Ari : "Faire Koh-Lanta quand on a dépassé 40 ans, c’est un handicap"

Quelles étaient vos motivations pour vous lancer dans l’aventure à 51 ans ?

Ari : Ah mon âge toujours ! (rires) Je suis fan de survie, de challenges, et de rencontres, mon âge ne m’a pas empêché de me lancer dans cette aventure sachant que cela fait 16 ans que je candidate. J’ai eu la production à l’usure (rires). J’aurais préféré être sélectionné un peu plus jeune, mais je préfère ça, à rien du tout.

Dans votre portrait vous avouez ne pas être un grand athlète, comment comptiez-vous, vous démarquer ?

J’envisageais de compenser avec de la stratégie, en analysant le jeu et en étant un peu malin. Je voulais rester discret et ne surtout pas faire de coups tordus. La priorité c’était de rester droit dans mes bottes.

Redoutiez-vous quelque chose de particulier avant le départ ?

Oui, que mon étiquette de doyen soit trop pénalisante. On l’a vu dans la plupart des éditions, faire Koh-Lanta quand on a dépassé 40 ans, c’est un handicap. Et c’était mon cas aussi.

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Vos coéquipiers vous ont-ils fait ressentir cette « étiquette » ?

Non, pas du tout, mais j’avoue que j’ai un peu dissimulé mon âge. Lorsqu’un aventurier m’a interrogé, j’ai répondu : « tu me donnes combien ? ». Il a estimé que j’en avait 44… et j’ai admis n’avoir « que » 46 ans (rires).

2 anciens héros font leur retour cette saison, comment avez-vous accueilli la nouvelle ?

Lors du casting on m’avait demandé quels étaient mes héros préférés et Ugo faisait partie de la liste, donc c’était une très bonne surprise. C’est quelqu’un qui a de belles valeurs, qui malgré l’acharnement des candidats à l’évincer a su résister, et qui mérite son surnom de Phénix.

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