Algérie, Mali, États-Unis, Hanae Mori : les informations de la nuit

26 morts dans des incendies en Algérie. Les feux qui “ravagent les forêts du nord” du pays “depuis quelques jours ont fini par provoquer des drames à El Tarf et Sétif”, rapporte le site d’information algérien Tout sur l’Algérie. L’Algérie a affrété un avion bombardier d’eau russe Beriev BE 200. Mais après être intervenu sur différents incendies, il a subi une panne et ne sera à nouveau opérationnel qu’à partir de samedi, selon les autorités. Ces feux ravivent des plaies et le débat sur l’absence d’avions bombardiers d’eau en nombre suffisant, qui avait déjà agité le pays l’été dernier alors que l’Algérie était confrontée aux incendies les plus meurtriers de son histoire moderne.

Le Mali accuse la France d’armer les combattants islamistes dans une lettre à l’ONU. “La rupture est plus que consommée entre Paris et Bamako”, note le site d’information panafricain Koaci. Dans un message adressé au Conseil de sécurité daté de lundi et transmis aux médias mercredi, le Mali affirme que la France a violé son espace aérien et livré des armes à des combattants islamistes afin de déstabiliser le pays. Ces accusations interviennent alors que Paris a achevé lundi le retrait des soldats français de Barkhane, une opération militaire visant à lutter dans le Sahel contre les mouvements islamistes. “De nombreux observateurs africains émettent de plus en plus de doutes sur les autorités maliennes de transition”, remarque Koaci. Par endroits, on hésite plus à parler de paranoïa.”

Mike Pence demande aux républicains de cesser de s’en prendre au FBI. L’ancien vice-président américain a notamment critiqué mercredi les appels de certains alliés de Donald Trump à définancer le service de renseignement après que celui-ci a mené une perquisition au domicile de l’ancien président en Floride. Mike Pence a également déclaré qu’il “envisagerait” la possibilité de s’exprimer devant la commission d’enquête du 6 janvier s’il était appelé à témoigner. Pour le New York Times, les remarques de l’ex vice-président “qui semble se positionner en vue de la présidentielle” de 2024, “soulignent sa volonté de se séparer de l’aile du Parti républicain la plus fidèle à M. Trump”.

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