Affaire Navalny : la Russie expulse trois diplomates européens
Le chef de la diplomatie européenne, Josep Borrell, en visite à Moscou, a "fermement condamné" ces expulsions et "rejeté les allégations de la Russie"
DIPLOMATIE - La Chine pratique régulièrement ce genre de tests lors de dépistages massifs du Covid-19
Alors qu'elle n'est pas encore apparue à l'écran dans Les Marseillais, Maddy Burciaga s'affiche, toujours aussi belle, sur Instagram. Ce jeudi 25 février, elle a donné de ses nouvelles depuis les Maldives.
Depuis le 4 janvier 2021, Marie-Sophie Lacarrau est la nouvelle présentatrice du 13 heures de TF1. Mais bien qu'adulée par une partie des téléspectateurs, elle est également critiquée par certains d'entre eux. Tous lui reprochent son accent venu du Sud...
COURSE POURSUITE - Le jeune conducteur a pu être identifié et a été interpellé peu après
Le 29 juillet 1981, le prince Charles passait la bague au doigt de Lady Diana devant près d’un milliard de téléspectateurs à travers la planète. La veille, le prince Charles lui avait brisé le cœur en lui avouant l'inavouable.
Invité sur le plateau de Touche pas à mon poste ce jeudi 25 février, Jean Dominici s'est confié sur la mort de Christophe Dominici, en faisant part de sa colère contre la psy et la femme de son fils.
Dans une pipette se trouve peut-être le médicament miracle contre le Covid-19. Ce n’est pas un vaccin mais bien un traitement curatif, développé dans un laboratoire à Nantes (Loire-Atlantique). "Quand vous avez une nouvelle maladie qui arrive, ce qui est important c’est de soigner les gens. On soigne les gens avec des traitements, pas avec des vaccins", indique Odile Duvaux, présidente de la start-up nantaise Xenothera. Ce traitement appelé Xav-19 est destiné aux patients en début d’hospitalisation. Car en se diffusant dans les poumons, il doit empêcher la pneumonie et donc une entrée en réanimation. Un essai clinique est en cours dans une vingtaine d’hôpitaux. Phase quantitative Le médicament pourrait être disponible dans quelques mois. "Nous avons pu démontrer sur 20 patients qu’il n’y avait pas de risque et pas d’effet secondaire. Maintenant nous sommes dans la phase quantitative où nous allons avoir 400 patients. Nous pourrons à ce moment-là mesurer précisément et statistiquement l’efficacité du Xav-19", précise Odile Duvaux. La biotech affirme que son traitement est efficace contre tous les variants du Covid-19.
Ce mercredi 24 février, sur RMC, le journaliste Alain Marschall a exprimé son incompréhension et sa colère devant une décision prise par la préfecture de police de Paris dans le cadre de la crise sanitaire.
Mardi, un homme a pénétré dans le commissariat de Carpentras avec un couteau à la main. Son but : se faire arrêter pour passer la nuit en garde à vue, loin de chez lui et de sa femme qu'il ne supporte plus.
Dans "Sans Rendez-vous", la sexologue et psychanalyste Catherine Blanc répond à Françoise, dont le mari l'a trompé pendant deux ans. Si elle a mis autant de temps à s'en rendre compte, c'est que ce dernier avait toujours du désir pour elle. Mais cela n'est pas si étonnant selon la spécialiste.
Depuis deux ans, les idées émanant de ce mouvement pro-Trump se développent en France, autour "d'informations erronées et manipulées sur l'actualité française".
Arrivée dans le groupe Canal+ en 2014, Marie Portolano va quitter la chaîne cryptée. La journaliste sportive est aux commandes depuis deux ans du "Canal Sports Club".
Nuit difficile pour Alizée et Maxime, l'un des binômes mythiques de Pékin Express. Dans la nuit du 23 au 24 février ils ont conduit en urgence leur bébé Thi-Waï à l'hôpital. Une épreuve vécue difficilement par le jeune papa resté à l'extérieur en raison de la crise sanitaire...
