Une avalanche spectaculaire filmée au Népal
Voici le moment incroyable où un voyageur s'apprêtant à jouer de la guitare au magnifique lac glaciaire Kapuche au Népal, a filmé une énorme avalanche.
A l'aube de l'investiture de Joe Biden, les derniers détails croustillants sur la vie privée du couple Trump sont racontés dans la presse américaine. L'occasion d'apprendre que les Biden dormiront dans la même chambre, à l'instar de Donald et Melania qui faisaient chambre à part.
Les deux amis et collègues de la chaîne M6 Stéphane Plaza et Karine Le Marchand se sont retrouvés en colocation pendant quelques semaines fin 2020. L'animateur a raconté cette cohabitation, mercredi dans "Culture Médias", qui s'est suivie pour lui de galères immobilières.
Jean-Pierre Bacri, immense comédien et scénariste, est mort hier à l'âge de 69 ans. Dans un texte publié par Le Parisien, son ancien chauffeur Valentin Morel raconte quelques souvenirs cocasses de leur relation.
EPIDEMIE - La pression sur le système hospitalier augmente à nouveau
Lola Marois cultive son côté rebelle. Alors qu'elle se trouvait dans un train, la comédienne de Plus belle la vie s'est amusée à retirer son masque. La femme de Jean-Marie Bigard a ensuite publié le résultat dans sa story Instagram.
A l’occasion de son 57ème anniversaire, Michelle Obama a posté un selfie d’elle au naturel qui lui a valu une pluie de compliments. Et on comprend : l’ancienne First Lady est tout simplement magnifique !
Le ministre de l'Education nationale assure que la proposition du Conseil scientifique de fermer une classe dès le premier cas positif au variant est une possibilité.
Aperçus ensemble au cours du premier confinement, les deux acteurs ont pris la décision de rompre, d'après des sources proches de ces derniers.
L’élection de Joe Biden à la présidence des États-Unis avait suscité des réactions majoritairement positives en Afrique. Mais à quels changements concrets faut-il s’attendre dans la politique américaine ? Pour l’instant, même si le propos reste général, de grandes lignes sont en train de se dessiner. L’idée centrale pour Joe Biden est de restaurer les liens diplomatiques avec les institutions telles que l’Union africaine et les gouvernements du continent. C’est pour cela qu’il a promis d’organiser un sommet de chefs d’État africains, comme l’avait fait Barack Obama en 2014. Joe Biden veut manifestement tisser des liens directs avec ses homologues, à l’opposé de son prédécesseur qui en quatre ans de mandat n’avait fait aucun déplacement en Afrique. « Donald Trump s’était signalé par son indifférence et avait tenu des propos particulièrement insultants à l’égard d’un certain nombre de pays africains », souligne l’historien Pap Ndiaye, professeur à Sciences Po Paris et spécialiste des États-Unis. Selon lui, le programme de Joe Biden s’inscrit avant tout « dans la continuité des relations construites par Barack Obama ». Il s’agit en premier lieu « de restaurer des relations normales en réaffirmant les engagements au niveau de la démocratie, du développement économique ou encore des questions sécuritaires. » ► À lire aussi : Joe Biden veut se démarquer de Donald Trump dans les relations avec l'AfriqueLa priorité est donc de regagner une confiance perdue. Et même si côté américain, le propos reste général pour le moment en matière de politique étrangère, la nouvelle administration a tenu très vite à parler d’un engagement « respectueux » à l’égard de l’Afrique. Le terme à lui seul contraste singulièrement avec l’attitude affichée par Donald Trump. « Ce qui est clair, c’est que l’approche de Washington va changer beaucoup et c’est à un changement de ton que l’on assiste pour le moment », estime Jeffrey Hawkins, chercheur à l’Iris (Institut de relations internationales et stratégiques) et ancien ambassadeur américain à Bangui. Il relève que le premier point important du programme du nouveau président tient à la diaspora africaine. Joe Biden a en effet axé sa vision africaine dans un document de campagne dont le point important tient à l’importante communauté