Anthony Martial et Mélanie Da Cruz menacés de mort : le couple placé sous protection
Menacés de mort, Anthony Martial et Mélanie Da Cruz ont été placés sous protection selon le Daily Mail. Non Stop People vous donne plus de précisions.
Comme environ 1,4% de la population mondiale, Gérard Darmon et Khaled sont liés par un point commun qu'ils doivent à leur jour de naissance particulier.
Pour la première fois depuis son départ de la Maison Blanche, Donald Trump a repris la parole publiquement ce dimanche à Orlando, devant un public d'ultra-conservateurs. Avec sa verve habituelle, il s'en est pris à son successeur.
Pour les 11 ans de sa belle-fille Violet Madison, le chanteur français lui a écrit un joli message d’amour.
Les médecins généralistes ont, depuis jeudi 25 février, l'autorisation d'inoculer des doses du vaccin d'AstraZeneca à leurs patients. Selon les syndicats de pharmaciens, quelque 200 000 doses seraient cependant toujours dans les frigos des officines. Les praticiens semblent en effet bouder le vaccin. À en croire des chiffres de la Direction générale de la santé, 29 000 d'entre eux étaient volontaires pour vacciner il y a une semaine. Ils ne seraient désormais plus que 19 187. Parcours du combattant Le vaccin AstraZeneca fourni aux médecins peut être injecté à des patients âgés de 50 à 64 ans atteints de comorbidité. "Il faut les sélectionner, les contacter, les faire venir, ils viennent surcharger notre patientèle...", énumère le docteur Saïd Ouichou, généraliste à Marseille (Bouches-du-Rhône). Il est en outre nécessaire d'aller récupérer les doses à la pharmacie, puis de déclarer les patients auprès de la Sécurité sociale. Un parcours du combattant qui a donc déjà découragé bon nombre de praticiens.
Le 26 février, Maeva Ghennam a révélé avoir été victime de sorcellerie. Selon, la jeune star des Marseillais une de ses connaissances aurait engagé une sorcière pour nuire à sa carrière. De quoi alimenter les spéculations chez les internautes !
Les archéologues du site de Pompéi ont fait la découverte d'un char de cérémonie orné de décorations, une trouvaille extraordinaire pour la connaissance du monde antique.
Hospitalisé depuis le mercredi 17 février, le prince Philip a traversé de lourdes épreuves au cours de sa vie. Le 16 novembre 1937, sa sœur, la princesse Cécile de Grèce, est morte dans un accident d'avion alors qu'elle était enceinte. Retour sur cet épisode tragique qui a fait basculer la vie du duc d'Édimbourg.
EXCLUSIF. Les courbes de Philippe Amouyel et Luc Dauchet, professeur et maître de conférences en santé publique au CHU de Lille, laissent craindre une forte reprise épidémique en mars.
En publiant le rapport du renseignement américain sur l'assassinat de Jamal Khashoggi, très compromettant pour le prince héritier saoudien Mohammed ben Salmane, l'administration Biden semble avoir acté son rejet de l'homme fort de Riyad. Retour sur une déchéance annoncée. Le prince héritier saoudien Mohammed ben Salmane (MBS) avait raison de redouter l’entrée à la Maison Blanche du démocrate Joe Biden aux dépens de Donald Trump, alors qu’il avait tout misé sur une réélection du milliardaire américain, dont il était l’un des protégés.Au lendemain de la déclassification par Washington d'un rapport du renseignement américain sur l'assassinat de Jamal Khashoggi, qui l'accuse d’avoir "validé" l'opération visant à "capturer ou tuer" le journaliste saoudien, MBS apparaît comme le grand perdant, sur la scène diplomatique du Moyen-Orient, de l'élection de Joe Biden à la présidence des États-Unis.Le démocrate, qui souhaite "recalibrer" les relations entre Washington et Riyad en rompant avec la diplomatie de l’ère Trump dans la région, n’a jamais caché son hostilité à l’égard du jeune prince, notamment pendant la campagne présidentielle.Un désaveu public au retentissement internationalEt si Washington a décidé de ne pas sanctionner MBS, le désaveu public au retentissement international qu’elle vient de lui infliger ruine les efforts du fils du roi Salmane pour réhabiliter son image et celle de son pays déjà très écornées. Il s'agit d’un coup dur pour celui qui se présentait en Occident comme un prince ouvert et réformateur, déterminé à libéraliser, en douceur, un royaume rigoriste et ultraconservateur.Nommé ministre de la Défense, puis prince héritier en juin 2017 par le roi Salmane, sur le trône saoudien depuis janvier 2015, MBS, décrit comme impulsif et pressé, a connu une ascension fulgurante. Notamment grâce à son projet de transformation de l’économie saoudienne – trop dépendante du pétrole – et son engagement à lutter contre la corruption et le terrorisme.Mais ses initiatives ont été rapidement éclipsées par ses méthodes