Alzheimer : de nouvelles protéines identifiées pour expliquer la maladie
Avec plus de 35,6 millions de personnes concernées, la maladie d'Alzheimer est maladie neurodégénérative la plus fréquente dans le monde. Chaque année, 10 millions de nouveaux cas apparaîtraient, soit un nouveau toutes les trois secondes. La prévalence de cette maladie est telle qu’elle fait l’objet de constantes recherches de la part de scientifiques du monde entier. Dans le passé, de nombreuses recherches se sont concentrées sur les amas anormaux de protéines naturelles qui augmentent dans le cerveau des malades au fur et à mesure qu’Alzheimer prend du terrain : les plaques de bêta-amyloïde. Pour la communauté scientifique, il était alors probable que ces plaques soient impliquées dans la destruction des cellules cérébrales. Mais depuis quelques temps, une nouvelle hypothèse émerge : ces plaques pourraient être un effet secondaire d’Alzheimer et non pas sa cause. Aujourd’hui, une nouvelle étude appuie cette théorie. Des chercheurs de l'Université Emory (Géorgie, Etats-Unis) ont en effet découvert d'autres protéines s'accumulant avec les plaques et possiblement à l’origine d’Alzheimer. Pour leurs travaux, les biochimistes de l'Université Emory, Yona Levites, Eric Dammer et leurs confrères ont comparé des combinaisons de protéines récupérées chez des modèles murins touchés par Alzheimer à des données humaines. Dans ces dernières, certains individus avaient été diagnostiqués comme souffrant d’Alzheimer tandis que d’autres (...)
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