C'est le sujet qui fait débat cette semaine. Indochine menace d'annuler son concert prévu cet été au festival Les Déferlantes, qui devait se dérouler au Château d'Aubiry à Céret et qui aura finalement lieu à Perpignan, une ville dirigée par Louis Aliot, maire issu du Rassemblement National. « Hier matin, nous avons été mis devant le fait accompli (...). Hier soir, le maire RN de Perpignan a tweeté qu'il était heureux d'accueillir le Festival Les Déferlantes. Nous demandons expressément à la direction des Déferlantes de déplacer ce festival dans un autre lieu » écrivent Nicola Sirkis et ses acolytes dans un communiqué, qui n'a pas plu aux organisateurs. « Nous prenons acte de la position du groupe Indochine de conditionner, pour des questions politiques, leur venue aux Déferlantes » peut-on lire, regrettant que « musique et politique soient ainsi associées » : « Le festival est un espace de neutralité, de liberté et de paix où tous les publics se rassemblent pour l’amour de la musique et les expériences partagées ».



"Nous ne souhaitons pas participer à cet évènement"
La colère d'Indochine a donné des idées à d'autres artistes... Désormais, c'est le groupe Louise Attaque qui refuse de se produire au festival Les Déferlantes le 9 juillet, pour les mêmes raisons. « C'est un festival que nous connaissons bien et que nous aimons. Initialement prévu sur la commune de Ceret, il a été déplacé sur la commune de Perpignan par les organis...

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