Amel Bent : sa perte de poids violemment critiquée, elle répond !
Amel Bent a perdu beaucoup de poids. Une nouvelle silhouette qui a parfois inquiété ses fans. Lasse des remarques, la chanteuse a décidé de mettre les choses au clair !
DIPLOMATIE - La Chine pratique régulièrement ce genre de tests lors de dépistages massifs du Covid-19
Alors qu'elle n'est pas encore apparue à l'écran dans Les Marseillais, Maddy Burciaga s'affiche, toujours aussi belle, sur Instagram. Ce jeudi 25 février, elle a donné de ses nouvelles depuis les Maldives.
Meghan Markle et le prince Harry vont bientôt devenir parents d’un deuxième enfant. Si le sexe du bébé n’a pas encore été dévoilé, la duchesse de Sussex aurait commencé à semer des indices.
Voilà plus d'un mois, depuis son départ officiel de la Maison Blanche, que Melania Trump évite la lumière à tout prix. Une discrétion qui interroge, alors que l'ancienne Première dame semble pour l'heure avoir tiré un trait sur sa vie publique...
Invité sur le plateau de Touche pas à mon poste ce jeudi 25 février, Jean Dominici s'est confié sur la mort de Christophe Dominici, en faisant part de sa colère contre la psy et la femme de son fils.
Ce mercredi 24 février 2021, les internautes n'ont pas caché leur mécontentement envers le comportement de Matthias de Top Chef. Selon eux, le candidat de la brigade de Philippe Etchebest n'a pas manqué de sexisme et de machisme envers sa co-équipière Charline.
Une ballerine russe s’est filmée sur une plage enneigée du golfe de Finlande pour dénoncer un projet de construction portuaire qui pourrait mettre en péril de nombreuses espèces sauvages.
Mardi, un homme a pénétré dans le commissariat de Carpentras avec un couteau à la main. Son but : se faire arrêter pour passer la nuit en garde à vue, loin de chez lui et de sa femme qu'il ne supporte plus.
Nuit difficile pour Alizée et Maxime, l'un des binômes mythiques de Pékin Express. Dans la nuit du 23 au 24 février ils ont conduit en urgence leur bébé Thi-Waï à l'hôpital. Une épreuve vécue difficilement par le jeune papa resté à l'extérieur en raison de la crise sanitaire...
Depuis deux ans, les idées émanant de ce mouvement pro-Trump se développent en France, autour "d'informations erronées et manipulées sur l'actualité française".
Ce mercredi 24 février, sur RMC, le journaliste Alain Marschall a exprimé son incompréhension et sa colère devant une décision prise par la préfecture de police de Paris dans le cadre de la crise sanitaire.
Le périple insolite des diplomates et de leur famille a été publié par le ministère russe des Affaires étrangères View on euronews
Pour animer leurs événements internes, certaines entreprises font appel à des stars de la télévision telles qu'Alessandra Sublet, Christophe Beaugrand ou encore Denis Brogniart. Le magazine Capital lève le voile sur le coût de ces prestations, dans son édition de ce jeudi 25 février.
Dans "Sans Rendez-vous", la sexologue et psychanalyste Catherine Blanc répond à Françoise, dont le mari l'a trompé pendant deux ans. Si elle a mis autant de temps à s'en rendre compte, c'est que ce dernier avait toujours du désir pour elle. Mais cela n'est pas si étonnant selon la spécialiste.
L'actrice britannique de 30 ans, inoubliable Hermione dans la sage Harry Potter, décide de prendre du recul et souhaite se consacrer à sa vie privée. Son agent a confirmé qu'elle refusait le moindre contrat...
Diffusé ce soir sur France 3, le film Aurore met en lumière une Agnès Jaoui solaire. Moins de deux mois après la mort de son éternel complice Jean-Pierre Bacri, focus sur les deux enfants que l'actrice et réalisatrice a adoptés au Brésil.
