Anne Gravoin : "Enfant, je savais que je voulais faire du violon toute ma vie"

A l'occasion d'Octobre rose, moins consacré à la lutte contre le cancer du sein, la violoniste poursuit son engagement avec l'association Vaincre le cancer.

Paris Match. Pourquoi vous engager pour la lutte contre le cancer du sein ?
Anne Gravoin. J’ai perdu ma mère des suites de cette maladie il y a vingt-huit ans.

Le Métier que vous auriez aimé faire enfant ?
Dès que j’ai eu un violon dans les mains j’ai su que je voulais faire ça toute ma vie.
Une superstition ?
Ma loge doit être impeccablement rangée avant mon entrée sur scène.

Une addiction ?
Le chocolat et Richard Strauss.

Trois invités pour un dîner idéal ?
Gandhi, George Clooney et Maurice Ravel.

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Votre plus grande fierté ?
Ma fille.
Une erreur de jeunesse ?
J’ai eu une coupe de cheveux atroce à 15 ans.

Votre plus grand regret ?
Que ma mère n’ait pas connu ma fille.
Vous faites quoi le dimanche soir ?
Je prends le temps de ne rien faire et de profiter de mon compagnon.

Le film que vous avez le plus vu ?
« Sur la route de Madison ».
Votre devise ?
Toujours avancer, ne jamais regarder derrière.


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