africaine installée aux États-Unis. Le nouveau président reconnait son importance « C’est la première fois que le président s’adresse directement à cette communauté », note Pap Ndiaye, pour qui « il est très significatif qu’un programme présidentiel américain parle spécifiquement à ceux qui sont originaires du continent africain ». « C’est une manière de leur montrer qu’ils sont considérés et respectés », estime Pap Ndiaye. Dans ce même document de campagne, Joe Biden se soucie en particulier de la jeunesse africaine : il veut revitaliser le programme Yali (« Young African Leaders ») qu’avait créé Barack Obama et qui est resté dans un relatif sommeil ces quatre dernières années. Yali permet à plusieurs centaines de jeunes Africains d’obtenir une bourse et de séjourner dans des universités américaines.L’un des autres points importants développés par le nouveau président concerne les restrictions de visa pour les ressortissants du Nigeria, du Soudan et de la Somalie (trois pays dans le collimateur de l’ex-chef de la Maison Blanche). Joe Biden entend annuler purement et simplement ces mesures. Le 46e président des États-Unis va diriger une administration qui fait une place importante à la diversité Si la numéro 2 du pouvoir Kamala Harris est d’origine jamaïcaine, l’Afrique ne sera pas en reste dans cette équipe. L’administration Biden comptera dans ses rangs deux enfants du continent, tous deux d’origine nigériane. Le premier d’entre eux, c’est Wally Adeyemo (39 ans). Ce natif du Nigeria, qui a grandi en Californie du Sud, sera futur secrétaire adjoint au Trésor. Il fut dans le passé le principal conseiller économique de Barack Obama. C’est la première fois qu’un Afro-Américain est nommé à une aussi haute fonction au sein de ce ministère régalien. Autre nomination à retenir : celle d’Osaremen Okolo. Elle a 26 ans. Elle est née de parents nigérians, et sera conseillère dans l’équipe de riposte au Covid-19.Mais en réalité, ce sont surtout deux autres noms qui doivent retenir l’attention : Linas Thomas Greenfield tout d’abord. À 69 ans, elle devient ambassadrice à l’ONU. Cette ancienne sous-secrétaire d’État pour l’Afrique, fut aussi en poste dans plusieurs capitales africaines et notamment à Monrovia où elle fut ambassadrice entre 2008 et 2012. « Elle devrait, selon Jeffrey Hawkins, redonner un élan nouveau aux opérations humanitaires et de maintien de la paix, d’autant, rappelle- t-il, que Donald Trump, vu sa méfiance vis-à-vis de l’ONU, a cherché à maintes reprises à couper ces budgets. »Samantha Power est l’autre figure importante pour l’Afrique de l’administration Biden. Cette ex-ambassadrice à l’ONU pilotera l’agence chargée de l'aide au développement (Usaid) dont le rôle sera renforcé, « là encore le contraste est saisissant avec la présidence de Trump, note Jeffrey Hawkins, Trump ayant tout fait pour réduire l'aide américaine, l'argent du contribuable devant servir, selon lui, d'abord aux Américains ».Dans l’équipe Biden, il y a bien entendu le futur secrétaire d’État Anthony Blinken, fin connaisseur de l’Afrique, lui aussi. Ce diplomate chevronné n'a eu de cesse de critiquer ces dernières années la diplomatie du président sortant. Enfin, la diplomate de carrière Dana L. Banks a, pour sa part, été nommée « Senior director » pour l’Afrique au sein du Conseil de sécurité nationale (NSC). ► À écouter aussi : Chris Fomunyoh: «Avec Biden il y aura une remodulation de la politique américaine en Afrique»
À la fin des années 1990, Randy Spelling a décroché ses premiers rôles à la télévision. Si sa soeur aînée, Tori Spelling a réussi à se faire une place à Hollywood, pourquoi ce dernier a-t-il souhaité quitter Hollywood et changer complètement de vie ?
Meghan Markle et le prince Harry font-ils de l'ombre au couple royale resté en Grande-Bretagne ? Selon le biographe Duncan Larcombe, la réponse est très claire : oui ! En effet, selon ce spécialiste de la famille royale, les projets réalisés par les parents d'Archie intéressent beaucoup plus le public comparés à ceux de Kate Middleton et du prince William.