Au lendemain de ses déclarations, le premier adjoint à la mairie de Paris a précisé, vendredi, que la proposition de recourir à un confinement de trois semaines dans la capitale était une "hypothèse". De son côté, le porte-parole du gouvernement, Gabriel Attal, a affirmé que la mesure sera "étudiée" à l'échelle de la région. Le premier adjoint de la maire de Paris, Emmanuel Grégoire, a sérieusement tempéré, vendredi 26 février, ses déclarations de la veille, assurant que le reconfinement de Paris était "une hypothèse" et non une proposition de l'Hôtel de Ville."Ça n'a jamais été une proposition, j'ai fait trois interventions médiatiques hier soir, ça n'a jamais été une proposition, c'est une hypothèse", "simplement une hypothèse que nous souhaitons mettre sur la table", a précisé l'adjoint de la maire PS Anne Hidalgo lors d'une conférence de presse. "Nous ne proposons pas de mettre en œuvre le confinement à Paris d'abord, parce que cette décision relèvera de l'exécutif national, mais nous pensons que la politique des demi-mesures, avec des résultats très contestables a une forme de fin de cycles", a-t-il aussi expliqué.La veille, le premier adjoint avait déclaré sur France Info que la mairie de Paris allait soumettre au gouvernement un plan préconisant un confinement de la capitale pendant trois semaines avec l'objectif de rouvrir restaurants, bars et salles de spectacle à l'issue de cette période.Plutôt qu'un confinement le week-end, une mesure "très contraignante sur le plan de l'impact sociétal et assez peu efficace sur le plan sanitaire", le premier adjoint disait préférer "un confinement tout court" à Paris de façon à "vraiment redonner de l'oxygène et avoir la perspective dans trois semaines de tout rouvrir", tout en conservant des mesures de protection sanitaire."On ne peut pas s'imposer de vivre dans une semi-prison pendant des mois. Il faut maintenant prendre des décisions courageuses", a-t-il lancé après l'annonce, par le Premier ministre, Jean Castex, de la mise sous "surveillance renforcée" de Paris, comme 19 autres départements, face à la remontée épidémique.Ces territoires pourront faire l'objet de mesures de confinements locaux à partir du week-end du 6 mars si la situation continuait à se dégrader, après "concertations avec les élus", a ajouté le chef du gouvernement."Quand on réfléchit sur Paris, il faut réfléchir sur la région Île-de-France"La proposition de la mairie de Paris de confiner pendant trois semaines la capitale sera "étudiée" à l'échelle de la région, malgré des réserves sur sa durée et sur la fermeture des écoles, a réagi, vendredi, le porte-parole du gouvernement Gabriel Attal."Si on est rentrés dans ce cadre de discussions avec les élus, c'est pour qu'ils fassent des propositions, donc la proposition de la mairie de Paris sera évidemment étudiée", a assuré le porte-parole du gouvernement sur France Inter. "Quand on prend des mesures localisées qui concernent un territoire, c'est important de les prendre en lien avec les élus locaux", a-t-il insisté.Mais "les mesures, il faut qu'elles aient un sens au niveau territorial et quand on réfléchit sur Paris, il faut réfléchir sur la région Île-de-France" car "il n'y a pas de no man's land derrière le périphérique, il y a des mouvements importants entre les territoires", a-t-il fait valoir.La présidente de région, Valérie Pécresse (Libres !), avait qualifié jeudi "d'illusions" d'éventuelles décisions sanitaires prises "au niveau départemental" en Île-de-France.Le porte-parole du gouvernement a aussi exprimé d'autres réserves. "Il y a assez peu de scientifiques qui considèrent que, avec un confinement de trois semaines, on peut terrasser le virus et tout ouvrir, comme l'ont dit les élus de la mairie de Paris", a averti Gabriel Attal."On a un objectif, c'est de laisser autant que possible les écoles ouvertes et donc je comprends que, désormais, la mairie de Paris appelle à fermer les écoles, c'est vraiment pas une décision anodine", a aussi mis en garde le secrétaire d'État en rappelant "l'impact pour la santé de nos enfants, le décrochage scolaire"."Pour nous, c'est quand même une décision qui doit se prendre en ultime recours", a-t-il souligné."Des demi-mesures avec des mauvais résultats"Si la méthode du gouvernement d'engager le dialogue entre préfets et élus locaux "est la bonne", Emmanuel Grégoire estime que "la situation actuelle, qui nous semble un tout petit peu attentiste, est la pire parce que ce sont des demi-mesures avec des mauvais résultats".La mairie, également favorable à "un retour au télétravail de façon obligatoire" et à des mesures "ciblées, avec discernement et à durée limitée" vis-à-vis des commerçants, entend faire remonter ses propositions au gouvernement en début de semaine prochaine, après dialogue avec l'Agence régionale de santé (ARS) et la préfecture de police au cours du week-end.L'adjointe à la Santé Anne Souyris (EELV) a dit craindre une "explosion des chiffres" du Covid-19 dans la capitale avec la rentrée scolaire lundi et la progression du variant britannique, alors que le taux d'incidence y est déjà supérieur au seuil d'alerte maximale."Il ne faut pas attendre que les hôpitaux soient débordés"Président de la Fédération hospitalière de France (FHF) et maire Agir de Fontainebleau, Frédéric Valletoux a quant à lui demandé, vendredi, "des mesures plus drastiques" afin de limiter la saturation des hôpitaux par des patients atteints de Covid-19."Je demande qu'ils (le gouvernement) n'hésitent pas à prendre des mesures drastiques là où c'est nécessaire, il ne faut pas attendre que les hôpitaux soient débordés comme c'est le cas à Dunkerque car la réalité, c'est que le confinement est annoncé", a-t-il déclaré sur le plateau de France 2."Il arrive un moment où on ne tient qu'en évacuant les patients ou qu'en déprogrammant et, quand on déprogramme (...), vous ne savez pas si ça ne représente pas une perte de chances pour ces personnes (...). Ce n'est jamais facile de déprogrammer et ce n'est pas un acte sans conséquences", a-t-il ajouté.Il a réaffirmé qu'"entre 10 et 20 %" des actes hospitaliers avaient été déprogrammés depuis mi-janvier en Île-de-France "pour permettre de tenir".Avec AFP
Anny Duperey revient à l'affiche d'une série, sur France 2 cette fois, La faute à Rousseau. L'occasion parfaite de se confier à Voici. Au cours de l'interview, la comédienne raconte comment Bernard Giraudeau l'a convaincue de devenir mère.
Julie Zenatti a elle aussi cédé aux sirènes des confidences sur balançoire du Jarry Show et évoqué avec l'humoriste l'AVC qui l'a frappée en 2010, alors qu'elle attendait son premier enfant...
Dans le Daily Mail, l'agent d'Emma Watson a annoncé une triste nouvelle : l'actrice rendue célèbre par Harry Potter met sa carrière entre parenthèses.