Publicité

Une étude alerte : les personnes obèses subissent de plus en plus de discriminations de la part du personnel médical

Une récente étude vient de mettre en lumière la situation des personnes en surpoids et en obésité face au comportement du personnel médical. Une réalité démontre que les patients seraient confrontés à des discriminations lors de visites médicales. Ils se retrouvent ainsi humiliés et ont donc tendance à ne plus se rendre à des rendez-vous médicaux.

Les personnes en surpoids ou en situation d’obésité doivent faire face à de nombreuses discriminations au quotidien. Le problème ? La stigmatisation trop présente face aux personnes en surpoids, comme l’explique l’organisme Obésité Canada : « ces stéréotypes sociaux et ces idées fausses incluent des croyances telles que les personnes ayant de l’obésité sont paresseuses, gênantes, négligées, non conformes, peu intelligentes, sans succès et ayant un manque d’autodiscipline ou de maîtrise de soi ». Un fléau qui persiste même lors des rendez-vous médicaux. En effet, de nombreux patients doivent faire face à des préjugés de la part du personnel médical : une situation dure à vivre qui a de lourdes répercussions.

À lire aussi >> L’OMS alerte sur une obésité très préoccupante en Europe

Personnel médical : une stigmatisation à l’égard du poids des patients

D’après une étude réalisée le 7 août dernier par l’Université Collège de Londres, les professionnels de la santé véhiculeraient sans vraiment s’en rendre compte « un nombre important de préjugés inconscients sur le poids ». Médecins, infirmiers ou encore psychologues : tout le corps médical serait concerné par ces mauvaises pratiques, d’après l’étude.

Pour en arriver à ce résultat, les scientifiques ont analysé pas moins de 25 études internationales publiées précédemment. Toutes les recherches étaient centrées sur la stigmatisation face au poids...

Lire la suite de l'article sur Elle.fr

VIDÉO - Carnet de Santé - Dr Christian Recchia : "En 1975, il y avait 11 millions d’obèses dans le monde. Il y en a plus de 300 millions aujourd’hui"

A lire aussi