Affaire Grégory Villemin : "Ils pourront être exploités", cette avancée qui peut bouleverser l’enquête

Près de quarante ans se sont écoulés depuis la découverte du corps du petit Grégory Villemin dans la Vologne, mais l’espoir d’identifier son meurtrier brûle toujours. Mardi 11 octobre, le parquet général de Dijon a annoncé l’identification de l’un des corbeaux ayant tourmenté la famille Villemin dans les années 1980. Trahi par son ADN prélevé sur une enveloppe reçue par Monique et Albert Villemin, les grands-parents de Grégory, le 24 juillet 1985, ce dernier était en fait une anonyme, une guadeloupéenne connue des services de police pour des faits d’escroquerie. "Une personne désœuvrée qui s’était passionnée pour l’affaire", précise Marianne. Sa lettre, vraisemblablement inspirée des véritables missives du corbeau dévoilées dans la presse en 1984, disait "Je vous ferez à nouveu votre peau à la famille Villemain (…) Prochaine victime, Monique". Si elle ne permet toujours pas d’élucider l’affaire, cette identification donne un nouveau souffle à l’enquête. Pour Maître Marie-Christine Chastant Morand, avocate historique des parents de Grégory, elle prouve que les enquêteurs vont dans la bonne direction. "Si l’on veut voir les choses du bon côté, cela signifie que notre méthode est la bonne, qu’il faut continuer les analyses", commente la magistrate dans les colonnes de Libération. D’après elle, l’identification de ce corbeau n’est que le début d’une longue série d’avancées concrètes dans l’affaire. (...)

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