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Aurélie Filippetti : l'ex-ministre dénonce le “harcèlement” qu'elle aurait subi de la part de Jérôme Cahuzac

Aurélie Filippetti a décidé de briser le silence. Ce lundi 29 novembre, sur Franceinfo, l'ex-ministre a affirmé avoir été sanctionnée pour avoir "refusé des avances" de Jérôme Cahuzac. Des faits qui se seraient déroulés alors qu'elle était députée de la Moselle et que Jérôme Cahuzac était président de la commission des Finances à l'Assemblée nationale. Des faits sur lesquels elle a décidé de revenir, ce mardi 30 novembre, alors qu'elle était invitée sur le plateau de C à vous.

"Si je raconte cela aujourd'hui, c'est parce que je pense que c'est très important ce mouvement #MeTooPolitique, #MeToo, en général", a-t-elle indiqué. Celle qui est aujourd'hui enseignante a d'abord tenu à préciser qu'elle n'avait pas été "agressée, au sens où cela n'a pas été une tentative de viol." Avant d'expliquer : "Mais c'était du harcèlement par texto sur un lieu de travail (...) Et donc cela avait un impact sur mon travail de parlementaire", insiste l'ex-ministre. Et d'ajouter : "Et surtout, au moment où il a compris que je ne céderai pas, à ce moment-là, il est devenu absolument odieux, il ne m'adressait plus la parole. Et cela a eu une conséquence très directe puisque c'est lui en tant que président de la commission des Finances qui donnait les réserves parlementaires. Et je me suis retrouvé avec une réserve parlementaire - qui permet au député de financer des associations dans leurs circonscriptions - réduite comme peau de chagrin."

Aurélie Filippetti : "Personne

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