Accident vasculaire cérébral : ces symptômes qui peuvent alerter
Une jeune femme a ressenti des douleurs au cou et aux épaules. Quelques jours plus tard, elle a été victime d'un accident vasculaire cérébral.
Avec 40 000 morts par an, l'accident vasculaire cérébral représente en France la première cause de handicap acquis avec des patients qui gardent des séquelles lourdes. Environ 150 000 personnes sont victimes d'un AVC chaque année.
Esmae Hodgetts, assistante dentaire de 20 ans, a été victime d'un accident vasculaire cérébral après avoir ressenti un violent mal de tête. "Cela peut arriver aux jeunes. Ils disent principalement de ne pas s'en soucier jusqu'à ce que vous ayez la quarantaine et disent toujours de faire attention aux engourdissements et à l'affaissement du visage, mais je n'avais rien de tout cela. Je n'ai juste pas eu de chance", raconte la jeune femme au Daily Mail.
Des douleurs dans le cou et les épaules
À cause de ce violent mal de tête, elle s'était écroulée sur le sol : "C'était si intense que ça ressemblait à une douleur lancinante dans ma tête et ça rayonnait dans mon cou". Quelques jours avant de drame, elle avait ressenti d'autres symptômes d'alerte qu'elle a ignoré. En effet, elle a souffert de douleurs dans le cou et aux épaules. Selon un article publié dans le BMJ, les douleurs au cou peuvent signaler une déchirure dans l'une des artères qui irriguent le cerveau.
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Après cet AVC, la jeune femme n'a pas subi d'effets secondaires au niveau de sa vue, de sa coordination ou de sa parole. "Je ne peux plus vraiment faire ce que j'avais l'habitude de faire, je ne peux plus sortir et boire avec mes amis, je ne peux plus mal manger et j'ai dû faire quelques changements", a expliqué Esmae auprès du site anglais. Avant de conclure : "Je mange beaucoup plus sainement et je ne bois pas du tout parce que je ne veux même pas risquer d'avoir des vertiges et cela m'a laissé un peu d'anxiété parce que maintenant, j'ai peur de faire quoi que ce soit".
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