Lucas, un adolescent de 13 ans, vivant à Golbey, dans les Vosges, s’est suicidé le 7 janvier après avoir été harcelé en raison de son homosexualité.
Invité d'honneur du festival de la BD d'Angoulême, qui lui consacre une exposition, le célèbre mangaka révèle à BFMTV les secrets de ses histoires les plus terrifiantes. Attention spoilers.
Plusieurs architectes se mobilisent au côté d'habitants de la cité populaire du Mirail, à Toulouse, pour éviter la destruction de 1.400 logements des années 1960, plaidant leur réhabilitation et dénonçant un projet désastreux sur le plan écologique et économique.Le "Grand d'Indy", barre massive de onze étages, se détache au dessus des arbres, non loin du lac de la Reynerie. L'immeuble, érigé en Y, abrite 243 logements sociaux et doit être détruit en 2023.Six autres bâtiments du quartier sont condamnés à disparaître pour laisser place à de plus petits, allant du pavillon individuel à l'immeuble collectif, suivant un plan soutenu par l'agence nationale de renouvellement urbain."Alors même qu'on manque de logements à Toulouse, c'est une aberration !", s'emporte Michel Retbi, architecte du collectif opposé au projet.Toulouse, quatrième ville de l'hexagone avec plus de 493.000 habitants, figure en zone immobilière tendue en raison d'une offre insuffisante.La démolition des ensembles bâtis par les architectes Candilis, Josic et Woods, inspirés de Le Corbusier, n'est plus défendable dans le contexte actuel de flambée des prix des matières premières et de crise climatique, selon le collectif."Démolir et reconstruire coûte trois fois plus cher que réhabiliter" et "le bilan carbone d'une démolition est le triple de ce que représente une réhabilitation", assure M. Retbi.La rénovation du quartier, à quinze minutes en métro du centre-ville, pourrait se mener sans démolition, martèlent-ils, plaidant pour un moratoire sur les destructions et un concours d'architecture pour imaginer le Mirail du futur.- Logements spacieux -Baptisés des noms de compositeurs et de peintres (Le Tintoret, Messager, etc.), ces grands ensembles "font partie des rares bâtiments qui n'ont pas bougé après AZF", précise Gilbert Pedra, autre membre du collectif.L'explosion de l'usine d'engrais AZF en 2001 a fait 30 morts et détruit ou endommagé près de 30.000 édifices.Ceux du Mirail ont conservé "une structure saine", assure l'architecte, poursuivant dans un éclat de rire: "les logements de luxe en plein centre-ville de Toulouse sont moins bons que ça, et en espace et en qualité, et c'est un architecte qui vous le dit !"Les appartements, presque tous logements sociaux, vont du T2 au T6 et sont "super", sourit Jacques Rovaris, 79 ans, qui occupe depuis plus de 40 ans un T2 au cinquième étage du Grand d'Indy.Avec 66 m2, un séjour lumineux et un large balcon d'où il voit les Pyrénées par beau temps, le retraité se dit "heureux". Un relogement dans "un appartement bien, mais plus petit" lui a été proposé, mais il "ne demande pas à partir, juste à faire quelques petites améliorations"."On peut imaginer toutes sortes de réhabilitations", assure Michel Retbi. Un argument appuyé par la présidente du conseil national de l'ordre des architectes, Christine Leconte, et les architectes Anne Lacaton et Jean-Philippe Vassal, lauréats du prix Pritzker 2021.- Mauvaise image - Ces bâtiments sont vus comme "des cages à lapin" et pâtissent d'une "mauvaise image", regrette Claire Martin, membre du collectif, regrettant l'"association faite entre la paupérisation du quartier et le bâti".Leur destruction s'inscrit dans la volonté politique de transformer le Mirail, miné par le trafic de drogue. Les autorités souhaitent créer de la mixité sociale en diminuant la part de logements sociaux au dessous de 50%.Si l'opération est onéreuse - le coût de la seule destruction est estimé à plus de 87 millions d'euros - Gaëtan Cognard, maire du quartier, assume ce choix: "les architectes pensent aux bâtiments, moi aux habitants"."Il s'agit de démolir maintenant pour nos générations futures", argue-t-il, estimant que les émissions de carbone d'une reconstruction aux normes actuelles seront compensées sur le long terme.Quant au manque de logements, "on ne va pas arrêter tous les chantiers de démolition, surtout quand" ils visent à "renouveler et améliorer le cadre de vie des habitants", estime-t-il.Un objectif auquel peine à croire Brigitte Touillet, 69 ans, habitante opposée au projet. Elle cite un autre secteur du Mirail où "ils ont construit des petits cubes partout"."On nous dit que cela a fait plus de mixité sociale, mais rien n'a changé. Quand on sort du métro, on peut toujours acheter toutes les herbes qu'on veut", raconte-t-elle, en allusion au trafic de drogue.cha/fpp/gvy
Des centaines de manifestants en Iran, Irak et au Liban, ont dénoncé la "profanation" du Coran en Suède et aux Pays-Bas la semaine dernière. Ils appellent également au boycott de toutes les importations suèdoises.