Diffusé ce soir sur France 3, le film Aurore met en lumière une Agnès Jaoui solaire. Moins de deux mois après la mort de son éternel complice Jean-Pierre Bacri, focus sur les deux enfants que l'actrice et réalisatrice a adoptés au Brésil.
Anny Duperey revient à l'affiche d'une série, sur France 2 cette fois, La faute à Rousseau. L'occasion parfaite de se confier à Voici. Au cours de l'interview, la comédienne raconte comment Bernard Giraudeau l'a convaincue de devenir mère.
WASHINGTON (Reuters) - Le groupe français AXA, Baker Hughes et seize autres sociétés ont progressivement réduit leur participation au projet de construction de l'oléoduc Nord Stream 2 et ne seront pas sanctionnés par Washington, selon un document que l'administration du président américain Joe Biden a transmis la semaine dernière au Congrès et que Reuters a pu consulter. Gazprom, le géant gazier détenu par l'Etat russe et principal promoteur de Nord Stream 2, s'évertue avec ses partenaires occidentaux à finaliser au plus vite l'oléoduc, qui doit acheminer du gaz naturel de la Russie vers l'Allemagne.
Le 25 février, le rappeur Crim's a été victime d'une tentative d'homicide. Deux hommes cagoulés lui ont tiré dessus avec des armes à feu. Son pronostic vital est engagé.
Ce jeudi 25 février, Régis Laspalès fête ses 64 ans. L'occasion de revenir sur le duo qu'il a formé pendant trente ans avec Philippe Chevallier et sur les raisons de leur séparation en 2016.
Au lendemain de ses déclarations, le premier adjoint à la mairie de Paris a précisé, vendredi, que la proposition de recourir à un confinement de trois semaines dans la capitale était une "hypothèse". De son côté, le porte-parole du gouvernement, Gabriel Attal, a affirmé que la mesure sera "étudiée" à l'échelle de la région. Le premier adjoint de la maire de Paris, Emmanuel Grégoire, a sérieusement tempéré, vendredi 26 février, ses déclarations de la veille, assurant que le reconfinement de Paris était "une hypothèse" et non une proposition de l'Hôtel de Ville."Ça n'a jamais été une proposition, j'ai fait trois interventions médiatiques hier soir, ça n'a jamais été une proposition, c'est une hypothèse", "simplement une hypothèse que nous souhaitons mettre sur la table", a précisé l'adjoint de la maire PS Anne Hidalgo lors d'une conférence de presse. "Nous ne proposons pas de mettre en œuvre le confinement à Paris d'abord, parce que cette décision relèvera de l'exécutif national, mais nous pensons que la politique des demi-mesures, avec des résultats très contestables a une forme de fin de cycles", a-t-il aussi expliqué.La veille, le premier adjoint avait déclaré sur France Info que la mairie de Paris allait soumettre au gouvernement un plan préconisant un confinement de la capitale pendant trois semaines avec l'objectif de rouvrir restaurants, bars et salles de spectacle à l'issue de cette période.Plutôt qu'un confinement le week-end, une mesure "très contraignante sur le plan de l'impact sociétal et assez peu efficace sur le plan sanitaire", le premier adjoint disait préférer "un confinement tout court" à Paris de façon à "vraiment redonner de l'oxygène et avoir la perspective dans trois semaines de tout rouvrir", tout en conservant des mesures de protection sanitaire."On ne peut pas s'imposer de vivre dans une semi-prison pendant des mois. Il faut maintenant prendre des décisions courageuses", a-t-il lancé après l'annonce, par le Premier ministre, Jean Castex, de la mise sous "surveillance renforcée" de Paris, comme 19 autres départements, face à la remontée épidémique.Ces territoires pourront faire l'objet de mesures de confinements locaux à partir du week-end du 6 mars si la situation continuait à se dégrader, après "concertations avec les élus", a ajouté le chef du gouvernement."Quand on réfléchit sur Paris, il faut réfléchir sur la région Île-de-France"La proposition de la mairie de Paris de confiner pendant trois semaines la