […] J'ai interrogé des dizaines d'experts, des militaires à tous les niveaux. Et eux non plus ne comprennent pas pourquoi ces procédures basiques n'ont pas été suivies, que ce soit au niveau de l'approche visuelle ou de l'instruction sur les radars ».Le 8 janvier 2020, deux missiles, à 30 secondes d'intervalle, ont touché le vol PS 752 d’Ukraine International Airlines, dont la carlingue s'est ensuite écrasée dans un champ près de Téhéran. 176 personnes ont été tuées : 169 passagers, en majorité des Iraniens et des Canadiens, ainsi que 9 membres d'équipages.D'après les enquêteurs de l'ONU, si l'Iran redoutait une frappe américaine, elle aurait dû fermer son espace aérien. Si l'Iran l'avait fait, « 176 personnes n'auraient pas été tuées ». Au regard du droit international, l'Iran aurait ainsi manqué à son devoir de protéger le « droit à la vie » des victimes.Des responsabilités à tous les niveauxMais la réaction des autorités après le drame interpelle également. L'Iran a mis trois jours avant d'admettre les tirs de missiles. Pendant ce temps, des bulldozers ratissaient sans ménagement le site du crash, « compromettant les tentatives de comprendre sa véritable cause ». L'Iran a également fait obstacle au rapatriement des corps des victimes canadiennes et menacé d'autres familles de victimes, érigées en « martyrs ».Quant aux manifestations spontanées qui ont suivi partout dans le pays pour réclamer que toute la lumière soit faire sur les causes du drame, elles ont été durement réprimées. Des centaines de manifestants ont ainsi été arrêtés et interrogés, pendant que les services de téléphonie et internet étaient coupés. Les forces de sécurité n'ont pas hésité à tirer à balles réelles sur les manifestants, visant parfois « directement la tête ».Au début du mois, un autre élément est venu jeter le trouble. Les médias publics canadiens ont révélé l'existence d'un enregistrement, attribué par CBC Radio Canada au ministre iranien des Affaires étrangères Mohamad Javad Zarif, dans lequel il laisse entendre que les tirs de missiles pourraient bien avoir été prémédités. La vérité sur le crash « ne sera jamais révélée » peut-on l'entendre dire. Les autorités « ne nous le diront pas, ni à personne d'autre, parce que s'ils le font, cela va ouvrir les portes du système de défense national, et ce n'est pas dans l'intérêt du pays ». Les services de renseignement canadiens n'ont pour le moment pas confirmé l'authenticité de l'enregistrement.« Pourquoi l'Iran ment ? Instinctivement, on se dit que c'est parce qu'ils veulent cacher quelque chose, qu'il y a peut-être beaucoup plus grave », interroge Agnès Callamard. L'Iran a mené sa propre enquête. Au moins trois personnes auraient été interpellées par les autorités. Mais leurs identités n'ont pas été communiquées, ni même les raisons de leur arrestations. En avril 2020, un responsable religieux a même affirmé que « contrairement aux informations officielles, personne n'avait été arrêté » en lien avec le crash.Les experts doutent que trois individus seuls puissent être responsables de la mort des 176 personnes à bord du vol PS 752. Pour Agnès Callamard, la liste des responsables est sans doute bien plus large. « C'est d'abord à l'État iranien de reconnaître sa responsabilité. Mais ce n'est pas vraiment ce que nous avons vu pour le moment. »
La nouvelle série événement de TF1 réunit un casting quatre étoiles.
Les Nations Unies viennent d'annoncer la mort d'une cinquantaine de migrants fuyant la Libye en mer méditerranée, les survivants du naufrage ont été accueillis en Italie. View on euronews