Dans "Une Ambition Intime", Karine Le Marchand a fait dire des pépites

Capture d'écran de la bande-annonce de
Capture d'écran de la bande-annonce de

TÉLÉVISION - De nouvelles confidences sur le canapé. Ce dimanche 7 novembre, M6 diffuse un nouveau numéro de l’émission de Karine Le Marchand, Une Ambition Intime. En cette période pré-présidentielle, la présentatrice a décidé d’interviewer en toute intimité cinq femmes politiques. Les téléspectateurs vont donc en apprendre un peu plus sur la vie d’Anne Hidalgo, Rachida Dati, Valérie Pécresse, Marlène Schiappa et Marine Le Pen.

Ce n’est pas la première fois que Karine Le Marchand reçoit des personnalités politiques dans son émission. En 2016 déjà, avant la présidentielle, la confidente des agriculteurs avait reçu sur son sofa, verre de vin à la main, plusieurs candidats potentiels. Au programme, confidences, questions cocasses et moments un peu gênants.

À l’occasion de la diffusion de ce nouveau numéro, Le HuffPost vous propose de revenir sur six moments marquants de l’émission, signés Karine Le Marchand.

1. Les sourcils de François Fillon

Dans son émission de 2016, Karine Le Marchand a osé poser “la” question que tous les Français se posaient sur François Fillon, alors candidat à la primaire de la droite: “Je peux parler d’un sujet qui fâche?” a-t-elle commencé avant de s’esclaffer: “Vos sourcils...”. Et elle surenchérit: “Ils ont une vie autonome”.

François Fillon s’en tire, un peu gêné, par une pirouette bien amenée, en faisant allusion à Georges Pompidou, qui n’avait lui non plus pas froid au-dessus des yeux.

2. La ressemblance, pas si évidente, de François Bayrou et Richard Gere

L’ex-ministre François Bayrou a également été interrogé par Karine Le Marchand. Mais cette fois, c’est lui qui pose le sujet: sa ressemblance avec l’acteur de Pretty Woman, Richard Gere. Au premier abord, l’animatrice n’est pas convaincue mais lui concède dans un éclat de rire qu’il a “un petit côté Richard Gere”. “Eh bien voilà, vous avez fini par percer le fond de ma nature” s’amuse François Bayrou.

Et pendant la séquence, alors que le fondateur du Modem explique pourquoi Pretty Woman est un de ses films préférés, Karine Le Marchand ne se retient pas de faire une remarque: “enfin elle était un peu pupute quand même”.

3. Les années “volages” d’Alain Juppé

“Comme je me suis marié très jeune, je n’avais pas eu beaucoup d’expérience. J’ai eu une période de quelques années où je me suis un peu lâché”, confie Alain Juppé à Karine Le Marchand. Après son divorce avec Christine Leblond l’ancien homme politique de droite a avoué avoir profité de son célibat avant de rencontrer Isabelle Bodin, sa femme depuis 1993.

Des années un peu “volages” mais pas de “débauche permanente” précise-t-il tout de même à la présentatrice, friande de détails croustillants.

4. Les larmes d’Arnaud Montebourg

Après les rires, Karine Le Marchand a fait pleurer. Arnaud Montebourg est apparu bouleversé après le témoignage d’un ami, le parrain de sa fille, sur la naissance de cette dernière. Jeanne est née prématurée en 2015.

Une épreuve pour Arnaud Montebourg et sa famille, qui n’a pas pu retenir ses larmes. “C’est une histoire ordinaire, hein. Il y a 60.000 parents en France qui ont des enfants prématurés et c’est toujours difficile, parce qu’on croit connaître la vie et on est confronté à autre chose”, déclare-t-il à Karine Le Marchand, désolée d’avoir posé une question aussi sensible.

5. Les confidences de Nicolas Sarkozy sur sa relation avec Bernadette Chirac

Nicolas Sarkozy a lui aussi été invité sur le canapé de Karine Le Marchand. Il a alors fait des confidences sur sa relation avec la femme de l’ancien président de la Réplique, Bernadette Chirac. “Jacques ne voulait pas qu’on se voie, on se cachait pour se voir”, raconte-t-il à l’animatrice étonnée, qui n’a pas manqué l’occasion de faire ce parallèle: “Comme des amants”.

Nicolas Sarkozy et Bernadette Chirac entretiennent une grande amitié. Il a été présent dans des moments importants de la vie de l’ancienne première dame, dont le décès de Laurence, la fille du couple Chirac.

6. Marine Le Pen et l’exclusion de son père du Front National

En 2016, le Rassemblement national s’appelait encore le Front national (FN). La candidate du FN à la présidentielle, Marine Le Pen, a profité de ce rendez-vous intimiste pour revenir sur l’exclusion de son père, Jean-Marie Le Pen, du parti qu’il avait lui même fondé en 1972.

“Le moment le plus difficile de ma vie après mon accouchement”, raconte Marine Le Pen, émue. Elle explique que son père ne lui a pas laissé d’autres choix que celui-ci, concluant: “Je lui en veux de nous avoir forcés à faire ça”.

À voir également sur Le HuffPost: Dans LFAUIT, Topas fait de la magie sur son tapis de course

Cet article a été initialement publié sur Le HuffPost et a été actualisé.

LIRE AUSSI