Manon Fiorot affronte l’Américaine Victoria Leonardo, le 20 janvier 2021 à Abou Dhabi, à l’Ultimate Fighting Championship (UFC), la plus prestigieuse ligue d’arts martiaux mixtes (MMA) au monde. La combattante âgée de 30 ans est seulement la deuxième Française à l’UFC. Focus. « C’est un rêve. Depuis que j’ai commencé le MMA, c’était mon but. » Ce 20 janvier 2021, Manon Fiorot s’apprête à devenir la deuxième Française de l’histoire après Zarah Fairn Dos Santos à évoluer au sein de l’Ultimate Fighting Championship (UFC), la plus prestigieuse ligue d’arts martiaux mixtes (MMA) au monde.La suite logique pour une combattante à la progression aussi linéaire que rapide. « J’avais déjà trois titres mondiaux, donc c’était le moment d’aller à l’UFC, expose-t-elle. D’autant que j’ai commencé le MMA tard et que j’ai déjà 30 ans. C’était maintenant ou jamais. C’était le bon timing ».Ex-championne de snowboardPourtant, Manon Fiorot aurait pu prendre une voie totalement différente puisqu’elle a été championne chez les jeunes, en snowboard, un sport de glisse. « La vie a fait que je me suis retrouvée dans un sports-études à la montagne, relativise-t-elle. Là-bas, il y avait du snowboard et je me suis essayée à cette discipline. J’ai tout de suite accroché ».Mais la jeune femme est par la suite revenue à sa première passion. « J’ai commencé le karaté à l’âge de 7 ans, raconte-t-elle. Il y avait un club à côté de la maison. Et mon père pratiquait la lutte. On baignait déjà un peu dans les sports de combats. J’aimais le karaté, je regardais les films de karaté. Et mes copains pratiquaient le karaté ».Après plusieurs années sur les tatamis, l’intéressée est montée sur les rings pour des combats de K-1 et de boxe thaïlandaise, deux sports dans lesquels elle a également excellé rapidement.Des débuts délicats en MMA« En parallèle, j’ai débuté le MMA. » Une incursion dans le monde des arts martiaux mixtes délicate, au départ. « J’ai peut-être voulu aller un peu trop vite, souligne-t-elle. Je suis directement allée aux Championnats du monde amateurs [en 2016, Ndlr], alors que je pratiquais le MMA depuis même pas un an. Les débuts ont été un peu compliqués. Il y a eu des défaites ».Mais, finaliste lors des Championnats d’Europe amateurs 2017, Manon Fiorot retente sa chance à l’échelon mondial, quelques mois plus tard. Avec la médaille d’or au bout, cette fois.Confortée par ce succès aux Mondiaux 2017, elle se lance ensuite dans le milieu professionnel. Elle perd certes son premier combat pro, en juin 2018 en Belgique, au sein du Cage Warriors, une organisation britannique. Mais ce revers n’est qu’une simple parenthèse.Émission de télé-réalité sud-africaineEn 2019, changement de destination et de décor. Manon Fiorot s’envole pour Johannesburg afin de participer à une émission de télé-réalité organisée par l’Extreme Fighting Championship (EFC), ligue numéro une de MMA en Afrique. « C’est mon manager qui a trouvé cette opportunité, notamment grâce à mon titre de championne du monde amateure, explique celle qui s’entraîne au Boxing squad de Nice (Sud de la France). Mais, pour être honnête, je n’avais pas du tout envie de participer à ce genre d’émission. En plus, je ne parlais pas anglais. J’étais super stressée. Je savais que j’allais passer deux mois en Afrique du Sud. Ça a été une expérience assez compliquée à vivre mais, au final, j’ai réussi ».Gagnante du jeu, Manon Fiorot décroche alors un contrat à l’EFC où elle ne tarde pas à devenir reine. En décembre 2019, elle domine en effet nettement la Sud-Africaine Amanda Lino, icône du MMA dans son pays. « C’était la star d’Afrique du Sud. Tout le monde criait ‘Amanda’ lors de ce combat ! À ce moment-là, il y avait encore du public dans les tribunes. C’est un très bon souvenir. »Aux Émirats arabes unis, en terrain connuManon Fiorot devient alors championne du monde de l’EFC. Suite à ce sacre, elle se lance toutefois à l’assaut d’une autre organisation pro, l’UAE Warriors, basée aux Émirats arabes unis. Son bilan dans cette ligue ? Trois victoires par KO technique en 2020, autant de démonstrations, et un maximum de confiance engrangée avant de s’attaquer à l’UFC.D’autant que ses débuts dans le saint des saints du MMA se feront aux Émirats arabes unis, ce 20 janvier 2021. « C’est la quatrième fois de suite que je combats, ici. Je me sens super à l’aise, lance-t-elle. Je ne subis pas les effets d’un décalage horaire, contrairement à mon adversaire ».Lors de l’UFC Fight Island 8, elle va ainsi affronter l’Américaine Victoria Leonardo. Une adversaire dont les qualités ne semblent pas l’impressionner. Pas plus que son statut de deuxième Française à l’UFC. « Je suis concentrée sur mon combat. Je ne pense pas vraiment à tout ça, balaie Manon Fiorot. Maintenant que j’y suis, mon objectif va être de gagner mes prochains combats et d’intégrer le plus rapidement possible le top 10 ». Une élite, chez les poids mouche, où elle estime avoir « [sa] place, largement ».
