Une étude de grande ampleur identifie les médicaments les plus efficaces contre les migraines

En France, l'Inserm estime que 20 % des femmes, 10 % des hommes et 5 % des enfants souffrent de migraines. La migraine est une maladie neurologique qu'il ne faut pas confondre avec de "simples" maux de tête : elle se caractérise par des crises répétées qui peuvent durer entre plusieurs heures et plusieurs jours.

La migraine, ce n'est pas seulement un "mal de tête" !

La prise en charge de la migraine associe des antidouleurs (en cas de crise : aspirine, paracétamol, ibuprofène...) avec un traitement de fond (à prendre régulièrement : bêta-bloquants, antidépresseurs, antiépileptiques...). Justement : une nouvelle étude, réalisée par la University of Oxford (au Royaume-Uni), a comparé l'efficacité de 17 médicaments couramment utilisés pour traiter la migraine. Pour cela, les chercheurs anglais ont travaillé avec des données médicales concernant plus de 89 000 patients atteints de cette maladie neurologique. Les scientifiques ont ainsi découvert que la famille de médicaments la plus efficace contre les migraines, ce sont les triptans. Plus précisément : pour soulager la douleur au bout de 2 heures de crise migraineuse, il faudrait favoriser l'élétriptan (Relpax®). Ce médicament serait également le meilleur choix en cas de crise "longue" (24 heures ou plus).

Les triptans, des médicaments antidouleur efficaces contre la migraine

À noter : d'autres médicaments (tels que le lasmiditan, le rimégépant et l'ubrogepant) n'ont pas prouvé une efficacité (...)

Lire la suite sur Top Santé

95 000 centenaires au Japon : voici les 2 choses que font les habitants chaque jour pour vivre longtemps
Une coach en nutrition qui a perdu 15 kg révèle sa recette de glace hypocalorique
Et s'il suffisait d'un scanner cérébral pour détecter la maladie d'Alzheimer (des années avant les premiers symptômes) ?
C'est prouvé : les personnes qui prennent cette boisson 3 fois par jour ont moins de risques de maladie cardiaque
Une alimentation dépourvue de ces acides gras augmenterait le risque d'AVC de 5%