« Assassin's Creed » : les excuses d'Ubisoft, accusé de « validisme »
Depuis la parution du tout premier jeu Assassin's Creed en 2007, le succès est au rendez-vous. Pour cause : ces jeux vidéo permettent de découvrir l'Histoire tout en incarnant un personnage, membre d'une société secrète « les Assassins ». À chaque sortie très attendue, une nouvelle période de l'Histoire est entièrement recréée : les Croisades, la Renaissance italienne, l'Égypte ancienne, la guerre de Cent ans ou même la Révolution française. Travaillant main dans la main avec des historiens, Assassin's Creed a la réputation d'être extrêmement bien renseigné et d'offrir une visite en 3D parfaitement reconstituée des époques et des lieux. Romancé malgré tout, Assassin's Creed donne la possibilité à ses utilisateurs d'apprendre tout en jouant, comme dans l'opus Assassin's Creed Origins, qui offrait une véritable visite guidée d'une Alexandrie reconstituée.
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Le dernier Assassin's Creed : Valhalla, sorti le 10 novembre 2020, plonge ses joueurs dans le IXe siècle, en pleine conquête des Vikings à l'assaut du royaume anglo-saxon. Parmi les nombreux personnages, c'est la description d'une dénommée Eoforwine qui déclenche la critique : « Horriblement brûlée dans un accident survenu dans l'enfance, elle est terrifiée à l'idée que quelqu'un voie son visage défiguré. Elle soulage sa fureur dans des éclats de violence. » Outrée, une joueuse du nom de Courtney Craven s'est fendue d'un tweet réprobateur : « Il est absolum [...] Lire la suite