Affaire Jean Moritz : retour sur le meurtre énigmatique de cet artificier sans histoire au coeur d'un triangle amoureux

Le moins que l'on puisse dire est que la police française a éprouvé toutes les peines du monde à élucider cet étrange fait divers. Nous sommes en 2011 et l'été bat son plein dans la petite commune de Louvroil, située dans le Nord de la France. Le 1er juin, un incendie se déclare dans une boutique de feux d'artifice appelée "Tous feux, toutes fêtes", située au beau milieu de la route départementale D602. Aux alentours de 10 heures du matin, un homme du nom de Tolga Tanriverdi, qui tient un garage non loin d'ici, est intrigué par une odeur de brûlé. Il prévient les pompiers.

Moins de quinze minutes plus tard, ces derniers sont sur place et s'attaquent au brasier. Un autre voisin les prévient que deux personnes seraient à l'intérieur de la boutique : le gérant, un certain Jean Moritz, ainsi que le dernier de ses enfants, Jessie Moritz, âgé de 15 ans. Ce dernier est rapidement sorti de son lit, situé à l'étage de la boutique, dans l'appartement qu'il partage avec son père. Alors que les pompiers sont fiers d'avoir éteint le feu avant que celui-ci n'atteigne l'endroit où sont stockés les feux d'artifice, ils effectuent le tour du bâtiment, jusqu'à s'arrêter net : le corps de Jean Moritz, 55 ans, est retrouvé presque entièrement carbonisé.

Une incroyable enquête quasiment impossible à élucider

Forcément, la nouvelle se répand au sein de ce petit village du Nord de la France. Les habitants sont effarés : Jean Moritz est quelqu'un connu et apprécié (...)

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