25 ans de réclusion criminelle requis contre «la veuve noire» de l'Isère

Le 14 avril 2014, dans la salle d'audience du procès de Manuela Gonzalez, surnommée «la veuve noire», accusée du meurtre de son mari.

La personnalité de Manuela Gonzalez, accusée du meurtre de son mari, intrigue. Deux de ses précédents conjoints sont décédés de mort violente.

Une peine de 25 ans de réclusion criminelle a été requise vendredi devant les assises de l’Isère à l’encontre de Manuela Gonzalez, cette femme de 53 ans accusée du meurtre de son mari et surnommée «la veuve noire» en raison d’un passé sentimental troublant.

Le corps de Daniel Cano, un chaudronnier de 58 ans, avait été retrouvé le 31 octobre 2008 à l’arrière de son véhicule incendié, non loin de sa maison de Villard-Bonnot, dans l’Isère, dans la vallée du Grésivaudan. L’enquête concluait vite à un incendie volontaire et les analyses toxicologiques révélaient la présence de trois somnifères différents dans le sang de la victime.

Avant lui, quatre autres compagnons de l’accusée depuis les années 1980 avaient subi des intoxications, dont deux avaient péri de mort violente.



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