Aristote Onassis : Que devient Athina, héritière d'une fortune à un milliard, qui a tout fait pour ne pas être touchée par la malédiction familiale ?

Que devient Athina Onassis, l'unique héritière de la colossale fortune familiale laissée par son grand-père Aristote, armateur grec, amant de Maria Callas et époux de Jackie Kennedy ? Elle a fait tout le nécessaire pour s’éloigner des tragédies qui ont accablé sa famille durant plusieurs générations.

L'armateur grec Aristote Onassis, qui est né il y a 118 ans jour pour jour ce vendredi, fut l'une des personnalités les plus marquantes de la vie mondaine internationale des années 1950 aux années 1970. Il fut notamment l'amant de Maria Callas de 1959 à 1968, puis l'époux de Jacqueline Kennedy, de 1968 jusqu'à sa mort.

Que devient sa petite-fille Athina, qui jouit d’une fortune estimée à près d’un milliard d’euros ? Il s'agit tout simplement d'une championne équestre du saut d'obstacle. Elle a notamment représenté la Grèce aux Championnats d'Europe 2013 et a participé aux Championnats du monde 2014 de saut d’obstacles.

Nos confrères de Capital précisent qu'elle "orchestre le Longines Athina Onassis Horse Show, l’une des compétitions de saut d'obstacles les plus importantes au monde, dont la 10ème édition s’est tenue en mai 2024, à Ramatuelle (Provence-Alpes-Côte-d'Azur)." "Parallèlement, elle possède de nombreuses propriétés et sociétés en France et au Brésil", ajoutent-ils, tout en révélant qu'elle a été élue au conseil d’administration du groupe de distribution Casino. Ce qui signifie qu'elle "veillera, entre autres, à l’application des règles de gouvernance, à la gestion des conflits d’intérêts, à la politique en matière d’éthique et de RSE."

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A noter qu'Athina a préféré renoncer à l’île familiale laissée par son grand-père. En effet, en 2013, elle a vendu à la fille d'un oligarque russe l'île de Skorpios, l'emblème de sa famille. Pour 100 millions d'euros. Pourquoi ? Afin de s'éloigner au maximum "des tragédies qui ont accablé sa famille durant plusieurs générations", comme le souligne Libération.

Athina face à la malédiction familiale

Drames à répétition, morts brutales et malheurs incessants n'ont jamais cessé de venir frapper les membres du clan d’Aristote Onassis. A Skorpios, on y trouve "quatre tombes qui s'alignent à côté de la petite chapelle noyée sous le chant des cigales. La dernière à y avoir été enterrée, en 1981, c'est Artemis, la sœur fidèle de l'armateur Aristote. Mais ce sont trois autres stèles en marbre blanc qui tracent les lignes d'un destin digne d'une tragédie grecque : la tombe d'Onassis lui-même et, surtout, celles de ses deux héritiers directs, son fils, Alexandre, et sa fille, Christina."

Avec la mort à seulement 38 ans des suites d'une crise cardiaque de sa mère Christina, Athina est alors devenue l'unique héritière de l'armateur grec mais a surtout vécu des moments très difficiles. Comme si la malédiction se prolongeait... Orpheline de mère à 3 ans, la jeune adolescente n'a en effet cessé d'être trimbalée pendant ses jeunes années entre son collège en Suisse et son lycée en Belgique.

Elle s'est ensuite retrouvée dans une terrible bataille juridique avec son père - le chef d'entreprise français et héritier pharmaceutique Thierry Roussel - pour la gestion de la fortune, sans oublier sa terrible chute de cheval qui a causé la mort de son étalon préféré. Et hélas, son malheur s'est poursuivi puisqu'Athina s'est retrouvée trahie par l'homme de sa vie, le cavalier brésilien Alvaro de Mirando Neto. Elle a appris ses nombreuses infidélités. Ainsi, "elle rompt immédiatement, gèle les comptes communs et quitte le Brésil. Le divorce sera prononcé en 2016, après un nouveau deal resté secret avec le beau cavalier volage qui, bien sûr, exige sa part du butin", raconte Libération.

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Gala précise qu'Alvaro aurait demandé initialement des sommes folles. A savoir 11 millions d'euros en un versement puis une pension alimentaire mensuelle de 350 000 euros auxquels venaient s'ajouter plusieurs chevaux et certains biens immobiliers. Mais il n'aurait finalement quasiment rien touché.

Article original sur Purepeople