Le tout électrique en 2035 ? C’est possible pour ce constructeur auto, et ces multinationales
La fin des voitures diesel et à essence, est-ce vraiment gravé dans le marbre ? Pour l’instant, l’Union européenne, sous la présidence d’Ursula von der Leyen, tient son calendrier et n’entend pas déroger au Green deal, ce pacte Vert de lutte contre le réchauffement climatique adopté en 2019, et confirmé par un vote des États en mars 2023. En 2035, il ne serait plus possible de vendre, ni d'acheter donc, des véhicules thermiques neufs. Une mesure qui irrite bon nombre de constructeurs automobiles, à commencer par Renault, qui réclame plus de souplesse dans le calendrier.
Les élections européennes n’ont pas eu raison de cette mesure, alors pourquoi revenir en arrière ? D’autant qu’elle est vraiment approuvée par de nombreux patrons et dirigeants issus de l’industrie et des services automobiles, qui viennent de le redire dans une lettre envoyée à Bruxelles, ce lundi 30 septembre. Baptisée «Industry for 2035» et coordonnée par l'ONG Transport & Environnement, cette missive a rassemblé une cinquantaine d’entreprises, parmi lesquelles la plateforme de chauffeurs de VTC Uber, le leader européen du leasing automobile Ayvens, le géant de l’ameublement Ikea, les supermarchés britanniques Tesco, mais aussi un (bien seul…) constructeur auto, le suédois Volvo, et sa marque Polestar. D'ailleurs, pourquoi est-il le seul gros fabricant de voitures à signaler cet appel ? A supposer que c'est parce qu'il est la propriété du groupe chinois Geely, qui est sûrement, comme les autres de ses compatriotes, (...)
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