de gouvernance brutales et une dérive autoritaire à l’intérieur du pays. En quelques mois, il devient le dirigeant de facto du royaume wahhabite en le faisant passer d'une monarchie basée sur un consensus entre les différentes branches de la famille royale à un régime personnalisé dans lequel les pouvoirs sont concentrés entre ses mains.Ses offensives de charme et ses tournées à l’étranger sont très médiatisées et font quelque peu oublier les campagnes expéditives d’arrestations menées dans le royaume à l’endroit de membres de la famille royale, de militants des droits de l’Homme, d'intellectuels et de critiques.Des dérives plusieurs fois dénoncées par Jamal Khashoggi, qui s’était exilé à partir de 2017 aux États-Unis, dans des éditoriaux sans concession publiés dans le Washington Post.Mais c’est surtout la tempête internationale déclenchée par l’assassinat du même Jamal Khashoggi, le 2 octobre 2018, qui va ternir l’image de Mohammed ben Salmane, et remettre sur le devant de la scène médiatique le lourd bilan de la pétromonarchie wahhabite en matière de droits de l’Homme.Restriction des libertés d’expression et d’association, interdiction des rassemblements pacifiques, liberté religieuse hors islam inexistante, procès inéquitables, discrimination envers les femmes et la minorité chiite, exercice de la torture et peines de mort arbitraires… Si la nature répressive de la monarchie saoudienne, régie par une version rigoriste de la charia, la loi islamique, à l’égard de toute contestation interne a toujours été de rigueur, la situation s’est durcie depuis la montée en puissance du prince héritier.Un allié embarrassant pour les États-UnisAu niveau diplomatique, le bilan censé légitimer MBS sur le plan international est tout aussi négatif, alors que sur ce plan aussi, il a tenté la manière forte. "Qu’il s’agisse du bourbier yéménite qui est devenu un Vietnam aux portes du royaume, qu'il s'agisse encore de l’embargo musclé destiné à faire fléchir le Qatar, ou bien encore du coup de force contre le Liban avec l’affaire de la vraie fausse démission du Premier ministre Saad Hariri… Aucune de ses initiatives n’ont permis aux Saoudiens de renforcer leurs positions sur l’échiquier régional face à l’Iran", résumait il y a quelques mois Karim Sader, politologue et consultant spécialiste du Golfe, interrogé par France 24.Au Yémen notamment, où il avait engagé le combat en mars 2015, les rebelles houthis chiites, soutenus par Téhéran, résistent toujours à la coalition internationale, alors que le conflit a provoqué ce que l'ONU qualifie de "pire crise humanitaire du monde".Adoubé en mai 2017 par le président américain Donald Trump, alors en visite en Arabie saoudite, MBS lie sa diplomatie à celle de l'administration Trump, focalisée comme lui sur la menace iranienne. Il se rapproche de Jared Kushner, le gendre du président chargé du dossier moyen-oriental. Des relations privilégiées et un accès direct au bureau Ovale qui lui seront très utiles au moment de l’affaire Khashoggi.Alors qu’il apparaît désormais comme un allié embarrassant pour les États-Unis, le président Donald Trump le défend personnellement, pour assurer la caution saoudienne à son "deal du siècle" au Proche-Orient et à l'ouverture de relations diplomatiques entre certains pays du Golfe et Israël.Mais de leur côté, la presse américaine et le camp démocrate ne ménagent pas le fils du roi saoudien, qui finit par assumer "toute la responsabilité" de l'assassinat du journaliste tout en démentant en être le commanditaire.En octobre 2018, le magazine américain Newsweek dévoile un entretien inédit – et non daté – avec Jamal Khashoggi dans lequel ce dernier estime que MBS n’est autre qu’un "dirigeant tribal rétrograde", jouissant d’un pouvoir "autocratique" et ne recherchant aucunement une ouverture du régime saoudien à la démocratie. Le journaliste assure également dans cet entretien craindre pour sa vie.Jusqu’ici, Riyad n’a jamais révélé où se trouvait le corps du journaliste, qui n’est pas réapparu après un rendez-vous administratif au consulat saoudien d’Istanbul, le 2 octobre 2018.Avec la publication du rapport de la CIA, l'homme fort de la monarchie wahhabite n’est plus intouchable. L'arrivée à la Maison Blanche de Joe Biden, qui a multiplié les décisions défavorables à MBS (main tendue à Téhéran dans l'optique d’un éventuel retour dans l’accord sur le nucléaire iranien, restrictions sur les livraisons d’armes à Riyad), a sans doute fait perdre au prince le sentiment d’impunité dont il jouissait durant l’ère Trump.Reste à savoir quel sera l’avenir de MBS au sein du royaume, et si l’administration américaine n’est pas en train d’enclencher un processus visant à provoquer sa chute.