capitale sera "étudiée" à l'échelle de la région, malgré des réserves sur sa durée et sur la fermeture des écoles, a réagi, vendredi, le porte-parole du gouvernement Gabriel Attal."Si on est rentrés dans ce cadre de discussions avec les élus, c'est pour qu'ils fassent des propositions, donc la proposition de la mairie de Paris sera évidemment étudiée", a assuré le porte-parole du gouvernement sur France Inter. "Quand on prend des mesures localisées qui concernent un territoire, c'est important de les prendre en lien avec les élus locaux", a-t-il insisté.Mais "les mesures, il faut qu'elles aient un sens au niveau territorial et quand on réfléchit sur Paris, il faut réfléchir sur la région Île-de-France" car "il n'y a pas de no man's land derrière le périphérique, il y a des mouvements importants entre les territoires", a-t-il fait valoir.La présidente de région, Valérie Pécresse (Libres !), avait qualifié jeudi "d'illusions" d'éventuelles décisions sanitaires prises "au niveau départemental" en Île-de-France.Le porte-parole du gouvernement a aussi exprimé d'autres réserves. "Il y a assez peu de scientifiques qui considèrent que, avec un confinement de trois semaines, on peut terrasser le virus et tout ouvrir, comme l'ont dit les élus de la mairie de Paris", a averti Gabriel Attal."On a un objectif, c'est de laisser autant que possible les écoles ouvertes et donc je comprends que, désormais, la mairie de Paris appelle à fermer les écoles, c'est vraiment pas une décision anodine", a aussi mis en garde le secrétaire d'État en rappelant "l'impact pour la santé de nos enfants, le décrochage scolaire"."Pour nous, c'est quand même une décision qui doit se prendre en ultime recours", a-t-il souligné."Des demi-mesures avec des mauvais résultats"Si la méthode du gouvernement d'engager le dialogue entre préfets et élus locaux "est la bonne", Emmanuel Grégoire estime que "la situation actuelle, qui nous semble un tout petit peu attentiste, est la pire parce que ce sont des demi-mesures avec des mauvais résultats".La mairie, également favorable à "un retour au télétravail de façon obligatoire" et à des mesures "ciblées, avec discernement et à durée limitée" vis-à-vis des commerçants, entend faire remonter ses propositions au gouvernement en début de semaine prochaine, après dialogue avec l'Agence régionale de santé (ARS) et la préfecture de police au cours du week-end.L'adjointe à la Santé Anne Souyris (EELV) a dit craindre une "explosion des chiffres" du Covid-19 dans la capitale avec la rentrée scolaire lundi et la progression du variant britannique, alors que le taux d'incidence y est déjà supérieur au seuil d'alerte maximale."Il ne faut pas attendre que les hôpitaux soient débordés"Président de la Fédération hospitalière de France (FHF) et maire Agir de Fontainebleau, Frédéric Valletoux a quant à lui demandé, vendredi, "des mesures plus drastiques" afin de limiter la saturation des hôpitaux par des patients atteints de Covid-19."Je demande qu'ils (le gouvernement) n'hésitent pas à prendre des mesures drastiques là où c'est nécessaire, il ne faut pas attendre que les hôpitaux soient débordés comme c'est le cas à Dunkerque car la réalité, c'est que le confinement est annoncé", a-t-il déclaré sur le plateau de France 2."Il arrive un moment où on ne tient qu'en évacuant les patients ou qu'en déprogrammant et, quand on déprogramme (...), vous ne savez pas si ça ne représente pas une perte de chances pour ces personnes (...). Ce n'est jamais facile de déprogrammer et ce n'est pas un acte sans conséquences", a-t-il ajouté.Il a réaffirmé qu'"entre 10 et 20 %" des actes hospitaliers avaient été déprogrammés depuis mi-janvier en Île-de-France "pour permettre de tenir".Avec AFP
Dans le match au sommet de la soirée de mercredi en NBA, Utah a donné un récital face aux Los Angeles Lakers, qu'il a laissé à 25 points pour s'imposer 114 à 89 et rester maître de la Conférence Ouest.