Arsenic, zinc, cadmium… Alerte sur ces métaux présents dans les tampons périodiques
C’est un des produits les plus achetés dans le monde. Comme le souligne l’UFC-Que Choisir, en 2020, plus de la moitié des clients avaient encore recours aux tampons jetables. Et pourtant, leur composition est loin d’être transparente, dénonce l’association de consommateurs, qui alerte même sur un nouveau problème : la présence de métaux toxiques. Des chercheurs américains ont en effet étudié 24 références de tampons de marques internationales ou de distributeurs, qu’elles soient commercialisées en Europe ou aux États-Unis. Toutes contenaient des métaux toxiques.
Il s’agit de vanadium, de chrome, de cadmium, d’arsenic ou de plomb. Ce dernier étant le métal toxique le plus présent, selon l’étude, alors même que son niveau d’exposition n’est pas réellement connu. Et les tampons bio ne sont pas épargnés par ces métaux. En revanche, on ne trouve pas forcément les mêmes, et à des degrés variables. L’UFC-Que Choisir indique par exemple que dans les tampons bio, il y a davantage d’arsenic, de chrome ou de manganèse, mais moins de zinc, de plomb ou de cadmium.
L’association de consommateurs tire la sonnette d’alarme et reproche aux fabricants leur manque de transparence, car la composition de ces tampons périodiques reste très opaque. Évidemment, la présence de ces métaux n’est affichée à aucun moment sur les emballages. Alors comment se sont-ils retrouvés dans ces tampons ? Les chercheurs américains avancent l’hypothèse d’une contamination du coton dans sa culture ou son nettoyage, alors (...)
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