Emmanuel Macron est arrivé dans sa villa du Touquet (Pas-de-Calais) ce samedi 27 février, quelques heures après son épouse, Brigitte. La station balnéaire où le couple présidentiel a ses habitudes ne les avait pas accueillis depuis l'été dernier, où ils étaient venus voter pour le second tour des élections municipales.
Les investigations dans la disparition d'Aurélie Vaquier, 38 ans, se poursuivent. Le quotidien Le Parisien révèle que l'hypothèse du départ volontaire est écartée par ses proches.
SAINT-DOMINGUE (Reuters) - La République dominicaine va entamer cette année la construction d'une clôture le long de ses 376 kilomètres de frontière avec Haïti afin de freiner l'immigration illégale et le commerce illicite avec ce pays, a déclaré samedi le président dominicain, Luis Abinader. "D'ici deux ans, nous voulons mettre fin aux graves problèmes que sont l'immigration illégale, le trafic de drogue et la circulation de véhicules volés", a déclaré Luis Abinader devant le Congrès.
Toujour aucun dénouement pour la disparition de Delphine Jubillar. Selon La Dépêche ce vendredi 26 février, son mari Cédric fait tout pour reprendre une vie normale.
Les renseignements américains ont déclassifié, le 26 février, un rapport concluant à la responsabilité du prince héritier saoudien Mohammed ben Salmane dans le meurtre du journaliste dissident, Jamal Khashoggi, en 2018.
Sénégal, Égypte, Maroc… De plus en plus de pays africains reçoivent des vaccins anti-Covid du laboratoire chinois Sinopharm. Alors que l'Europe et les États-Unis sont focalisés sur la gestion du Covid-19 sur leur propre territoire, Pékin se tourne vers le continent africain, l'un des ses partenaires clés, pour écouler ses vaccins, accroître son influence et promouvoir son image à travers le monde. Confrontés à une recrudescence de l'épidémie de Covid-19, l'Europe et les États-Unis cherchent à réserver toujours plus de stocks de vaccins, au détriment des autres régions du monde. Kristalina Georgieva, la dirigeante du Fonds monétaire international, a ainsi déploré mercredi 24 janvier "un accès inégal aux vaccins" entre les pays les plus avancés et ceux à faibles revenus. Profitant de l'absence des Européens et des Américains sur ce terrain en Afrique, la Chine se pose en alternative, en vendant et en offrant ses propres vaccins à plusieurs pays africains. La Chine a offert 200 000 doses du vaccin produit par la société Sinopharm à la Sierra Leone, pays pauvre d'Afrique de l'Ouest, qui doit les recevoir jeudi. Pékin s'est aussi engagé à donner d'ici quelques jours 100 000 doses de vaccin à la Tunisie. >> À lire aussi : Le vaccin anti-Covid au cœur des stratégies géopolitiquesLe dernier pays en date à avoir reçu des vaccins chinois est le Sénégal. Quelque 200 000 doses du vaccin de la société chinoise Sinopharm ont permis de lancer, mardi, la campagne de vaccination dans le pays. Dakar, qui a mis à disposition 10 % de cette cargaison à ses voisins la Guinée-Bissau et la Gambie, s'attend à recevoir 6,5 millions de doses supplémentaires dans les semaines à venir. Revendiquant une efficacité de 79 %, le vaccin de Sinopharm a déjà servi dans d'autres pays du continent comme les Seychelles, le Zimbabwe, l'Égypte, le Maroc ou la Guinée équatoriale. Ces doses ont été transportées via un pont aérien spécialement mis en place par Pékin, qui ne cache pas ses ambitions auprès des pays en développement ou à revenu intermédiaire en Afrique, mais aussi en Amérique latine et en Asie du sud-est. Lundi, le ministre des Affaires étrangères, Wang Yi, a affirmé que la Chine fournissait gratuitement des vaccins à 53 pays dans le monde et qu'elle en livrait à 22 pays qui avaient passé commande pour en acheter. En livrant ses vaccins, la Chine a saisi "une opportunité politique considérable" pour être sur le devant de la scène, affirme Antoine Bondaz, chercheur à la Fondation pour la recherche stratégique (FRS) spécialiste de la Chine, contacté par France 24. "Les Chinois s'inscrivent dans une lutte