Aider l'Ukraine : la mobilisation occidentale perdure sur tous les fronts
Assistance matérielle et financière, intervention de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA), l'aide occidentale à l'Ukraine se poursuit.
Assistance matérielle et financière, intervention de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA), l'aide occidentale à l'Ukraine se poursuit.
En Tunisie, le ministre des Affaires étrangères, Othman Jerandi a été limogé. Une décision prise par le président tunisien au lendemain d’une crise diplomatique impliquant Tunis, Alger et Paris. Avec notre correspondante à Tunis, Amira SouilemC’est par un court communiqué diffusé sur les réseaux sociaux que les Tunisiens ont appris qu’Othman Jerandi, jusqu’ici ministre des Affaires étrangères, était démis de ses fonctions par le président Kaïs Saïed. Il est remplacé par Nabil Ammar, auparavant a
Iñaki Echaniz a recyclé une question posée en 2010 par Olivier Dussopt, alors député socialiste opposé au report de l’âge légal de départ à la retraite.
Le gouvernement n'entend pas céder à la demande du député LR Aurélien Pradié, qui réclame une dérogation au report de l'âge légal de la retraite à 64 ans pour les carrières longues, a indiqué mercredi le ministre du Travail, Olivier Dussopt sur Public Sénat.Le député du Lot Aurélien Pradié, vice-président exécutif de LR, plaide pour une dérogation aux 64 ans pour ceux qui ont commencé à travailler avant 21 ans, sans laquelle il menace de voter contre la réforme.
Le président LR du Sénat Gérard Larcher, qui juge la réforme des retraites "nécessaire", a lancé mercredi un ultimatum au député frondeur de son parti Aurélien Pradié, l'appelant à voter le texte "s'il se sent vraiment de notre famille politique". "S'il se sent vraiment de notre famille politique, et bien il doit à un moment prendre la décision de voter la loi", a insisté M. Larcher, appelant le député à soutenir le report de l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans que LR "propose depuis qu
La tension reste vive entre les autorités de transition maliennes et les Nations unies. Depuis Genève, le commissaire aux droits de l'Homme de l'ONU a vivement critiqué, dans un courrier rendu public, la décision de l'État de déclarer persona non grata Guillaume Ngefa, le directeur local de la division des droits de l'Homme, qui a depuis quitté le pays. Sûres de leur bon droit, les autorités maliennes ont immédiatement répondu à ces critiques. C'est un véritable cour de droit et de diplomatie qu
Le fondateur de Reconquête ! affirme d’ailleurs reconnaître son programme dans la réforme du gouvernement.
Hadrien Clouet a comparé les "éléments de langage" du ministre du Travail à un "pipeau".
Le ministre russe des Affaires étrangères, Sergueï Lavrov, était en visite à Nouakchott mercredi 8 février. Il s'est entretenu ce matin avec le président Mohamed Ould Ghazouani. Nouakchott est la deuxième étape de sa tournée africaine débutée la veille à Bamako. Lors de son entretien avec le président mauritanien, le chef de la diplomatie russe a notamment évoqué les questions de sécurité dans le Sahel, mais aussi la crise au Sahara occidental. C'est seul que Sergueï Lavrov s'est exprimé à l'iss
Mohammed Ben Sulayem, le président de la FIA, a pris la décision de ne plus s'impliquer sur la F1 au quotidien, laissant son directeur technique Nikolas Tombazis et la nouvelle directrice générale Nathalie Robyn gérer ce dossier ultra exposé.
Le gouvernement refuse d’ouvrir l’Assemblée nationale le week-end, ce qui fait bondir la coalition de gauche.
Depuis des jours, Aurélien Pradié ne cesse de clamer son opposition à la réforme des retraites quitte à égratigner son propre camp. Présent au Sénat ce mardi, Éric Ciotti a dénoncé « toutes les attitudes contraires à l’unité ».
