Affaire des airbags : le patron de Stellantis se fixe Noël pour régler 80 % des problèmes

Plus de 250.000 automobilistes français, propriétaires d’une Citroën C3 ou DS3, sont équipés du modèle d’airbags défectueux de la marque japonaise Takata, fournisseur de ces voitures. Concrètement, en se déclenchant, ces airbags projettent des éclats de métal en direction du conducteur et du passager avant. En outre, sous l’effet de la chaleur et de l’humidité, le gaz contenu dans ces airbags peut provoquer des explosions. Une situation qui a contraint à ce que ces milliers de véhicules soient rappelés, entre 2009 et 2019.

Le patron de Stellantis (société mère de Citroën), Carlos Tavares, a pris personnellement la parole sur le sujet «pour la première fois», vendredi 20 septembre pour la radio RTL, en marge de l’émission Turbo sur M6, qui sera diffusée dimanche 22 septembre. «J’en profite pour m’excuser auprès de nos clients», a déclaré l’ingénieur portugais. Il assure «des moyens considérables» sont mis en œuvre pour remplacer les airbags défectueux. Les capacités de production auraient été doublées en mobilisant d’autres unités de Stellantis, permettant à «100.000 voitures» d’être «réalignées en l’espace de quelques semaines».

Carlos Tavares estime que plus de 200.000 voitures seront rééquipées d’ici le mois d’octobre. «D’ici Noël, on espère avoir réglé 80% du problème», indique-t-il à RTL. En attendant, des dizaines de milliers de voitures de courtoisie ont été mises en circulation pour les clients lésés. Ces rappels de véhicules équipés des airbags Takata (qui a fait faillite (...)

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