d'influence. Ils veulent dire au monde qu'après avoir vaincu l'épidémie, ils sont désormais capables de venir en soutien aux pays africains contrairement aux pays les plus développés, qui, aujourd'hui, ne sont pas au rendez-vous", explique-t-il. Le directeur général de l'Organisation mondiale de la santé (OMS), Tedros Adhanom Ghebreyesus, a reproché lundi à certains pays riches d'"approcher les fabricants pour s'assurer l'accès à des doses de vaccins supplémentaires" et de "saper" le dispositif Covax, visant à fournir aux pays à faibles revenus leurs premières doses de vaccins anti-Covid. Lancé au printemps 2020, Covax doit fournir, d'ici la fin 2021, jusqu'à 600 millions de doses à l'Afrique, soit suffisamment pour vacciner au moins 20 % de sa population. Mais alors que le continent connaît une deuxième vague épidémique, les doses se font attendre. Cette situation pousse certains pays africains à signer des contrats avec la Chine, qui se targue de pouvoir leur transmettre des vaccins plus rapidement.Face aux demandes d'aide des pays africains, Emmanuel Macron a proposé, le 19 février, que l'Europe et les États-Unis livrent "le plus vite possible" 13 millions de vaccins contre le Covid-19 à l'Afrique pour que le continent puisse vacciner ses 6,5 millions de soignants. En attendant, la Chine a déjà tiré son épingle du jeu, estime Antoine Bondaz. "Même si le dispositif Covax apportera plus d'aide dans le futur par rapport à celle apportée aujourd'hui par la Chine en Afrique, beaucoup de pays vont seulement retenir que les premières cargaisons de vaccins sur le continent étaient chinoises", détaille-t-il. Selon lui, "la Chine a marqué des points en termes de communication" avec ces livraisons.Les prix de ces transactions n'ont pas été divulgués par Pékin. Les autorités du Zimbabwe ont, cependant, affirmé qu'elles bénéficiaient de tarifs préférentiels pour l'achat d'1,2 million de doses supplémentaires. Une stratégie qui permet à la Chine de valoriser son image. "Pour le moment, les vaccins produits par les pays occidentaux sont trop chers pour qu'ils soient utiles aux pays africains donc les quantités livrées sont limitées", explique Thierry Pairault, directeur de recherche émérite au CNRS, spécialiste des relations sino-africaines, contacté par France 24. "La Chine veut faire passer le message que les pays occidentaux ont fait des vaccins chers destinés aux pays riches et qu'a contrario, elle participe au bien public mondial", complète Antoine Bondaz.Préserver une relation bilatérale ancienne et stratégique Cet intérêt qu'a la Chine pour les pays africains n'est pas nouveau. Il remonte à 1955, lors du premier sommet afro-asiatique de Bandung, qui pose, en pleine Guerre froide, les jalons de la politique chinoise en Afrique. Les liens entre la Chine et l'Afrique se renforcent ensuite dans les années 60, au moment des indépendances africaines et du mouvement des non-alignés. Avec l'arrivée de Deng Xiaoping à la tête de l'État, l'Afrique est ensuite perçue par la Chine comme "un marché et un accès aux indispensables ressources en énergie et en matières premières", écrivaient les journalistes Serge Michel et Michel Beuret dans "La Chinafrique" (Éd. Grasset, 2008).Un tournant s'est ensuite opéré dans les années 90. "Au moment du massacre de Tiananmen, les pays occidentaux ont fait défaut à la Chine puisqu'ils ont sanctionné la répression", affirme Thierry Pairault. "En quête de soutiens politiques, la Chine s'est donc tournée vers des pays en voie de développement. Elle les a attirés en réactivant un discours tiers-mondiste qui vise à la valoriser aux yeux, entre autres, des pays africains.">> À voir aussi : Covid-19 en Afrique : les vaccins arrivent mais le scepticisme demeureLes échanges commerciaux explosent à partir des années 2000, amenant la Chine à être aujourd'hui le premier partenaire commercial de l'Afrique, riche en ressources naturelles, grand consommateur de produits chinois et où les investissements chinois prolifèrent. En se