Jair Bolsonaro parti, Lula de retour, la France et le Brésil se sont félicités de leurs retrouvailles mercredi à la faveur de la visite à Brasilia de la ministre des Affaires étrangères Catherine Colonna.La cheffe de la diplomatie française a eu un entretien avec le président de gauche Lula qui a ensuite, dans plusieurs tweets, évoqué "le renforcement des liens et du partenariat entre le Brésil et la France dans la culture, l'économie et la défense".Mme Colonna avait auparavant rencontré son homologue Mauro Vieira. Elle est le premier responsable de ce niveau à être reçue au Brésil depuis 2019, année où les relations politiques avec le président d'extrême droite Jair Bolsonaro avait connu une crise aiguë dont elles ne se sont pas remises sous son mandat, achevé en décembre.Exaspéré par les critiques sur les gigantesques incendies en Amazonie, Bolsonaro et deux de ses ministres avaient insulté Emmanuel Macron et son épouse Brigitte en août 2019, après avoir annulé un mois plus tôt une rencontre avec le chef de la diplomatie Jean-Yves Le Drian, préférant aller... chez le coiffeur.S'exprimant lors d'une conférence de presse avec Mme Colonna, M. Vieira a assuré que le gouvernement Lula, en fonction depuis le 1er janvier, souhaitait "tourner la page des dernières années" (2019-2022), pour "remettre (les)relations au niveau le plus élevé".Cette visite "marque le début d'une relance de ce partenariat politique particulier qui nous lie au Brésil depuis 15 ans (...), auquel nous allons donner une nouvelle ambition", a déclaré elle aussi Mme Colonna.Son déplacement prépare une visite du président Macron au Brésil. Elle pourrait avoir lieu à l'occasion d'un Sommet sur l'Amazonie que Brasilia souhaite organiser d'ici à la fin du premier semestre, ont révélé les deux ministres."Le président Macron est désireux de venir, il nous reste à trouver la date et l'occasion", a dit Mme Colonna. Lula a annoncé sur Twitter avoir été invité à se rendre en France.Les deux ministres ont convergé sur de nombreux sujets, notamment l'environnement, avec la question cruciale de la préservation de la forêt amazonienne, la sécurité, la lutte pour la démocratie et contre la désinformation.- Divergence sur l'Ukraine -Une divergence notable toutefois: l'Ukraine, Mme Colonna rappelant la "responsabilité de la Russie" en tant qu'"agresseur". Avant son élection, Luiz Inacio Lula da Silva s'était attiré des critiques en affirmant que le président ukrainien Volodymyr Zelensky était "autant responsable" du conflit que Vladimir Poutine."C'est la Russie qui a choisi de déclencher la guerre. On ne peut pas mettre les deux pays sur un pied d’égalité. Je suis persuadée que le Brésil aura à cœur de rappeler les faits, les responsabilités", a insisté la ministre française.Mme Colonna a aussi rencontré la ministre de l'Environnement, Marina Silva, égérie de l'écologie au Brésil.L'occasion d'afficher une "communauté d'ambition" sur l'action environnementale, un virage à 180 degrés après les années Bolsonaro marquées par une forte progression de la déforestation."Le réengagement du Brésil et notamment son objectif zéro déforestation en 2030 est une opportunité majeure pour avancer sur la protection de l'Amazonie", a tweeté Mme Colonna à l'issue de sa rencontre avec Mme Silva, illustrant son message d'une photo d'une franche accolade entre les deux femmes.Le gouvernement Lula a déjà pris les choses en main en Amazonie, livrant la chasse à des milliers d'orpailleurs illégaux qui fuient actuellement les terres des indigènes yanomami.- Premier employeur étranger au Brésil -La cheffe de la diplomatie française a également exprimé l'appui de Paris à une entrée du Brésil dans l'OCDE, dossier bloqué sous Bolsonaro en raison des atteintes à l'environnement. Autre dossier au point mort pour les mêmes raisons: la ratification de l'accord de libre-échange de 2019 entre l'Union européenne et le Mercosur (Brésil, Argentine, Uruguay, Paraguay). "Nous y tenons (à cet accord). Nous sommes plus confiants désormais dans la capacité du Brésil d'accepter dans un futur accord le respect des principes sociaux et environnementaux", a dit Mme Colonna.Mais "il y a encore beaucoup de travail technique à faire et nous attendons les propositions de la Commission européenne", a-t-elle ajouté, alors que M. Vieira avait souhaité voir l'accord ratifié avant la fin du premier semestre.Mme Colonna est attendue jeudi à Sao Paulo, où elle rencontrera le gouverneur de cet Etat riche et peuplé du sud-est, moteur de l'économie brésilienne. La France est le troisième investisseur étranger au Brésil, avec 32 milliards de dollars. C'est aussi le premier employeur étranger avec 500.000 salariés brésiliens dans 1.100 entreprises françaises.La ministre doit également visiter un centre d'accueil de femmes, noires en majorité, victimes de violences, un fléau au Brésil. rsr-lg-pt/jg
Le président ukrainien est arrivé au Parlement européen à Bruxelles ce jeudi matin, où il a été ovationné par les eurodéputés.
La position jugée trop dure (voire opportuniste) du député du Lot n’en finit plus d’agacer au sein du parti de droite.
Kendji Girac donne des nouvelles de Florent Pagny
Au Sénat ce mercredi 8 février, la Première ministre a de nouveau défendu la nécessité d’un report de l’âge légal de départ à la retraite, évoquant « les déficits » qui menacent le système. Mais elle assure que près de la moitié des travailleurs pourront partir à la retraite avant 64 ans grâce aux aménagements prévus.
En visite au Royaume-Uni ce mercredi, le président ukrainien va être reçu au palais de Buckingham et rencontrer le roi Charles III cet après-midi.
Lors d’un ultime vote au Sénat, le projet de loi d’accélération des énergies renouvelables a été voté.
Le Sénat a définitivement adopté le projet de loi visant à accélérer la production d'énergies renouvelables en France, par 300 voix pour et 13 voix contre. Sur les éoliennes, le compromis issu du Sénat a été conservé.
En engrangeant un nouveau record de bénéfices pour l’année 2022, le groupe Total ravive malgré lui le débat sur la taxation des superprofits. Au Sénat, cette idée n’est pas seulement défendue par les élus de gauche, les centristes en ont également fait l’un de leurs chevaux de bataille au cours de l’année écoulée, quitte à s’opposer à leurs alliés LR.