Un homme est vacciné contre le Covid-19 dans un bus de vaccination à Bouleuse, dans l'est de la France, le 20 janvier 2021
Le président américain sortant a annoncé, lundi soir, que les voyageurs venant d'Europe et du Brésil seraient à nouveau admis aux États-Unis à partir du 26 janvier. Mais quelques minutes après, l'équipe de Joe Biden, qui sera investi président le 20 janvier, a indiqué que les frontières américaines resteraient fermées. Le président américain Donald Trump a annoncé, lundi 18 janvier, la prochaine réouverture des frontières américaines aux ressortissants européens de l’espace Schengen, aux Britanniques, Irlandais ainsi qu’aux Brésiliens à compter du 26 janvier. Cette décision est liée à l’instauration, à la même date, d’une obligation de présenter un test négatif de dépistage du coronavirus à l’entrée sur le territoire américain, a indiqué le chef de l’État dans un communiqué.Quelques minutes plus tard, l'équipe de Joe Biden, qui prendra ses fonctions comme président des États-Unis le 20 janvier, a fait savoir que les frontières américaines resteraient bien fermées aux Européens et aux Brésiliens. "Ce n’est pas le moment de lever les restrictions sur les déplacements internationaux", a déclaré, sur son compte Twitter, Jen Psaki, qui doit officiellement prendre mercredi ses fonctions de porte-parole du nouveau président."Sur les conseils de notre équipe médicale, le (futur) gouvernement n'entend pas lever ces restrictions le 26 janvier", a écrit Jen Psaki sur Twitter. "D'ailleurs", a-t-elle ajouté, "nous prévoyons de renforcer les mesures de santé publique appliquées aux voyages internationaux pour lutter encore davantage contre la diffusion du Covid-19."Transition chaotiquePour ralentir la progression de la pandémie, Donald Trump avait fermé les frontières des États-Unis aux 26 pays de l'espace Schengen le 11 mars 2020, puis au Royaume-Uni et à l'Irlande le 14, avant d'en faire autant pour le Brésil le 24 mai.C'est un nouvel épisode d'une transition sans précédent dans l'histoire moderne des États-Unis, le président sortant Donald Trump entendant limiter au minimum les contacts avec l'équipe de Joe Biden. Donald Trump prévoit d'ailleurs de quitter Washington avant même la cérémonie d'inauguration de son successeur, mercredi.Les États-Unis font actuellement face à la pire phase de la pandémie que le pays ait connue à ce jour, avec plus de 20 000 décès sur les six derniers jours.Avec AFP
La fille aînée de Vanessa et Kobe Bryant, Natalia, célèbre ce mardi son 18ème anniversaire.
Lady Gaga a chanté l'hymne américain lors de la cérémonie d'investiture de Joe Biden.
Camille Lou, la star de la future série de TF1 Je te promets, profite de vacances bien méritées et ensoleillées avec son nouveau chéri, Romain Laulhe.
Un épidémiologiste anglais alerte sur la présence d’une réaction buccale chez certains patients atteints par le nouveau coronavirus.
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Au vu de la situation sanitaire toujours préocupante en France, les remontées mécaniques des stations de ski risquent de ne pas rouvrir de sitôt.