Antoine Hamel : "Tourner La Stagiaire, c’est comme revenir à la maison" (France 3)
On découvre au juge Delcourt un talent caché…
Antoine Hamel : Comme tout le monde, il a son jardin secret. Lui, il y cultive le goût de l’écriture et écrit un roman policier. Au départ, il l’a fait pour lui, y trouvant ainsi un exutoire pour exprimer sa vision de la justice. Mais sa femme va le pousser à franchir le pas et présenter son livre à un éditeur. Ça va le chambouler. Il va avoir du mal à tout allier.
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Sa stagiaire envisage aussi de déménager en Espagne. Peut-il se passer d’elle ?
Difficilement. Ils s’apprécient beaucoup, et travailler sans elle serait compliqué. Pour Boris, Constance (Michèle Bernier, ndlr) représente un pilier dans sa relation avec les autres. Je le trouve touchant, car même s’il est doué dans son métier, dans sa vie, il a besoin d’appui, et donc de Constance. Mais si elle veut partir, il ne peut pas la retenir !
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L’an prochain, vous fêterez les 10 ans de la série. Êtes-vous toujours aussi heureux d’en faire partie ?
Bien sûr ! Avec Michèle Bernier et toute l’équipe, on a noué une telle complicité qu’au bout d’un moment, on se manque ! Tourner La Stagiaire, c’est comme revenir à la maison. Le plaisir est d’autant plus grand que je peux aussi me ressourcer avec d’autres projets. J’ai tourné, pour France Télévisions, deux mini-séries : Après la nuit et Cette nuit-là. Et, à la rentrée, je donnerai la réplique à Isabelle Carré dans La Serva amorosa, au théâtre de la Porte Saint-Martin, à Paris.