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Attentat de Nice : ce moment surréaliste vécu par les députés en pleine Assemblée

Les parlementaires français étaient remontés au moment d'entrer dans l'hémicycle jeudi 29 octobre. La veille, Emmanuel Macron a annoncé la mise en place d'un nouveau confinement pour freiner l'épidémie de coronavirus, qui continue encore et toujours de se propager. Sur les bancs de l'Assemblée nationale ce jour-là, les députés s'attendaient à discuter de ces nouvelles mesures sanitaires. Mais tout à basculer peu après 9 heures. Comme le raconte Le Point, Eric Ciotti a alors reçu un message : "Attentat en cours avec un décédé à l'arme blanche - Notre-Dame de Nice". Puis un autre : "Victime décapitée à l'intérieur de l'église, auteur présumé blessé et arrêté". Immédiatement, le député s'est précipité à l'extérieur de l'Assemblée nationale. Et à l'intérieur, l'information sur l'attaque de Nice a commencé à se répandre. "C'était surréaliste", raconte Stanislas Guérini, le chef des députés LREM, au Point.

"Jean Castex continuait à parler, et nous nous regardions tous, ébahis, s'est-il souvenu. J'ai vécu le jour le plus noir du quinquennat." Jeudi 29 octobre, le Premier ministre achevait un discours sur le plan de reconfinement lorsqu'il a appris ce qu'il venait de se passer et a prévenu Richard Ferrand qu'un attentat venait de se produire à Nice. "Monsieur le Premier ministre, mesdames et messieurs les ministres, mes chers collègues, nous venons d'apprendre à l'instant, pendant que s'exprimait le Premier ministre, qu'un attentat (...)

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