Abbé Pierre accusé : cette maison close qu’il fréquentait assidûment, "quelqu’un qui attend son tour…"

C’est une véritable onde de choc. Le 17 juillet dernier, Emmaüs publiait un rapport contenant des témoignages de femmes victimes d’agressions sexuelles et harcèlement sexuel de la part de l’abbé Pierre. Des faits s’étalant sur plus de trois décennies. Depuis cette révélation, les témoignages se multiplient et le véritable visage de cet homme adulé se révèle au grand jour.   Face à l’ampleur des accusations, le pape François a avoué que le Vatican était informé des dérives de l’abbé Pierre. "Que savait le Vatican de l'abbé Pierre ? Je ne sais pas, parce que je n'étais pas là à l'époque. Ce qui est certain c'est qu'après sa mort, on savait. Malgré tout le bien qu'il a fait, on découvre que c'était un terrible pécheur", a-t-il regretté.

Cette révélation sur l’abbé Pierre datant de 1990 et passée inaperçue

Une prise de parole qui n’empêche pas de nouveaux rebondissements. Ainsi, ce dimanche 15 septembre, une enquête menée par la RTS rapporte que le religieux avait pris ses habitudes dans une maison close de Genève. Selon la Radio télévision suisse, l’abbé Pierre logeait dans un établissement situé à proximité du quartier chaud des Pâquis, l’hôtel International & Terminus.   Surtout, il fréquentait assidûment la maison close d’une célèbre prostituée du quartier : Grisélidis Real. En mai 1990, cette travailleuse du sexe avait révélé sur le plateau de Ciel, mon mardi, sur TF1 (...)

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