montrant comme une puissance généreuse à l'égard du continent, Pékin veut donc préserver ces liens économiques asymétriques. "La Chine a besoin politiquement de l'Afrique qui a, de son côté, besoin économiquement de Pékin. Ce soutien économique, l'Afrique le paie en soutien politique", résume Thierry Pairault, qui rappelle que le continent représente "plus d’un quart des voix à l’Assemblée générale de l'ONU". Une expression de la "diplomatie sanitaire" de la Chine Pour accroître son soft power, la Chine s'est lancée, en parallèle, dans une "diplomatie sanitaire", explique Antoine Bondaz. "Elle s'est renforcée considérablement dans les années 2010 avec l'épidémie d'Ebola en Afrique de l'Ouest. Avec cette crise, la Chine est apparue comme un acteur de premier plan sur le plan sanitaire", précise-t-il. Dans la zone touchée par l'épidémie, le pays a, par exemple, mobilisé ses cadres médicaux militaires ainsi que "1 200 personnels de santé", peut-on lire dans l'une des notes du chercheur, publiée en mars 2020. En livrant des vaccins aux pays africains, la Chine s'inscrit dans ce même schéma, tout en cherchant à se présenter comme un géant technologique. "Les entreprises chinoises veulent apparaître comme des alternatives aux Big pharma et récupérer des parts de marché dans le secteur des biotechnologies", précise Antoine Bondaz. D'autant que Pékin "possède des capacités de production considérables".Bien qu'affichant des taux d'efficacité moins performants que leurs homologues occidentaux, les deux vaccins chinois homologués par l'OMS (ceux des laboratoires chinois Sinopharm et SinoVac) sont, en outre, plus faciles à conserver et à exporter dans les pays africains, qui restent limités en termes d'infrastructures médicales. Ces vaccins peuvent être stockés au réfrigérateur, contrairement à celui de Pfizer/BioNTech qui doit être congelé. D'autres vaccins chinois pourraient bientôt arriver sur le marché. L'Institut de produits biologiques de Wuhan, une filiale de Sinopharm, et l'entreprise chinoise CanSino Biologics ont annoncé mercredi avoir déposé une demande d'autorisation pour une utilisation publique de leurs vaccins. La Chine pourrait aussi franchir une autre étape, en acceptant que ses vaccins soient un jour produits à l'étranger, y compris dans certains pays africains. Le Maroc pourrait être l'un des pionniers : Rabat a débuté des négociations avec Pékin pour pouvoir produire le vaccin de la société Sinopharm et l’exporter vers d’autres pays africains.
Il y a quelques semaines, Joe Biden est devenu le quarante-sixième président des États-Unis après avoir remporté l’élection présidentielle face à Donald Trump. Un résultat que n’espérait sans doute pas Kanye West, lequel avait également décidé de partir en campagne. La somme qu’il a dépensé à cette occasion vient d’être dévoilée dans un rapport de la Commission électorale fédérale.
La vie de Céline Dion, dans toute sa grandeur, est racontée par la biographe Elisabeth Reynaud dans un livre sorti aux éditions Larousse. A cette occasion, celle-ci a accepté de répondre à nos questions et de faire des révélations étonnantes sur la chanteuse.
Ce vaccin est perçu comme moins efficace que ses concurrents des laboratoires Pfizer-BioNTech et Moderna. A tort, explique l'exécutif, alors que la vaccination à destination des 50-64 ans avec des comorbidités vient de démarrer avec ce produit.
Sur le plateau de l'émission On est en direct, l'animatrice Karine Lemarchand a rappelé que l'ancien ministre Arnaud Montebourg était un très bon imitateur de ses confrères du monde politique. Pour autant ce dernier a refusé de se prêter au jeu, comme il l'avait fait cinq ans plus tôt lors du tournage de l'émission Une Ambition intime.
Jumeaux mais très différents ! Lors d'un entretien avec le magazine People, le prince Albert de Monaco a fait quelques confidences sur les personnalités opposées de ses deux enfants Jacques et Gabriella. Alors que son fils est timide et calme, sa fille est extravertie et bavarde.