Trois personnes ont été tuées et au moins quatorze blessées ce samedi dans une frappe russe sur Konstantynivka, dans l'Est de l'Ukraine. Moscou accuse pour sa part Kyiv d'avoir ciblé un hôpital.
Laura Felpin a fait quelques confidences sur sa vie sentimentale dans le podcast de Lauren Bastide, La Poudre.
Aucune date de sortie n'est connue pour la France, mais c'est ce jeudi 26 janvier 2023 que Paramount+ (USA) a mis en...
Deux jeunes militantes thaïlandaises pro-démocratie ont entamé le 18 janvier 2023 une grève de la faim en prison pour demander la libération de plusieurs activistes arrêtés pour crime de “lèse-majesté” – c'est-à-dire pour avoir critiqué la famille royale. Notre Observatrice, leur avocate, détaille comment ce motif permet largement de museler l’opposition démocratique. Badigeonnées de peinture rouge pour imiter le sang, Tantawan "Tawan" Tuatulanon et Orawan “Bam” Phuphong, deux jeunes militantes
Alors que diverses affaires ont secoué la profession, le Collège national des gynécologues et obstétriciens français se réunit afin de restaurer la confiance des patientes envers la profession. Examen gynécologique, douleur, violences... Peut-on refuser des examens ? Réponses.
Voici - Le comédien et metteur en scène Gérard Caillaud est mort à l’âge de 76 ans
France-Suède : ce qu'il faut savoir sur la demi-finale de handball de l'Euro 2022
Dans ses mémoires, Pamela Anderson raconte une incroyable anecdote. Alors de passage dans le manoir Playboy, la comédienne est tombée sur Jack Nicholson dans le plus simple appareil.
Ellie et Joel, les deux personnages de la série adaptée du jeu vidéo, auront droit à une nouvelle saison sur HBO.
Un père de famille a été arrêté au Stanford Hospital, le lundi 2 janvier dernier. Il est accusé d'avoir volontairement causé l'accident de sa voiture alors que sa femme et ses enfants étaient dedans.
En Tunisie, le taux d’abstention record au premier tour des élections, près de 89%, témoigne du désintérêt croissant des Tunisiens pour la politique. Beaucoup dénoncent le manque de changement douze ans après la révolution et se disent plus préoccupés par les questions économiques, face à la récession que traverse le pays.Lire la suite sur FRANCE 24
Voici une sélection de 7 BD pour célébrer l’édition 2023 du plus grand festival BD du monde, qui fête cette année son 50e anniversaire du 26 au 29 janvier.
Le leader Insoumis considère que l’organisation d’une manifestation le week-end permettrait une plus ample mobilisation et ne concernerait pas seulement les salariés en emploi.
La joueuse biélorusse a battu en trois sets en finale la Kazakhe Elena Rybakina.
Ce dimanche, ça fait sept ans jour pour jour que le journaliste malien, Birama Touré, a disparu. Selon une enquête de Reporters sans Frontières sortie l’an dernier, le reporter du journal d’investigation Le Sphinx serait très probablement mort des suites de sévices infligés lors de sa détention au secret dans les locaux des services de renseignement en 2016. Birama Touré enquêtait notamment sur Karim Keïta, fils de l'ancien président Ibrahim Boubacar Keïta. Depuis le coup d’État de 2020 au Mali,