Yahoo Actualités Ambulance, Eric et Ramzy... Le plan fou (mais retoqué) de Doumbè pour son entrée face à Baki
Battu par Baysangur "Baki" Chamsoudinov ou plutôt par l'arbitre qui a décidé de stopper le combat à cause d'une écharde dans son pied, Cédric Doumbè ne décolère pas ce lundi. Mais parmi les autres raisons de la frustration de l'ancien champion du monde de kickboxing, le refus du PFL pour son animation d'avant-combat. Après avoir multiplié les taquineries dans les médias ou les réseaux sociaux, "The Best" avait promis d'envoyer son rival à l'hôpital en lui infligeant un gros KO. Et pour l'occasion, Cédric Doumbè avait prévu le coup avec une ambulance et deux infirmiers de choix.
"Je devais arriver dans une ambulance avec deux infirmiers et un brancard. Je devais arriver avec ça", a ainsi raconté celui qui compte donc une défaite en six combats en MMA dans le podcast The MMA Hour du journaliste Ariel Helwani. "Je devais arriver avec deux invités, Eric et Ramzy qui sont célèbres en France parce qu’ils ont tourné dans une grosse série française avec des docteurs."
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"Je n’ai pas vraiment compris pourquoi"
Un peu à l'image de son combat face à Jordan Zebo où il était arrivé avec un matelas pour permettre à son adversaire de dormir après lui avoir mis un KO, Cédric Doumbè avait choisi de marquer les esprits lors de ce PFL Paris avec une référence à la série H.
"Si vous êtes français, vous avez la référence, vous auriez compris immédiatement. Voilà ce que vous avez raté", a encore glissé l'ancien roi du Glory ce lundi. "Le PFL a dit non parce qu’ils ne voulaient pas prendre le risque avec une ambulance. Je n’ai pas vraiment compris pourquoi."
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Et Cédric Doumbè de reconnaître une vraie amertume après le refus du PFL qui l'a privé d'un instant mémorable voire iconique à Bercy: "[En colère?] Oui parce qu’on a essayé jusqu’au dernier moment. On a essayé. Même quand j’étais dans le vestiaire. On a essayé, on a essayé… Et ils ont dit non."
Battu par "Baki" lors de cette soirée de prestige à Paris, Cédric Doumbè espère une revanche face à son adversaire. Ou plutôt un vrai combat contre celui qui, selon lui, n'aurait pas dû accepter la victoire offerte sur un plateau par l'arbitre.
