3 anecdotes sur Zahia Dehar

Zahia Dehar aurait pu vouloir se faire oublier après avoir été impliquée dans une affaire de moeurs avec des joueurs de l'équipe de France de football. Mais la jeune femme a préféré se servir de sa nouvelle renommée comme d'un tremplin pour se faire connaître du grand public.

Zahia Dehar a passé son enfance dans la terreur

Avant d'arriver en France, la jeune femme a grandi en Algérie, son pays natal. Et, à l'époque, la guerre civile faisait rage, faisant de très nombreuses victimes. Zahia s'est confiée à ce sujet dans les colonnes du Parisien, et raconte des souvenirs traumatisants. "C'était horrible. Aux informations, on voyait des bébés égorgés dans leur lit, avec leur petit nounours à côté. On entendait que les barbares débarquaient dans les écoles ou installaient de faux barrages sur les routes. Quand on allait voir ma tante dans son village, je n'arrivais pas à dormir…" De son enfance, elle a conservé un vrai traumatisme, puisqu'aujourd'hui encore, elle affirme avoir peur de plein de choses : "des terroristes, des serial killers, des psychopathes : je sursaute quand il y a du bruit chez moi, je suis très paranoïaque."

Son arrivée en France a été compliquée

Zahia Dehar traîne la réputation de jeune femme peu intelligente, peu cultivée. Pourtant, durant son enfance, elle faisait partie des premiers de la classe. Du moins, jusqu'à son arrivée en France. Ses lacunes en français font que ses notes chutent de manière drastique. La jeune femme doit alors dire adieu à son rêve de devenir pilote d'avion. "Ça m'a brisé le cœur parce que j'ai compris que je devais renoncer à mon rêve." C'est pour cette raison qu'elle a décidé de "tout capitaliser sur (son) physique", se tournant vers la prostitution.

Zahia Dehar, une femme prévoyante

Alors qu'elle s'apprête à débarquer dans les salles obscures dans le film Une fille facile, de Rebecca Zlotowski, Zahia Dehar fait son grand retour sur la scène médiatique, même si elle ne s'en est jamais vraiment éloignée. Sa présence sur les réseaux sociaux, sur lesquels elle distille des photos dénudées, lui permet de faire régulièrement parler d'elle.

Mais d'où tire-t-elle son argent, qui lui permet de mener une vie si luxueuse ? La jeune femme l'affirme : elle a mis de côté. "Je vis de ce que j'ai économisé… pendant mes collections, qui étaient soutenues par un fonds d'investissement." Son passé lui a appris que tout pouvait s'arrêter en quelques secondes, et qu'il valait mieux être prévoyante. Un bon réflexe.

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